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Vaccin anti-COVID-19 du Vietnam, en phase 3 des essais.

Retard des labos pour les commandes, on lorgne aux candidats.

lundi 25 janvier 2021, par Rebel Kazimir

Dès février 2020, un an déjà, les scientifiques de la médecine du Vietnam ont réussi à isoler et mettre en culture la souche du nouveau coronavirus. 4 opérateurs dans le domaine de la recherche médicale dans ce pays ont planché depuis à élaborer un médicament, dont un primordial vaccin. Alors les adversités dressées sont en garde contre une nation qui n’a rien exigé de ceux qui ne la voit pas continuer sa marche.

Voir liste du classement, en bas de cet article. Dernièrement la croissance économique du Vietnam a terminé l’année 2020 avec 2.3% et celle à plus 2.6%. Habituellement et depuis 10 elle faisait 5 ou 6 %. Pour COVID-19, le pays enregistre 1.100 de cas connus atteints du COVID-19 et une quarantaine de morts. Malgré le choc de la pandémie qui a provoqué un arrêt de l’économie mondiale, les exportations du pays ont augmenté de 4,2 %, rajoutant un bon excédent des échanges du pays à la clôture de l’exercice 2020.

On n’en parle que rarement, dans les médias. Mais l’autre prouesse, comme actualité alternative est le candidat anti-Covid-19 vietnamien, développé par le laboratoire Nanogen et l’Académie de la médecine militaire, s’appelle "Nano-Covax". Il dépasse sa phase-2 de ses essais cliniques. Il sera attendu dans environ 12 mois. Et comme l’indisponibilité des autres produits, il sera dans les substitutions possibles.

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21 janvier 2021

Nous avons publié dernièrement un article sur le programme de COVAX que l’OMS pilote pour que les pays pauvres obtiennent leur part de la production de ce soin tant attendu. Donc, c’est pour ne pas confondre les 2 formulations qui sont aussi des mobilisations intéressantes.

Et l’une demeure inconnue, pourtant assez intéressante. Même si l’OMS a confiance, il est rare d’entendre parler. Le Vietnam est justement l’un des rares pays du Monde discrétement reconnu par l’Organisation mondiale de la santé pour son système national de gestion du développement des vaccins. Son représentant en Asie, d’origine coréenne (du sud bien sûr) s’est dit impressionné par la gestion de la maladie transfrontalière.

Alors que la pandémie prend de l’ampleur, les grands producteurs des vaccins dans les pays occidentaux se déclarent impuissants et n’accomplissent pas leurs engagements de livraison prévus pour avant la fin janvier 2021. Leurs chaînes de production se grippent pour des raisons inconnues. Leurs actionnaires gardent le silence, alors que leurs bénéfices ne sont pas aussi bien précis à ce stade.

En France, l’institut Pasteur abandonne son projets de vaccin anti-COVID-19, les 1ers essais pas concluants.

C’est pour cela que « Nano-Covax » est une curiosité qui n’a pas la publicité qu’il mérite. Il a été testé pour la première fois le 17 décembre sur trois volontaires. Dans la lutte contre COVID-19, la région asiatique où est apparue cette terrible maladie, les gens s’en sortent bien. Dans ce contexte géographique quel appréhension pour un pays de 100 millions d’habitants, surtout quand il a des particularités historiques ainsi qu’une présence discrète sur la scène internationale en dépit de sa renommée.

Alors que la concurrence est implacable, des pays, comme le Vietnam, considérés petits et demeurant inexplorés, offrent médicalement à leurs citoyens des prises en charges aussi dignes qu’humains. Leurs citoyens aussi gardent la pudeur de ne pas exposer l’affront d’être satisfaits, alors qu’encore les ravages du COVID-19 ressemblent à des crimes économiques.

Ce cas, médiatiquement peu couvert, isolé et communiste par-dessus les primaires idées d’exclusion, qui tient à rester aussi éloigné des feux de la rampe, donne à méditer. Le Vietnam a un bilan insolite et inconnu pour cette pandémie mondialisée. Faut-il nécessairement en parler ? Ou bien essayant de savoir exactement qu’en est-il exactement ? Et pourquoi l’OMS ne témoigne pas ?

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Comme l’essentiel est le vaccin, que fait donc cette nation ? Oui que réalise-t-elle plus largement, dans l’indifférence des observateurs qui se détournent de son état. Ce pays a été longtemps agressé par même les ordres de la Maison Blanche, avec l’opacité inavouée qui l’entoure. Même l’essor économique n’est pas constaté, de ce Vietnam qui suit le modèle chinois de gouvernance économique.

En parler c’est déjà comparer et briser le langage dominant qui n’a aucune innovation. Pourquoi oublier ce peuple ? C’est le genre d’information que les médias corporatistes et traditionnels classeraient comme un vrai « fake news ». Parce qu’elle concerne un pays qu’on ne tient en odeur de sainteté, pour le marxisme qu’il affiche encore en dépit de l’agression américaine des années 1960.

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jeudi 17 août 2017

Des pays dirigés par des dictatures qui fabriquent leur vaccin librement, restent inadmissibles dans l’arène des informations du public. Les hauts murs qui protègent les paradis démocratiques du marxiste de Chine, de Cuba et de Corée du nord, refusent aussi la Russie et son vaccin. On ne croit pas que « Spoutnik-V » soit aussi doué que celui des entreprises de Wall-Street.

Avec la réussite à d’un vaccin, pourtant seulement 16 cas de COVID-19, restera unique dans les annales. Nano Covax, un vaccin candidat anti-Covid-19 vietnamien développé par le laboratoire Nanogen et l’Académie de la médecine militaire, a été testé pour la première fois le 17 décembre à Hanoï sur trois volontaires. Et l’avis de l’OMS à propos de ce pays reste illustratif.

Un vaccin reposant sur la technologie de protéine recombinante, une base de travail connue des scientifiques, mais peu accessible non par ses difficultés de conception mais du fait du nano-cadre de travail qui lui est propre. Elle consiste à modifier les gènes de l’élément contaminant pour le neutraliser et en déduction, comme pour un vaccin, réveiller une défense immunitaire…

Ce qui diffère des vaccins inactivés et des vaccins vivants atténués contre le coronavirus, développés par certains établissements de recherche dans le pays. Mais là, c’est aussi un autre sujet...

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