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Société civile oppressée avec l’impasse des passe-droits en Algérie

La pression des outsiders en économie trace une nouvelle politique

vendredi 24 juin 2016, par Djamel Damien Boucheref

Le potentiel des jeunes et des femmes en Algérie ne trouve pas meilleure perspective à leur double volonté de fonder une économie diversifiée et d’encouragement des libertés à la source de nouvelles initiatives. Leurs fraîches idées sont des énergiques et dynamiques désireuses de nouveaux techniques et procédés dans l’agriculture ou les TIC, n’ont pas de répondant. Et leurs cris n’ont aucuns soutiens devant les joutes des clans, qui détiennent sans partage des rôles actifs freinant d’autres plus honnêtes.

Améliorer la situation actuelle, bute à la société qui n’inclut pas les femmes pour qu’elles atteignent leur plein potentiel. Les jeunes dans leur ensemble sont écartés, car ils gênent par leur honnêteté un système basé les allégeances. Mais plus globalement des blocages sont érigés pour arrêter les nouvelles générations qui se heurtent à l’inertie...

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L’accès aux médias et la reconnaissance des décideurs, aux associations et syndicats indépendants en Algérie, est certainement le symptôme de la ruine de la société civile en Algérie. De leur les journalistes et intellectuels donnent des impressions sur les clivages religieux, le dernier est une prétendue discorde entre chiites et sunnites. Dans cette atmosphère le pouvoir trouve champ libre Ses corrompus et incompétents s’en passent de démocratie et l’émergence économique est népotique.

La défense nationale, dont le président Bouteflika au poste de ministre, a introduit un projet de loi à l’Assemblée Nationale pour imposer l’obligation de réserve après leur retraite. Par le passé, l’appareil militaire décidait, en l’absence justement d’un génie collectif pouvant faire éviter des catastrophes, agissait. Ses nombreuses actions jalonnent l’histoire du pays revient, par discernement de la voie de sauvetage du semblant de projet national.

Les pompes funèbres stationnent aux portes d’un changement retardé.

Les interventions de l’armée ont été des opérations d’urgence. La destitution de Benbella, en 1965, motivée par une concentration des pouvoirs, était motivée qu’il était ministre de l’intérieur réprimait ses compagnons d’armes. Ce qui était aussi parmi les us internes de la direction du FLN. En 1991, Chadli allait offrir sur un plateau d’argent l’Algérie aux pires tyrans de l’islamisme revenus d’Afghanistan. A chaque fois, les militaires redressaient des distorsions, les-voilà neutralisés.

Maintenant le pari obligé est de concentrer les efforts sur la diversification économique, telle que la production alimentaire. Elle se dessine dans l’omerta de vieilles recettes ultralibérales, où l’entrepreneur qui a l’hardiesse de créer des richesses, en inventant la réponse à la demande locale, est racketté par la bureaucratie et ruiné par la corruption. Le modèle ne bénéficie qu’aux rentiers qui raflent les finances et les missions des réalisations publiques.

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Le marché du travail matérialisé par la création d’emplois, oblige les nouveaux diplômés de se contenter de postes réducteurs. Alors que les fonctions de bonnes prestance, comme chez Sonatrach et air-Algérie, sont attribués aux descendances de la nomenklatura. Sans réforme, le système judiciaire est indépendance. La participation des populations dans la vie publique continue d’être limitée, aucune chance n’est donnée à ceux qui dérangent par leur savoir-faire. L’exil les appelle mais l’espoir les vissent au territoire de leur nouvelle existence.

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