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Le logiciel géostratégique est pour les émergents un contrepoids à l’Occident !
dimanche 11 décembre 2022, par
Après les États-Unis, la Russie, l’Iran et le Canada, l’Algérie est le cinquième producteur mondial de gaz. Voilà en quoi, la présence de ce pays avec les BRICS peut être appréciée. Pour les autres qualités contemporaines, ça reste à voir. Dans le domaine strictement pétrolier, l’apparition de nouveaux producteurs ayant eu de gigantesques gisements déclasse ce pays d’Afrique du nord passe au-delà des 10 premiers, voire le 11ème désormais…
C’est en juin dernier que les pays BRICS ont convenu de la nécessité au bloc de s’élargir. Le groupe se dit au besoin de nouveaux membres tout en conservant son caractère et ses orientations d’origine. Mais des conditions qui sont moralement visibles pour arriver à siéger avec cet ensemble à l’identité variée, sont pleinement idéologiques et géopolitiques. D’emblée quelles sont ces règles, idées ou valeurs ?
Quels apports et intérêts des prétendants à être des BRICS ?
22 novembre 2022
Plus tôt en mai, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi avait expliqué que l’inclusion de nouveaux membres répondrait aux attentes des pays en développement. Pour le dessein d’augmenter leur représentation et leur voix dans la gouvernance mondiale. L’équilibre à atteindre pour contribuer davantage à la paix et au développement mondiaux.
Notre précédent article a tenté d’authentifier les pays ayant candidaté pour rejoindre BRICS ? Il était question des apports contribuant à renforcer les moyens communs que recèlent cet ensemble déjà vigoureusement en place. Avec l’immensité des nations qui ont institué moult accord avec l’acronyme BRICS, des initiales de leur appellation, que seraient les renforcements des nouveaux membres ?
L’adhésion de l’Algérie au BRICS se confronte à l’absence d’harmonisation avec les axes de géostratégie, voire de l’ambition, du groupe. Les pires ambiguïtés des institutions du pays d’Afrique du nord relatent des contradictions dans l’approche avec les nations déjà coalisées. En effet, les rapports de client d’armement avec la Russie et de partenaire commercial la Chine, laissent croire aux dirigeants algériens qu’ils ont leur siège assuré. Or, à bien réfléchir, il y a d’emblée et d’abord un débat !
Sans concessions, les BRICS et la gouvernance du Monde en question. (2ème Partie)
13 octobre 2016
C’est le wali (préfet) de la capitale, installé le 17 septembre à son poste par le nouveau ministre de l’intérieur, lui-même ancien conseiller à la présidence, qui s’est exprimé à ce sujet. Mohamed Abdennour Rabehi a dit que le pays doit accommoder ses législations aux options fixées. Il s’est distingué par l’idée de jumelage d’Alger avec Moscou, chose qui n’a jamais été d’intérêt concret au nombre de fois qu’elle a été faite pour d’autres villes.
Pour ce bureaucrate des services déconcentrés internes de l’Etat, s’exprimant au nom même de la diplomatie, « … le pays pourrait développer sa coopération avec d’autres pays dans des domaines tels que les ressources minérales, gazières et hydriques, entre autres. » Ce qui relate donc que les paramètres économiques, institutionnels et idéologiques actuels sont inadaptés aux projections et doivent être revus.
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune devait informer Moscou d’un calendrier convenable qui est imaginé. Il est question d’effectuer une visite et rencontrer le président russe Vladimir Poutine, suite au dépôt de la candidature de l’Algérie pour rejoindre BRICS mais les achats d’armes. Elle est programmée pour décembre, mais comme Moscou est scrutée pour sa guerre anti-OTAN en Ukraine. Même les relations et les ventes d’armements sont surveillés car elles financent le conflit en Europe.
Dans la volatilité des compétences et missions, le wali (préfet) d’Alger, en plein manipulation bureaucratique du léger dossier de la formalité de jumelage de la capitale d’Afrique du nord avec Moscou, s’empare du sujet de la candidature algérienne pour rejoindre le collectif des pays dit BRICS.
Il a donné le ton sur les éventuelles exigences juridiques que le pays, dont il a la charge du destin de sa délabrée capitale, doit instaurer. Bien des recommandations sont précises pour faire partie du consortium dont l’acronyme, le désignant, est fait des initiales de chaque pays du groupe.
Début novembre 2022, lors du regroupement des pays arabes, l’Algérie a officiellement candidaté, par la voix même du président Tebboune, pour rejoindre les BRICS. Suite qu’en juin de la même année (2022) il a été annoncé d’élargir le bloc des 5 nations montrant une nouvelle alternative face à l’OTAN et à l’alliance des occidentaux.
La chargée au ministère algérien des Affaires étrangères du partenariat international, Leila Zerrouki, en a fait un projet majeur du pays et de ses relations extérieures. Elle a obligation de bien s’exprimer, en insistant de son sujet qui est un chantier du chef de l’Etat, en mal de... crédibilité !
Voir en ligne : BRICS
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