Les bilans officiels des morts viennent de dépasser les deux millions dans le monde, mais dans certains pays il y a plus de décès, que d’habitude, en comptant, ou même pas, ceux du COVID-19. Pandémie, laquelle a son rythme de croissance des victimes, loin de ralentir. Plutôt elle s’accélère en Europe et pratiquement partout où aucun miraculeux vaccin ne semble pas complètement efficace pour arrêter la propagation.

Vaccin anti-COVID-19 du Vietnam, en phase 3 des essais.
25 janvier 2021

Sur les plus de 100 millions de cas de contamination au SRAS-Cov-2 du Monde, on estime les guérisons à environ 57 millions. Le reste différentiel comporte ceux ayant des séquelles symptomatiques de différentes formes, donc sous soins comme le président Algérien. Et plus de 2 millions de décès, lors du 1er mois de l’année 2021, pour une maladie datée de fin 2019. Elle donne un bilan qui fait réfléchir plus d’un des scientifiques notamment des effets sur les sociétés humaines.

La course aux vaccins ne fait que commencer. Car pour une réalisation optimale exige pas moins de 5 années d’essais cliniques et d’études de suivi, temps nécessaire à toutes les recherches. Mais ce cas d’urgence préoccupant ne permet pas de tarder. La maladie progresse en Occident, alors que le monde est très grand. Elle révèle une multitude de symptômes qui réagissent différemment d’un individu atteint à un autre.

Comment analyser l’échec aux Etats-Unis, en Europe et dans des pays comme le Brésil ou bien la Russie face au COVID-19 ? Et sans tenir compte des conditions que vivent certains pays qui n’ont même pas déposé de commandes pour les vaccins faute de budget, telle l’Ukraine ? Alors qu’en Chine où a commencé la pandémie, ainsi que pour des pays asiatiques, la maladie est endiguée.

Les symptômes d’une infection au coronavirus sont multiples et semblent surgir des données glanées sur les personnes touchées, laissant apparaitre telle ou telle trace qui a altéré leur physique. Pas moins de 10 lésions et traces laissées. Une nouvelle recherche montre que le respect du maintien au domicile et les interdictions d’expulsion de personnes non-abritées sont essentielles, pour stopper la maladie.

Les études chinoises du SRAS-CoV-2 et la discipline du confinement.
mercredi 27 mai 2020

La règle qu’il faut s’isoler et contacter rapidement votre médecin traitant (par téléphone avant de vous déplacer directement à son cabinet), est devenue assez primaire, que les citoyens doivent et savent la suivre, quand ils ressentent qu’ils sont touchés. Ceux qui n’ont pas habitude des soins peuvent ne pas être en conformité avec cette démarche, mais les médias leur ont expliqué depuis une année que faire.

Les versions du virus se multiplient, dernière en date est apparue en Californie. Les chercheurs qui l’ont découverte disent que cette nouvelle souche peut, selon eux, être responsable d’une augmentation rapide des infections pendant la saison des vacances qui s’ouvre en cette fin de janvier 2021, dans cet État déjà incontrôlable à plus d’une expérience vécue par sa population.

La vitesse du deuxième million nous rappelle que la course contre le SRAS-CoV-2. Elle ne se montre pas gagnée dès demain, car les laboratoires disent qu’ils ont des retards de production. Bien que le vaccin alimente l’optimisme pour l’avenir, la réalité n’est pas dans l’immédiateté de la fin de la crise sanitaire. L’immunité collective reste encore loin et les résultats des traitements préventifs vaccinaux ne sont pas encore acquis.

Pour rappel les chiffres chinois qui ont été pourtant et lamentablement dits faux, sont maintenant sous le microscope d’une commission de l’OMS pour déterminer l’origine du SRAS-CoV-2. L’Europe a 615 000 décès du COVID-19, suivie de l’Amérique du Nord avec 565 000 et de l’Amérique du Sud totalisant 384 000, lors de cette fin de janvier 2021. A se demander pourquoi ces pays dits avancés ne sont pas comme les autres moins dotés de moyens ?

Dans ce graphique les datas des continents et uniquement de 2 pays (pour nos lecteurs), France & Algérie .

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