Aux dernières nouvelles, sur l’évolution du mouvement social, contestant le pouvoir de Bouteflika en Algérie, le faux « FLN » et le parti de la bureaucratie le « RND », rejoignent la population. Massivement, cette dernière ne veut plus de la présence de l’actuel régime et de ses acteurs dont Bouteflika, à la tête du pays. Mais les centres du pouvoir réel, comme l’armée capable de déloger le raïs et sa caste, tergiversent.
Le nombre de fois que les jeunes algériens sont arrivé à briser (...)
Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > vie, parti, politique, agissements, internes, situation, association, (...)
vie, parti, politique, agissements, internes, situation, association, organisation, humanitaire, intérêt général,
-
Islamistes, ex parti unique et bureaucratie du RND à l’affût pour se réhabiliter !
20 mars 2019, par Djamel Damien Boucheref -
La ruineuse opposition, en Algérie, travaille pour les islamistes et la mafia qui dirige
21 février 2019, par Djamel Damien BoucherefHalluciant ! Les participants ont quitté la réunion sans accord. Ils affirment qu’ils avaient besoin de plus de temps pour discuter au sein des hiérarchies de leurs partis. Y compris les anciens 1er-ministres, Ali Benflis et Ahmed Benbitour, ainsi que le chef du parti islamiste modéré Abderrazak Makri, étaient présents aux côtés de représentants de partis politiques dits petits. En vain, la tentative est une reproduction d’un cinéma vieillot et en noir et blanc !
L’opposition algérienne (...) -
Ali Ghediri, acerbe sur la crise politique, ne cède pas aux fossés du populisme
28 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefRévélé enfin aux Algériens, le général à la retraite Ali Ghediri a brisé la glace qui le faisait peu connaitre ou déformait ses traits de militaire resté inconnu parmi le personnel du sérail. Par le passé, il était sommé du silence par l’obligation de réserve, alors qu’il suivait les convulsions de son pays. Ce nouveau visage est vite devenu le candidat le plus en vue.
Une pesante médiocrité a déclassifié les partis, et les personnalités, de l’opposition devenue une myriade de (...) -
Ali Ghediri, la nouvelle tête que les Algériens ont fixé dans le sondage vu par 30 000 internautes
19 janvier 2019, par populiscoopDans notre sondage sur l’élection présidentiel de 2019 en Algérie, nous n’avons carrément jamais imaginé que l’actuel président, qui a déjà usurpé un 3ème et un 4ème mandat, aille à un 5ème. Alors nous avons posé la question : Après Bouteflika qui ? Notre enquête date de 2015, soit une année après le forcing de la mandature qui s’achève. Nous avons publié des articles, chaque année, depuis la mise en ligne du questionnaire. Le militaire, dès le début, était en 3ème position, des choix (...)
-
L’Algérie à la merci de l’impasse, quand les urnes du vote vénèrent Bouteflika !
21 décembre 2018, par Djamel Damien BoucherefLa réunion, pour le report de l’élection présidentielle prochaine en Algérie, s’est déroulée à Zéralda. Là où réside le convalescent président. Elle s’est tenue en conclave impénétrable. Le contrôle des frères à Abdelaziz, Saïd et Nacer pour ne citer que les plus visibles est discret selon de rares paroles des participants. Le seul génie de cette séance d’allégeance est une nouvelle tergiversation. Rallonger le règne bouleversant de désolation, d’une dernière remontrance, fait des (...)
-
Le rêve algérien aliéné par la partialité de la justice et les accaparements des privilégiés
1er décembre 2018, par Djamel Damien BoucherefLa dictature religieuse que les Algériens ont évitée en 1990/91 devait détruire le pays. L’Algérie a été sauvée de « l’afghanistanisation ». Mais l’écartement de cette dérive, pour laquelle la mobilisation décisive des démocrates a alerté du danger, n’a toujours pas engagé le meilleur des ordres et l’idéale des harmonies. La déviation de l’intégrisme à la tête des institutions comme l’assemblée nationale, a servi au retour du régime des clans qui ont honteusement un passé de bandes au (...)
-
Normalisation entre Algérie & Maroc par où la liquidation du dernier colonialisme en Afrique
15 novembre 2018, par Hugo MastréoLa manÅ“uvre du roi du Maroc Mohammed-6, consistant à montrer l’Algérie comme le fautif qui refuse un quelconque rapprochement, est le signe d’un certain malaise régional où les subterfuges sont monnaie courante. Inviter le voisin au dialogue, c’est un peu le désigner comme le responsable de l’absence des échanges entre les 2 pays. Ou du moins, le supposer comme un empêchement aux rapports d’ampleur à permettre aux populations de bénéficier des conforts et échanges locaux.
Côté (...) -
Ratissage de l’armée, 7 militaires et 4 terroristes tués à l’Est de Skikda...
31 juillet 2018, par Djamel Damien BoucherefLe ratissage qui s’opérait à l’Est de Skikda visait une faction dont le nombre de ses éléments dépassait largement les 15 hommes. Les lieux présentent une vraie poche, où les maquis qui s’étendent sur la wilaya (département) de Jijel, plus à l’ouest, étaient connus, depuis les années 90, pour avoir abrité les pires des criminels de l’islamisme algérien, y compris des familles entières dont certaines se sont déjà rendues.
Ces dernières années les bastions terroristes du centre et de (...) -
En Algérie le "projet national" n’est pas transmis à la génération réfractaire.
26 juillet 2018, par Djamel Damien BoucherefDans sa dernière dépêche, du 21 juillet, l’AFP est gagnée par l’idée d’une nouvelle 5ème mandature pour Bouteflika. Parce qu’aucune personnalité n’est détectée pour remplacer celui qui, pendant deux décennies, a comblé, comme bouché l’ornière fatale, le vide au sommet. Aussi bien la dernière opération de vote des législatives que celle du 4ème mandat arrogé avec la ruse, la participation des électeurs a été modique, moins de 50% malgré le bourrage des urnes. Mais qui s’en soucie ?
Tant (...) -
Mémoire violée après un quart de siècle de l’assassinat de Boudiaf en Algérie
29 juin 2017, par Djamel Damien BoucherefLe 29 juin 1992 était assassiné le président Mohamed Boudiaf par un sous-lieutenant du nom de Boumaàrafi L’Mbarek qui, encore vivant, à ce jour n’a pas révélé s’il a agi en solitaire ou ayant exécuté un ordre ? Nacer, le fils de la victime ne cesse de remuer terre et ciel pour pénétrer le secret de cet assassinat, dont le mystère témoigne manifestement des cabales bouleversant la culture mémorielle collective des Algériens €¦
Dès lors que la présidence du Haut Comité d’État, mis en (...)