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L’économie se numérise, les PMU stagnent et crédits en disparité entre sexes.

Après COVID-19 l’inflation artificielle bloque la relance.

mercredi 11 octobre 2023, par Gros Emile

L’économie mondiale cherche à s’occuper de l’urgence climatique tout en assurant des services financiers aux opérateurs chargés de les livrer ainsi qu’aux acteurs économiques pourvoyeurs de services et créateurs de richesses. Alors que persistent des désarticulations apparues en 2020 avec la pandémie et surgissent des entraves comme l’inflation volatile, ces deux interférences rajoutent l’incertitude de crise.

L’enquête sur l’accès aux services financiers (ASF), menée par le FMI qui est quatorzième du genre, vient de révéler ses datas. Ces derniers montrent les troubles selon les résultats indiquant le recul, donc une stagnation qui perdure. Dans ce climat de difficulté, le segment de la numérisation évolue, ce qui est imposé par une évolution du marché et des pratiques dans les économies ouvertes.

Économie mondiale lors et après pandémie : reluisante, mais pas aux rentiers.

Cette analyse met le point de la situation des économies dans le Monde, elle vient d’être divulguée par le FMI. Elle a trait aux disponibilités financières qui sont le véritable moteur d’une reprise. Alors que les grandes transformations des opérations monétaires marchent vers la logique de numérisation des opérations et des échanges, le climat général relate une baisse de la dynamique. La marche des PMU, présumée inexorable, ralentit et leurs activités décroissent. En même temps, la persistance des disparités, entre les sexes, dans les accès aux financements, maintient un problème récurrent.

Enquête annuelle sur l’accès aux services financiers (FAS)

Les espoirs d’atteindre les objectifs de développement durable d’ici à 2030 intéressent l’ONU et mobilisent les institutions financières comme la banque mondiale et le FMI. En même temps, de nouveaux paradigmes apparaissent quand les BRICS fractionnent la cohésion avec les 40 % de la population mondiale et plus d’un quart du PIB global. Et aussi tarde, la sortie de la COVID-19 qui n’est pas encore consommée. Les troubles et chapardages sont en cours et témoignent des craintes de récession.

La prolifération des points d’accès aux services financiers numériques a inévitablement entraîné une augmentation de leur utilisation, mesurée par l’augmentation du nombre et du volume des transactions financières numériques. Mais l’essentiel va plus loin...

L’économie mondiale n’éternue plus du rhume de la crise aux USA.

Même si le recours aux comptes bancaires a augmenté à l’échelle mondiale, on a constaté une baisse perceptible de la valeur des encours des dépôts et des prêts en proportion du PIB dans de nombreuses régions.

Au Moyen-Orient et en Asie centrale, par exemple, la part des encours de prêts dans le PIB est passée de 59 % en 2021 à 55 % en 2022. La baisse globale de la valeur des prêts peut être en partie attribuée à la levée des mesures politiques liées à la COVID-19 qui ont été mises en place. Les transactions sont adoptées pour encourager les prêts bancaires et une politique monétaire plus stricte en réponse à une inflation plus élevée.

Cette mutation a modifié les solutions d’accès aux financements. Ce qui veut dire qu’il y a une nouvelle génération derrière ce changement forcé de ces dernières années. Les points de contact traditionnels comme les distributeurs automatiques et les agences bancaires connaissent un déclin. Alors que les plateformes non traditionnelles telles que les agents de détail et l’argent mobile sont en plein essor.

Les territoires suivent différents modes. En Afrique, plaque tournante de l’argent mobile, la valeur de ces transactions est passée de 26 % à 35 % du PIB entre 2021 et 2022. Pendant ce temps, en Europe et dans l’hémisphère occidental, la préférence va aux services bancaires mobiles et Internet, où le volume des transactions bancaires en ligne pour 1 000 adultes a bondi de plus de 20 % rien qu’en 2022.

Outre l’abaissement de la dynamique du modèle PME, en dépit qu’il soit celui de la ferveur technologique des startups, les financements encore tenus en restrictions, tel un blocage, par aussi la disparité entre les sexes. Quand le FMI découvre que la relance post-covid est modeste, d’après son enquête annuelle appelée ASF, l’institution se penche sur ce qui se passe exactement ?

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Voir en ligne : FMI & Banque Mondiale

   
   

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