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Le seigneur de guerre Khalifa Haftar, en Libye, sollicite Israël.

Déjà agent de la CIA, il sollicite le Mossad.

jeudi 30 juillet 2020, par Azouz Benhocine

L’une des faveurs de la puissance économique qui advient en ricochet, conséquemment d’un développement varie et optimal, est l’influence diplomatique. Laquelle reconfigure les choses et les régions du Monde, selon encore un intérêt de plus à celui d’avoir la prospérité. Ce qui modélise les rapports avec autrui dans le sens que la réussite le désire, jusqu’au point de d’orienter selon les convictions.

Ecouter l’article.

Le Moyen-Orient, pour des raisons de géopolitique, et l’Afrique, par la volonté des possibilités de pénétrance, sont sous des tiraillements entre les puissances qui recherchent à les découper et les aligner sous leur influence. La crise libyenne, post-Kadhafi, est l’un des exemples de laboratoire où se jouent une partie d’échec, entre diverses ingérences, où la géopolitique est des plus pratiquées.

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Mais qui sont vraiment les grandes nations qui manœuvrent pour se placer dans la moindre parcelle où il y a perspective d’être présent. En réalité, tout pays digne d’être fort se met à pénétrer les espaces où on peut influer. De nouveaux articles de presse, assez fournis pour ne pas être pris en considération révèlent que Khalifa Haftar a sollicité l’aide d’Israël pour venir à bout du gouvernement reconnu au niveau international.

Justement dans la reconfiguration en cours du Moyen-Orient et de l’Afrique dont nous avons dit, ci-haut, leur disponibilité à être reconfigurer, Israël ne cache plus son jeu. L’Etat hébreu a déjà réussi à s’attirer les faveurs des États du Golfe et de partenaires arabes, il ne lui sera plus nécessaire de cacher son rôle en Libye.

Selon donc diverses sources, dès juin 2020, le vice-premier ministre du gouvernement basé à l’est de la Libye, Abdul Salam al-Badri, aurait sollicité le soutien du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Il lui a affirmé que la Libye n’avait « jamais et ne sera jamais ennemie de Tel Aviv. » Pour l’instant de tels gestes sont cachés et l’intéressé, interrogé par des journalistes, a nié le contact. Mais un tollé se réveille depuis en Libye.

Indéniablement l’État d’apartheid joue sur la fibre de la confrontation sunnite/chiite que l’islam, et non un autre vecteur, sous-tend dans cette région du Monde. Cette intention de construire des alliances plus fortes avec des États sunnites comme les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et l’Égypte, qui sont tous de fervents partisans du général Haftar, aide à cette expansion.

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Israël, en collaboration avec les Etats-Unis, continuent comme il l’ont déjà historiquement fait, entretient des relations avec des despotes africains et arabes. Maintes fois ils ont exécuté des coups d’État sur tout le continent noir et ne ratent jamais les occasions de manipuler les communautés, comme les frères musulmans précisément ou bien les islamistes en général, pour apporter leurs actions dévastatrices.

Tant pendant les conflits ces amis et régimes autoritaires contribuent à placer Israël parmi les dix premiers marchands d’armes, car ils les portent au pouvoir et leur restent loyaux une fois installés. Khalifa Haftar a été recruté par la CIA au moment où il était dans les cercles du pouvoir de Kadhafi, avec lequel il est devenu en conflit et a fui aux Etats-Unis.

L’odeur de la CIA avec des opérations secrètes en Libye, un riche en pétrole, a longtemps été liée au général Khalifa Haftar. D’autres organisations de renseignement sont en rapport avec cet officier controversé. Maintenant des accusations de transactions approfondies avec le Mossad sont portées contre lui par un journaliste israélien. Ce dernier affirme que Haftar a rencontré des membres de l’équipe israélienne au Caire de 2017 à 2019.

 1ère source
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Voir en ligne : Notre dossier Libye

     
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