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Massacre à Gaza : parler de paix ou d’Etat "Palestine" et laisser-faire la terreur d’Israël

La résistance, le football et la recrudescence des crimes de guerre !

mardi 17 juillet 2018, par Rebel Kazimir

Les opportunités que ne rate pas Tsahal pour accélérer et augmenter ses exactions, sont cette fois sur le profit de l’effet de la coupe mondiale de football. Comme "para-institution" surarmée et agissant, avec des mercenaires ayant à 80% des doubles nationalités, pour le compte d’une entité imbue de son colonialisme, l’armée israélienne a tué dernièrement des innocents, hommes, femmes et bébés. Et même une infirmière et un journaliste sont tombés sous les balles de criminels ayant la complicité occidentale...

Les services des urgences de santé palestiniens ont communiqué le 9 juillet, l’effrayant bilan de 222 Palestiniens de Gaza morts et plus de 1 600 personnes ont été blessées, dans uniquement les bombardements de l’enclave de Gaza. C’est-à-dire non-compris les victimes de la barrière, qui depuis depuis le mois de mars manifestent pour retourner à leur pays. D’où ils ont été chassés et parqués...

25 avril 2018

Le « somoud » des palestiniens reste encore inconnu. Pour certains il est question des derniers propriétaires terriens qui demeurent encore attachés à leurs parcelles et ne les cèdent pas aux riches colons venus du Monde entier offrir un pactole tentant. Pour d’autres c’est juste une illusion, car les palestiniens n’ont rien gagné par la violence, ils se convertissent en agneaux paisibles. Ils ne restent que les arabes d’autres lointaines contrées qui rêvent aussi de guerre et de luttes armées...

Cependant les "fascislamistes" espèrent encore la lutte armée contre l’occupant de la terre et le spoliateur de la patrie des Palestiniens. Mais dans leur majorité ces derniers optent pour la résistance, alias le "Somoud" en langue arabe. Ils s’inspirent des méthodes de Gandi et de Mandela pour arracher leur liberté et reconquérir leurs droits fixés par le droit international, dont les résolutions de l’ONU.

31 mars 2017

D’une part les partisans, majoritairement arabes, de la lutte armée et même de l’extermination des juifs ou destruction totale de l’Etat hébreu, ne cessent de s’exciter. De l’autre, la panique des sionistes impénitents qui valident l’extermination d’un peuple pour lui subtiliser sa terre, se vend toujours bien au niveau des médias et des chancellerie diplomatiques occidentales…

Le terme « Somoud » signifie la forme de résistance consciente, de résolution collective et d’ancrage du peuple au sol sacré de la patrie. Le conflit réside dans une colonisation à outrance par un Etat, Israël, créé par une résolution de l’ONU. L’entité sensée abriter un peuple persécuté maintes fois en Europe et pendant les millénaires de sa mémoire, justifie ses pires exactions envers les spoliés de leur terre par cette antériorité que les puissances du Monde actuel en ont déjà fait leur « action civilisatrice ».

La barrière qui cloisonne la prison à ciel ouvert faite à 2 millions de personnes et reçoit depuis le mois de de mars des manifestants paisibles et désarmés. L’odieuse « Loi du Retour », qui permet à chaque individu de par le monde reconnu comme « juif » de devenir quasi-automatiquement citoyen israélien, à l’exception des anticolonialistes, toujours refoulés à leur arrivée à l’aéroport, comme tous autres journalistes ou juristes venus s’enquérir de la situation. Cette loi n’est pas reconnue aux palestiniens.

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