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Algérie : où sont les disparus ? L’autre vérité !

Un chantage de parents qui ont procréé les éléments de l’AQMI

lundi 11 mars 2013, par Azouz Benhocine

Une matière d’éthique taraude l’opinion algérienne depuis des années. C’est celle des "disparus". Une réalité certes amère, mais surtout une chicane que les complices des islamo-terroristes manient contre les chargés de la sureté. La quête de vérité des familles, comme exigence apparemment acceptable, quant au sort de leurs parents éclipsés pendant les années troubles (90 et 2000), révèle aussi une pression dont les acteurs qui la portent s’avouent €¦

Ce lourd dossier, considéré comme "bavure" de l’armée, devait être clos avec la Charte pour la paix et la réconciliation nationale initiée par Bouteflika en 2005. Cette dernière a été suivie par des démarches d’indemnisation. Les estimations des proches des disparus citent quelques 8000 cas de personnes introuvables, majoritairement après des interpellations...

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Mais l’expérience et l’Histoire contemporaine du pays viennent de clarifier, on ne peut plus, cette dérive de la violence qui a fait de l’Algérie un cas qui a des répercussions dangereuses sur la région. Un expert français vient de constater qu’un algérien déclaré disparu par sa famille, après une arrestation dans une ville algérienne de province pendant les débuts des années 2000, a été arrêté dernièrement lors de l’opération Serval au Mali.

L’histoire de Mohamed Merah que la télévision française a pris soin de relater, lors de l’affligeante commémoration de l’an 1 de ses crimes, est à l’image des secrets nébuleux du crime politique qui s’accole à l’islam selon un programme international qui veut rehausser l’islamisme en idéologie. Le franco-algérien, comme personnage de cette tendance a révélé ce que peuvent tramer individuellement les islamo-terroristes dits les « loups solitaires », relevant de la vaste organisation où la théologie rend licite Al Qaeda. Et On requiert aussi moult précisions sur son affaire…

Les commanditaires de l’industrie islamo-terroriste algérienne à la manœuvre.

Curieusement tous les disparus, dont les parents manifestent à Alger, sont des anciens militants du parti dissout, l’ex FIS qui voulait prendre le pouvoir par la violence et a juré dès sa légalisation de mettre à feu et sang aussi bien le Maghreb que le reste du Monde. Ali Belhadj, un commanditaire du terrorisme, est revenu à la charge ce 8 mars 2013, afin de nuire aux festivités de la journée internationale de la femme. Par ailleurs, les algériens enlevés par les terroristes et n’ayant pas donné signe de vie depuis, leurs parents, quant à eux, gardent leur dignité consolés par le symbole du martyr que leurs proches en font la représentation.

Paradoxalement à la justesse de cette cause, l’illustre criminalité politique ou l’islamo-terrorisme, dont a souffert aussi stoïquement tout le peuple d’Algérie, et d’une manière ciblée son meilleur fleuron, instrumentalise cette question des disparus… La revendication est entre les mains de véreux politicards et activistes entrés en complicités directe avec l’islamisme, celui qui a fait l’AQMI comme machine à massacrer… La duperie au dispositif « des droits de l’homme », date de nombreuses années, l’indécence veut que des criminels parlent de ces droits...

Les éclipsés peuvent être bien opérationnels dans l’industrie de l’islamo-terrorisme international

Dans le commentaire d’une émission récente sur « Arte », il est dit que sur 5 kamikazes morts ces dernières années en Irak, un est algérien. Certains de ces de ces algériens ont informé leur famille de leur combat et de leur déplacement en extrême, et une majorité plie bagages sans avertir et sont aussi disparus. D’autres questionnés par les autorités pour leurs activités criminelles avérées choisissent de disparaitre sans laisser de traces. Les effectifs d’islamistes armées qui sévissent au Mali est l’illustration parfaite de ces disparus sans laisser de traces.

Les liquidations institutionnelles des dangers publics N°1

Certains de ces disparus ont été effectivement liquidés par les services de sécurité, parce qu’ils constituaient une menace que la voix légale ne peut écarter. Ils étaient prêts à passer à l’acte, pour commettre des attentats, particulièrement ceux du genre à s’attaquer aux agents des services d’ordre ou de l’armée.

Dernièrement les USA ont légalisé cette mis à mort, légalisé la torture et entretiennent à Guantanamo des emprisonnements sans jugements. Puisqu’une fois dans la nature, ces islamistes emprisonnés jurent d’intenter. Auparavant et depuis des années, la préservation de la sécurité poussait des autorités de nations, dites respectueuses de la légalité, à assumer d’abattre leurs citoyens dangereux, y compris ceux de droit commun. Le gangster français Jack Mesrine a été abattu par la police sur une terrasse de café, avec un groupe de policier qui lui tira dessus de la benne d’un camion.

Les liquidés en Algérie s’en passaient aussi d’aller devant certains juges, qui à l’époque comme nombreux employés de l’appareil judiciaire, ou encore plus largement au sein de l’éducation, étaient acquis à la cause islamiste. Certains magistrats ayant adhéré à la mouvance islamiste, croyaient aux harcèlements des policiers. Même les armes trouvées sur ces justiciables étaient dites avoir été mises par les agents qui les ont arrêtés. Le laxisme est devenu intolérable pour l’armée et les policiers, confrontés à une pléthore de cas semblable à celui de Mohamed Merah...

Une fois libérés, ces algériens souvent de l’ ge de Mohamed Merah narguaient les agents en leurs promettant, dans le contexte du grand déchaînement de la plus vaste vague d’actes islamo-terroristes dans le Monde, de les tuer.

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