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L’absence des données désarme les sciences et les prévisions.
jeudi 12 décembre 2019, par
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D’emblée, il faut dénoncer l’illogique indisponibilité des données, de plusieurs secteurs concernant l’Algérie. Elle est due non pas à une absence aléatoire, sur les plateformes officielles du pays et des instances internationales, comme la banque mondiale. Mais aux évidentes incompétence et paresse, de ne pas intégrer leur élaboration dans le travail des institutions. Avant de publier notre article de data-journalisme, faites connaissances avec ces utiles et nécessaires explications.
Lire la suite (mise à jour jour) : ICI.
Au point que douter que l’inexistence de ces indicateurs, parmi les informations continentales pour des domaines scientifiques, ou des résultats statistiques, constitue que le boulot n’a pas été fait. Ce qui laisse perplexe devant la non-transcription des réalisations et des souillures qu’il faut étudier pour ne plus les subir, avec quoi fera-t-on les prévisions pour demain ?
C’est-à-dire que les datas qui permettent d’anticiper l’économie et d’autres activités très sensibles, impactant la vie des gens, sont manquantes, quand on tente de consulter celles concernant l’Algérie. Sur des listes citant les pays africains et de la sous-région dite MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), la gravité est qu’elles ne figurent pas, ni là et ni parmi celles des autres pays.
– L’IA existe par les datas et optimise leur utilité, alors la confiance de les partager ?
11 septembre 2019
Je dois dire d’avance que les données ne sont pas une solution directe et universelle à tous les problèmes. Cependant en tant que ressource, pour le journalisme entre autres spécialités car elles sont vraiment valables pour le marketing, les datas apportent les éléments d’analyses. Et elles ne font pas à elles seules le reportage qui doit être documenté aussi.
Le lecteur comprend mieux quand le propos est solide avec des arguments accompagnant la publication qui offrent des visualisations claires. Les données publiques doivent être, avec des règles de référence, ouvertes. Si les gouvernements veulent bien travailler et être aidés dans leur mission, ils doivent avoir cet engagement. Ce qui permet d’ailleurs grandement à corriger les erreurs.
Avant de diffuser notre article basé sur les données météorologiques de l’Algérie, nous avons décidé de vous en parler de la méthodologie de sa réalisation. Ce qui n’est guère notre première expérience avec les datas. Plusieurs de nos articles, basés sur les datas, ont été écrits et présentés, notamment celui en rapport avec la météorologie et le climat.
Nous avons choisi de renouveler le procédé. Parmi les nouvelles idées, liées aux sciences et aux recherches, que nous proposons, le journalisme qui surmontent la rétention de l’information et qui puise ses preuves directement d’éléments visibles et vérifiables. Et au final que d’emblée il faut le dire, c’est le justificatif de la critique de la gestion des affaires algériennes qui nous encourage.
Avec la nouvelle année 2020, c’est une question de changement et de mutation, dans le sens d’informations correctes, est la direction que nous empruntons. Avec cette nouvelle inspiration est fait cet article.
– L’analyse des données manque de compétences, innovation ou formation ?
1er octobre 2019
Nous avons déjà raconté des histoires, commenté des faits et rapporté des révélations pertinentes. Nous les avons diffusées parce qu’elles sont, pour nous, à haute valeur ajoutée et à intérêt social, pouvant aider les gens. Et conformes à notre ligne éditoriale.
Cette dernière tente d’être celle d’un magazine de détente intelligente. Ce qui est notre fière prétention de choisir avec culture, bienveillance et rigueur, les sujets appropriés à l’éveil de la variété d’opinions chez nos lecteurs accoutumés ainsi que chez nos lecteurs occasionnels.
Nous sommes déterminés à Populi-Scoop à développer, pour l’avenir, un journalisme immersive et d’investigation. Nous irons dès 2020 vers l’augmentation des sujets d’éthique et des analyses profondes sur les questions qui servent dans les projets et les activités des humains. Les datas que nous utilisons sont élaborées et servent à consolider nos interprétations des faits et justifier nos sources.
D’emblée nous le proposons pour montrer la mauvaise gestion des gouvernances, notamment le déficit du reboisement. Quand en 2019, avec la levée de la voix du peuple qui a longtemps gardé sa dignité, 40 millions d’arbres sont dits programmés à être plantés. Mais quelle démagogie sera aussi servie ainsi ?
Voir en ligne : Notre dossier : Datas & Données.
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