Climat

Nous avons commencé par les minerais qui semblent être connus de l’humanité. Aux "terres rares" nous reviendrons plus tard. Mais les deux sont des ressources essentielles pour la transition énergétique et le développement des nouvelles technologies. Ils jouent un rôle crucial dans le développement des nouvelles énergies, que de technologies leur sont associées, car elles les créent et les font fonctionner une fois mises en pratiques.

Les perspectives qui s’offrent aux minerais et terres rares dans la grande mutation de la consommation et des sources d’énergie. Pour relever les défis du changement des transports, de l’origine de l’électricité et de satisfaction des besoins comme le chauffage, y compris les combustions pour l’industrie, plusieurs pistes sont à investir. La technologie apporte des réponses et ses machines enjoignent ce nouveau destin qui est une révolution forgée pour la sauvegarde de la planète.

Les minéraux spécifiques à la transition énergétique sont tous extraits du sol. Ils sont souvent impurs et mélangés à d’autres composants ou roches et ont besoin d’être tamisés pour catalyser les matières aux propriétés recherchées. Cet affinement leur procure la forme utilisable ou finale en lien avec les technologies auxquelles ils sont destinés pour produire moult énergies propres, alors que les humains en consomment généreusement.

L’adoption par les ménages et les entreprises de dispositions, pour atténuer l’effet des chaleurs qui s’abattent sur la Terre, réduit les pertes humaines et en même temps aide le secteur de la santé. C’est aussi un désengageant plongeon dans l’accentuation des conséquences des appareillages qui rafraîchissent les domiciles et lieux de travail.

Selon leur ampleur, les événements plus petits, avec moins de dégâts ou de décès, sont absents des datas, parce que non pris en compte. Donc une partie au moins de l’augmentation observée du nombre de catastrophes signalées depuis 1900 résulte probablement de l’accroissement des déclarations avec des moyens en alerte. De nombreux événements de taille moyenne à grande peuvent être trouvés dans les documents historiques.

Nos messages d’espoir face aux défis du changement climatique et du développement durable, sont volontaires et indiscutables dans notre ligne éditoriale. Nous mettons en avant l’idée que l’innovation, la coopération et la responsabilité partagée peuvent nous permettre de construire un meilleur avenir pour tous et dans le respect de la planète.

La quantité et la qualité de nourriture produite par unité de terre qu’est l’hectare, ou le m², n’a pas été meilleure avant le 20ᵉ siècle. Précisément, depuis un peu plus de 60 ans, la production d’environ une tonne de blé, par hectare de terre, est passée à trois tonnes et demie, selon des témoignages d’agronomes et de travailleurs. Les rendements multipliés par 3,5 sont dus plus grâce aux intrants et des modes d’exploitation optimisés. La productivité se performa pour suffire les populations !

C’est encore une histoire de déchets produits par des humains. De plus nocifs que le règne des descendants d’Adam ont produit jusqu’à notre époque, par la consommation du nombre de personnes débordantes sur la nature. Si les effets néfastes sur le système immunitaire, le système hormonal et même le développement neurologique chez les enfants, sont redoutés. Pour l’environnement, c’est l’hécatombe pour les espèces fragiles.

Les sources d’électricité renouvelables, particulièrement l’énergie solaire, photovoltaïque et l’éolienne, sont largement disponibles. Elles sont bien comprises et souvent rapidement déployées ainsi qu’elles sont bien rentables. La Chine est le 1ᵉʳ pays sur la bonne voie pour atteindre 85 % de sa contribution à l’objectif mondial d’acceptation que le réchauffement ne dépasse pas la hausse de 1.5° sur la valeur préindustrielle.

Les EAU (Emirats Arabes Unis) est une nation qui ne publie pas de données complètes sur ses émissions des gaz à effet de serre, ce qui rend difficile d’évaluer ses progrès. Ils abriteront la prochaine COP-28, ce qui questionne. Ils ont obtenu l’organisation de ce conclave avec les réseaux sociaux et les lobbyings achetés. Les citoyens, les militants et scientifiques doutent que ces principautés puissent être mesure de surmonter leur réalité de producteur d’énergie fossile et tenir des engagements en matière de climat.