A la source du déclenchement de la glorieuse guerre (1954/1962) libératrice de l’Algérie. Le document rédigé des mains de Feu Mohamed Boudiaf, répond aux désirs de tous les Algériens épris de vérité.
Document inédit.
MOHAMED BOUDIAF LA PREPARATION DU 1er NOVEMBRE 1954 Répondant aux désirs des militants du parti et certainement à celui de tous les Algériens épris de vérité, la commémoration du 20e anniversaire du 1er novembre 1954 sera pour moi l’occasion de reprendre l’histoire de (...)
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Articles
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Préparation du 1er Novembre 1954 par MOHAMED BOUDIAF
30 décembre 2009, par Boudiaf Nacer -
Encore des éliminations de terroristes en Algérie, 1er semestre 2024.
13 juillet, par Djamel Damien BoucherefL’intox islamiste continue toujours de nier l’existence, en Algérie, de personnes armées au nom du djihad. Et d’une façon régulière, l’armée élimine ces combattants qui, actuellement, sont plus basés au sud du pays. Encore des groupuscules et des djihadistes errants s’adonnent au banditisme pour accumuler des moyens et des richesses. Et ils sont toujours animés du même projet abject d’imposer leur loi dite divine et coranique.
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Terrorisme et partition, les bureaucrates dupent l’armée en Algérie.
24 juillet, par Djamel Damien BoucherefDepuis octobre 1988, l’Algérie est livrée à gabegie que les décideurs imposent à la société humaine ankylosée, alors que son pays est livré aux pires errances. La répression des bureaucrates, après la chute de Bouteflika, s’attaque aux intellectuels et journalistes critiques et traque l’opposition politique avec des accusations fallacieuses dont celle du terrorisme. Le second mandat pour Tebboune semble être une comédie de basse conception fomentée contre l’alternance démocratique.
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Lettre d’amour, après rupture !
22 juillet, par Moussi NassimC’est comme un modèle de courrier d’un amour perdu. Le regret est réparable avec la franchise. Les ruptures ne se réparent pas comme fait un plâtre sur une fracture d’os.
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Algérie : l’opposition est, sans alternance, au rôle de figuration !
22 juin, par Moussi NassimBanalement, les politiciens algériens, du nouveau règne de la bureaucratie qui a succédé à Bouteflika, après l’avoir servi avec le système qui lui est antérieur, assument leur médiocrité. L’opposition est inexistante, brimée et interdite, car jugé critique du pouvoir de la "nouvelle Algérie. De la gauche, le PST et le MDS ont été interdits et leurs locaux fermés ainsi que le dirigeant du dernier a été injustement emprisonné. Sauf les politicards rentiers, avec des partis comploteurs et même larbins des dirigeants en place, prétendent être opposants et dans la course truquée du vote présidentiel.
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Chaque vote présidentiel en Algérie, tous des discours stériles.
14 juillet, par Moussi NassimAnalyser les promesses des candidats à la magistrature suprême en Algérie, revient à constater une régression de plus en plus décadente du contrat social liant le raïs aux citoyens. Le divorce entre dirigeants et société se lit à toutes les échelles. Mais ce sont les présidentiables qui s’adonnent aux pires discours qui nient l’alternance, réduisent la démocratie à une répression des opposants et ignorent d’expliquer les programmes politiques.
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L’usage du téléphone dans la justice algérienne est devenu une tradition !
10 juillet, par Moussi NassimLes citoyens algériens sont choqués que les juges ne soient pas indépendants des bureaucrates et des cercles influents du pouvoir qui les désignent, voire les nomment aux postes de travail et paient leurs salaires. Les dirigeants du pays semblent ne pas avoir conscience sur l’état d’esprit des jeunes qui fuient le pays et sur la moralité qui construit chaque individu. C’est comme une nation sans avenir livrée à la gabegie de la corruption et à l’incompétence.
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Les prédateurs, de la rente en Algérie, préfèrent Dubaï.
25 mai, par Djamel Damien BoucherefLes documents partagés avec bien des titres de presse, dans le cadre de cette enquête internationale appelée « Dubai Unlocked », montrent que SONATRACH est toujours la poule aux œufs d’or pour les castes rentières qui se cramponnent au pouvoir. Dubaï a déjà accueilli les rejetons, cousins et directement le nain raïs, l’exemplaire du despotisme du parti unique, dans un faste engrangé, par par kleptocrates, des richesses collectives...
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Lettre au défunt Matoub Lounes.
25 juin, par Moussi NassimAssassiné le 25 juin 1998, le chantre des libertés en Algérie avait la personnalité qui collait au parcours des militants résolus à l’érection de la démocratie pour "Tamurt" (le pays). Dix ans auparavant, en octobre 1988, il était contre le saccage des biens publics. Il a été blessé par les gendarmes, par erreur...
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Professeur en Algérie, Mira Moknache harcelée par la justice du téléphone.
16 février, par Djamel Damien BoucherefUne nouvelle insulte politisée est en vogue en Algérie. Elle est généralement proférée, par les partisans du régime "militaro-bureaucratique", exprimée à l’égard des opposants qui ne voient pas de perspectives à leur patrie. Espèces de "normalisateur", sous-entendu avec Israël. Ou bien "vendu de soutien à Amira Bouraoui". Elle résonne comme serviteur, anciennement harki, de la "main étrangère", exprimée en traîtrise. Mais elle sert seulement aux adeptes et clients du pouvoir de Tebboune, pour accabler les citoyens qui rejettent le monopole des successeurs des nationalistes. Que sont les issus de l’ENA, chevronnés en bureaucratie et ayant déjà été larbins des corrompus faux-moudjahidine de la libération.