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L’hydroxychloroquine diminue la mortalité des atteints du COVID-19.

Les publications pleuvent, Didier Raoult dénonce les fausses recherches.

mardi 12 mai 2020, par Jaco

Ecouter l’article.

Pour le sujet du COVID-19, les réseaux sociaux du Web, même les moteurs de recherches comme google, ont bataillé pour arrêter les "infox". Ils ont supprimé les mauvaises publicités, afin de protéger les utilisateurs de leur plateforme respective malgré que leurs revenus sont amoindris. Mais quand des études sont publiées pour tremper les praticiens, le danger a sa toute particulière gravité.

Voici la conclusion de l’étude réalisée en Chine sur l’usage de l’hydroxychloroquine, elle explosive : « Le traitement par l’hydroxychloroquine est significativement associé à une diminution de la mortalité chez les patients gravement malades atteints de COVID-19 par l’atténuation de la tempête inflammatoire des cytokines. Par conséquent, l’hydroxychloroquine doit être prescrite pour le traitement des patients atteints de COVID-19 gravement malades afin de sauver des vies. » Voici un démenti, avec des données comme preuve, pour une fausse recherche contre le médicament vendu sous le nom "Plaquenil" ICI.

 L’attendue application de l’OMS pour le test du COVID-19.
10 mai 2020

 L’effort des scientifiques pour vérifier les infos du COVID-19.
6 mai 2020

Consulter ICI. Cette publication de scientifiques dit "PRINCIPE DE PRÉCAUTION" clairement ceci : «  Cet article est une pré-impression et n’a pas été révisé par des pairs [corrigé par d’autres chercheurs]. Il fait état de nouvelles recherches médicales qui n’ont pas encore été évaluées et ne devraient donc pas être utilisées pour guider la pratique clinique.  »

L’opinion mondiale a connu le comparatif que des patients du COVID-19 soignés avec des placebos et d’autres avec la chloroquine, ont donné le même résultat. Sinon même que les 1ers ont été mieux que ceux du médicament plébiscité par le professeur de Marseille Didier Raoult. A croire une telle thèse, l’antipaludique n’est que poussière...

L’étonnant bras de fer, entre les adeptes du traitement à la chloroquine du COVID-19 et les opposants à ce médicament, suscite moult questionnements. Pour nombreux animateurs des médias saluent l’alerte lancée par le professeur français basé à Marseille pour l’utilisation de son médicament fétiche.

Il le connaissait depuis ses actions contre le paludisme en Afrique où il a bossé dans une mitoyenneté avec des symptômes à la similarité frappante. In vitro, des études sur des animaux de laboratoire ou sur l’expérience d’interventions dans des infections par des virus, dont le Sras-CoV-2, sont positives. Et sur le terrain, alors que nous mettons en presse ce sujet, l’antiviral, forcément on constate ses bienfaits.

Dans le monde hospitalier, c’est une affaire qui désormais sera l’exemple des manœuvres où interfèrent les intérêts des laboratoires, la manipulation des médias et les ambitions désastreuses du corps médical de haut vol. Pour quel dessein ?

Rapport accusant la Chine pour COVID-19.
[bleu]“Voies juridiques et culpabilité de la Chine Prévoir des compensations pour la pandémie COVID19. ÉVALUATION DE LA CULPABILITÉ POTENTIELLE DE LA CHINE ET LES VOIES DE RÉPONSE JURIDIQUE.”[/bleu]

Longtemps le traitement tant élu par le professeur Didier Raoult a été discuté et réfuté. Alors que son promoteur tenait à le prescrire, contre vents et marées. Finalement une étude, après déjà quelques-unes moins pertinentes ou bien moins vulgarisées, dit que l’impact de guérison de ce médicament sur les patients, y compris ceux ayant des morbidités avec des maladies permanentes.

 Les Sahraouis de Tindouf affrontent aussi le COVID-19.
10 mai 2020

 Des grappes de virus sous une vésicule sont plus virulents.
7 mai 2020

Une évaluation de l’effet de l’hydroxychloroquine, comme soin au COVID-19 a montré, avec une étude scientifique, que la mortalité est trois fois moins avec son utilisation, par rapport à d’autres traitements. En dépit de la persistance de ces résultats concrètement positifs, les praticiens s’exprimant sur les médias sèment le doute sur l’efficacité de cette molécule bon marché.

Dans ce contexte, la diminution du risque de décès devrait même persuader à modifier la décision thérapeutique des cliniciens du monde entier, particulièrement ceux qui soignent des patients infectés par COVID-19. Et ces résultats devraient aussi impacter les décisions des autorités sanitaires des pays restreignant son utilisation.

Avec la pandémie de l’année 2020, une médecine d’urgence a pris le pas, car le virus dispose de fortes capacités de propagation et il est aussi mortellement foudroyant. Le professeur français qui a averti les médias sur la chloroquine, s’est précipité comme s’il devinait les peines qui l’attendaient. Le président américain Donald mentionne à peine le médicament miracle pour COVID-19, ce qui est utilisé pour rendre crédible la chloroquine.

Le microbiologiste français Didier Raoult propose ce remède. Après lui, le président Trump est convaincu du remède miracle, ce qui a enlevé de l’intérêt à ce choix d’ailleurs hospitalier. Les recherches de Raoult sont-elles fiables ? Mais pas moins de 100 recherches peuvent maintenant produire leurs exposés sur l’usage de ce produit pour la pandémie qui préoccupe. Il est devenu épuisant d’insister qu’en cas de réussite, rien n’est spécial...

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