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La ruineuse opposition, en Algérie, travaille pour les islamistes et la mafia qui dirige

Politiquement en faillite depuis les complicités avec la tentative de prise du pouvoir par la théocratie en 1990

jeudi 21 février 2019, par Djamel Damien Boucheref

Halluciant ! Les participants ont quitté la réunion sans accord. Ils affirment qu’ils avaient besoin de plus de temps pour discuter au sein des hiérarchies de leurs partis. Y compris les anciens 1er-ministres, Ali Benflis et Ahmed Benbitour, ainsi que le chef du parti islamiste modéré Abderrazak Makri, étaient présents aux côtés de représentants de partis politiques dits petits. En vain, la tentative est une reproduction d’un cinéma vieillot et en noir et blanc !

L’opposition algérienne qui est tombé en désuétude quand en 1990 les islamistes allaient accéder à la majorité du parlement et imposer la théocratie, continue d’espérer au lieu de chercher à se recomposer et à se mettre en conformité avec la réalité de la société qu’elle espère gouverner.

Avec l’éventualité d’un 5ème mandat pour Bouteflika, les partis politiques se sont réunis mercredi 20 février, pour tenter de faire consensus autour d’un candidat commun et faire ainsi face au président sortant Abdelaziz Bouteflika, qui se représente lors de l’élection présidentielle du 18 avril.

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Mais la faillite est tellement lourde chez l’opposition. Des personnalités ont toutefois été absentes de la réunion, ne croyant gère à la perspective. Certains politiciens envisagent de boycotter le scrutin en raison de l’hégémonie favorable à Bouteflika. Ce qui est conséquent de leur inaptitude à être avec la volonté de la société.

En plus une réunion proposée et organisée par l’islamiste Djaballah Abdalleh qui a été un fanatique qui n’a jamais condamné le terrorisme de la « décennie noire », ne pouvait débouchait que sur un fiasco. Il ne suffit d’appeler à l’élaboration d’une plateforme commune.

Concrètement il est nécessaire qu’une réforme touche les organisation politique qui endiguent l’évolution de la société, bloquent les libertés comme le droit d’une conscience religieuse individuelle où l’islam devient libre de la politique…

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Outre que les organisateurs du Front algérien pour la justice et le développement, n’ont aucune dignité à représenter le militantisme et la démocratie. Des islamistes qui mangent le terrorisme et s’assoient avec les démocrates. Le parti de Djaballah avait pour modèle le Soudan, le pays le plus pauvre du Terre. Uniquement parce que la charia est appliquée et Benladen, de-là, visait l’Algérie.

La configuration politique, des partis actuels, reporte le paysage ruineux des crimes islamo-politiques dont a souffert le peuple. Les faux démocrates qui refusent de dénoncer les islamistes, sortent du nationalisme qui a légalisé des sectes religieuses comme des partis.

Des Algériens crédules, incités par la classe rentière agglutinée autour du raïs, vont à nouveau probablement voter pour Bouteflika. Leur crainte que le départ de l’ancien diplomate qui a régné 2 décennies, conduise à une instabilité qui aura des conséquences négatives pour le pays.

Bouteflika, gé de 81 ans, envisage de briguer un cinquième mandat de cinq ans, en dépit de graves interrogations sur son aptitude physique. Depuis son accident vasculaire cérébral, de 2013, son incapacité est visible. Il n’a été vu en public que quelques fois par an au cours de son 4ème mandat.

Participer à notre mini-sondage de moins d’une minute. Anonyme on peut exprimer, sans obligation, son opinion.

Sa question unique est : Qui après Bouteflika ?

Cinq choix ayant trait au profil, au parcours et à la personnalité du prochain président. ICI - MERCI

}Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invité à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.

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Voir en ligne : Notre dossier ALGÉRIE

   
   

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