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L’effort des scientifiques pour vérifier les infos du COVID-19.

Les groupes de chercheurs plus actifs favorisent une nouvelle génération.

mercredi 6 mai 2020, par Azouz Benhocine

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Sur quoi et comment discuter de l’ambiance du 1er trimestre 2020 ? Quel est l’impact de la pandémie du coronavirus sur les demandes d’accès à l’information ? Quelles finalités potentielles à long terme de l’épidémie sur la liberté d’information et la transparence ? C’est épouvantable qu’au niveau mondial, ces interrogations ont plus de vigueur et de pertinence maintenant. Comme si le progrès recule par ces exemples.

Il est plus question de « fake news » que d’informations utiles et de rapports pouvant susciter solution à la vaste crise sanitaire. Au temps du COVID-19, les scientifiques s’investissent aussi à vérifier les diffusions qui apparaissent à ce sujet. L’augmentation des prépublications que les exposés d’études en voie de diffusion, restent non évaluées. Elles traitent des situations et des faits de prédilection. Et sans précédent, la menace sanitaire s’en est une.

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La prégnance des monopoles sur les circuits où se balade l’actualité, les titres de la presse traditionnelle et corporatiste, ne veut pas lâcher prise sur la rente comme la publicité. Les circuits de vente les idées et informations, dont ont besoin les humains, appartiennent à des entreprises privées et de grands détenteurs de capitaux. Le personnel qui y exerce n’a que peu de liberté !

Mais les sources alternatives qui sont, sine qua non, désignées comme organes peu crédibles en matière d’actualité, ont cet aspect inaliénable de fournir l’oublié, le secondaire, le méprisé et le moins rentable, sans qu’il soit moins pertinent. C’est le cas des scientifiques ou des praticiens de la santé en raison de la pandémie mondiale. Un réel défi est la désinfection des supports médiatiques.

L’une des plus vastes communautés scientifiques travaillant sur le COVID-19, aux modérateurs bénévoles, contribue à une ressource à jour pour tous les domaines de la recherche. Il s’agit de « https://www.researchgate.net/ » qui travaille pour le rapprochement des chercheurs. Lesuels se réduisent à une résilience, sous une pression immense, pour comprendre le virus SARS-nCoV-2. Ils dialoguent plus via les moyens de communications pour partager des avis.

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Etudier la structure du SRAS-CoV-2, sa transmission, ses interactions et les voies de traitements antiviraux et de vaccins, tentent de trouver de nouvelles et meilleures façons de dépister et de traiter la maladie. Pour obtenir, d’abord et en conséquence, une image plus claire des impacts société, mais surtout de mettre fin à la pandémie.

Par imitation, la liberté d’informer est réduite quand elle cite les licenciements de travailleurs en ces circonstances. Relayer les appels des chercheurs (ICI), pour que les revues et les bailleurs de fonds veillent à ce que les résultats d’études et les données pertinentes relatifs cette épidémie soient partagés rapidement et ouvertement. Ce qui informe pour une riposte de la santé publique afin de sauver des vies.

Habituellement une lenteur, des publications biomédicales, était dans l’itinéraire que subissent les articles. En moyenne 8 mois sont dans le parcours d’un sujet qui subira la relecture des paires et des professeurs. Le COVID-19 accéléré le processus, l’alerte d’en finir avec la pandémie a réduit la plage temps consacrée, de même que la disponibilité des correcteurs vivant le confinement favorisent le travail de lecture.

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