Accueil > High-tech / Sciences > 2023, année de ChatGPT enfanté par l’IA qui chatouille les doués.
Explosion d’une technologie qui confie l’intelligence à un programme d’ordinateur.
mardi 2 janvier 2024, par
Lorsque ChatGPT a fait ses premiers pas, fin 2022, c’était un coup tonnerre dans un ciel serein. Promptement dès début 2023, Google a lancé son chatbot "Bard" en février, suivi de son modèle Gemini Pro AI en décembre. Microsoft a investi massivement dans le créateur de ChatGPT OpenAI et a intégré ses technologies dans son moteur de recherche Bing ainsi que d’autres logiciels avec des services. 2024 est là, ce qui promet la ruée vers l’or numérique des plus multiforme.
La course pour les premiers rôles en matière d’IA s’est révélée en 2023, alors que les projets, jugés comme fantaisistes, étaient dessinés bien avant. Des entreprises comme Anthropic, Grok d’Elon Musk et Meta, se battent encore pour le trophée. Elles se bousculent pour prendre l’avantage, pour l’objectif ChatGPT, afin de garder le poste de leader dominant, dans une myriade de prétendants à être centre du fascinant roman.
Startups devancées par les États pour l’IA (Intelligence Artificielle).
Les conséquences de l’IA (Intelligence Artificielle) débarquent et c’est en 2024 que seront bien et définitivement placées les prouesses de cette technologie, encore native et pas suffisante à transformer le Monde. Pour certains technologues, l’Eureka Park et du Las Vegas Convention Center, le salon des technologies de 2024 qui débutera le 9 janvier, sera révélateur de biens des avenirs.
Les prouesses de l’IA générative de ChatGPT ont instantanément donné l’impression que de nombreux emplois étaient menacés d’extinction. Tout au long de l’année 2023, les gros titres annonçaient que ChatGPT et l’IA décimeraient les travaux humains tels que nous les connaissons. Cela se produit déjà. Cependant, même si personne ne conteste que l’IA va transformer les ateliers et le marché du travail, elle n’en est qu’à ses balbutiements. Donc les pronostics spéculent.
La coïncidence a voulu que la formule magique de l’IA arrive en fin 2022. Puis, elle devient plus fantastique outil de 2023, à diverses aptitudes, et passe le sujet que tous les journaux ont disserté pour le vulgariser et le décrire. Mais ça nécessite une supervision humaine pour garantir la qualité, l’exactitude et l’éthique du contenu généré, avec cet outil à l’expression et au résultat d’une clarté absolue.
Il n’est cependant pas exempt de biais et peut parfois générer des informations incorrectes. Une utilisation responsable et critique est donc essentielle. À ce niveau, c’est l’implication directe des gouvernements qui a donné le ton à l’allure de son adoption. Le Royaume-Uni a injecté 4,1 milliards de dollars dans son secteur de l’IA au calcul fait cette année. L’Allemagne a annoncé en août qu’elle doublait son financement pour la recherche sur l’IA. Les États-Unis possèdent le plus grand marché de l’IA, suivis par la Chine et le Royaume-Uni, selon l’International Trade Administration.
Le difficile parcours pour apprendre sur la cruciale IA (Intelligence Artificielle).
Le succès de ChatGPT a poussé d’autres pays à accroître leurs investissements dans l’IA pour empêcher les États-Unis d’avoir une hégémonie mondiale. Alors que les entreprises technologiques se disputent le leadership en matière d’IA, une autre course aux armements en matière d’IA se déroule à l’échelle mondiale.
Les controverses des éléments générés par l’IA sont un flux de désinformation dont les "deepfakes" transforment l’information de sa vraie et noble vocation. Ce qui affecte la source originelle et nuit à l’authenticité et l’utilité du contenu. Certaines agences de presse ont des politiques concernant l’utilisation de l’IA générative, mais les lignes éditoriales n’ont pas tous des garde-fous et les règles morales ne sont pas universels.
Les progrès vers un système commun, voire avec implication du législateur ou bien des normes pour la diffusion, pour maintenir l’authentification pour qui revient de droit, sont encourageants. Les métadonnées IPTC, une norme qui fait unanimité et de longue date, pour le sous-titrage des images numériques, sont au cœur de ces efforts. Donc les espoirs dépassent les contraintes.
La présence sur Internet des contenus, proposés par leurs créateurs, a une motivation commune, celle d’être en haut de la visibilité pour l’internaute. Google qui tient un vrai monopole pour la diffusion. Mais il tient à l’authenticité, qui la primauté de l’auteur qui a eu l’idée de créer une chose qui n’a pas de précédent ou de similitudes avec du déjà présent. Ce qui prend un tout nouveau sens à l’ère ChatGP, qui lui semble synthétiser des publications en glanant les idées fortes.
La réponse de ChatGPT à notre question, expérience édifiante.
Voir en ligne : IA (Intelligence Artificielle) & technologie
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