Accueil > High-tech / Sciences > TECHNOLOGIE, INTERNET, PERFORMANCES INCLASSABLES > L’analyse des données manque de compétences, innovation ou formation ?
Réalités dures pour les entreprises qui concentrent des données sans utiliser.
mardi 1er octobre 2019, par
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Le monde digital vire à la Data-Science. Il n’est pas satisfait par les compétences où les bassins nouveaux, comme l’Inde, bouillonnent plus chaudement qu’ailleurs. Les grandes économies comme les Etats-Unis et la Chine mènent une course avec les pénuries de talents en ingénieurs de données et les architectes en management technologique. Les experts manquent, alors que l’éducation n’a pas encore ses formateurs. On renvoie des tàches à de rares prestataires qui n’ont les qualités et la culture ou bien les arguments des commandes...
Un métier où on ne vous demande guère de diplôme, comme les bidouilleurs d’informatique, est, dans la trajectoire de technologie nouvelle, actuellement au sommet des recherches de compétences par les entreprises. Pour les migrants travail, titre de séjour, logement et bon salaire sont assurés au sommet même des bastions des grosses et grande boîtes du Monde, comme la « Sillicon-Valley ».
Les talents de la science des données peuvent être incroyablement recommandés par les ressources humaines et les recruteurs les plus raffinés. Vous auriez bien du mal à trouver un dirigeant principal de l’information digitalisée ou un chef d’entreprise qui n’ait pas eu à se battre pour embaucher un ou trois scientifiques en informatique.
– L’IA existe par les datas et optimise leur utilité, alors la confiance de les partager ?
mercredi 11 septembre 2019
Trouver quelqu’un qui sache récupérer les datas, les organiser et les utiliser dans les projets les plus ambitieux est, comme en Inde qui est actuellement la nation avec la 1ère croissance, sans concessions en 2019. L’offre mondiale de talents est très flexible, avec la possibilité de redéployer les talents existants est facilité pour les plus créatifs.
Un goulot d’étranglement pour les compétences en analytique ralentit obligatoirement les transferts. Les projets existant en matière de données sont désordonnés dans les entreprises, ce qui est imparfait mais le retard technologique impose cette science est non-encore pleinement maîtrisée, avec des études et des précisions de leur application. Tout le monde découvre, à la vitesse grand V, ce domaine.
La science des données n’est pas une science aussi exacte que nous le souhaiterions même à l’avenir. Malheureusement, trop de diplômés manquent à l’expérience du monde réel pour bien comprendre cette spécialité. Nous pouvons certainement pousser le système éducatif à mieux préparer les étudiants pour qu’ils rejoignent un marché du travail qui nécessite une approche plus réaliste et pratique...
Pour un métier qui n’existait il y moins de deux années, un rapport récent de Bain & Company (lire ICI), indique que l’offre mondiale de professionnels de l’informatique dotés de compétences avancées en analytique devrait doubler entre fin 2018 et fin 2020 pour atteindre un million de travailleurs. Les jeunes ne s’orientent pas massivement à cette spécialité et la question que même cette article tente d’exposer.
– Que faire avec les données : leur confidentialité ou l’escient de leur science ?
lundi 8 avril 2019
Peu importe le secteur d’activité, les entreprises disposent de nombreuses datas sur leur propre personnel ainsi que concernant leurs partenaires et particulières des clients. Il ne s’agit que d’en faire bon usage, comme ne pas les vendre aux demandes de délinquance ou aux institutions qui répriment aveuglement.
Dans les pays développés les analystes des données sont devenus la première corporation. Ils précèdent désormais les informaticiens qui sont les premiers à se convertir pour développer des projets d’IA (Intelligence Artificielle) et de maîtriser les langages de programmation nouvelle en rapport avec les différentes phases de traitement des données.
Le besoin en scientifique des données se fait ressentir presque universellement. Les entreprises ont un double objectif qui se différencie aussi. Elles veulent utiliser les indications recueillies pour rendre leur entreprise plus intelligente ce qui lui donne plus d’aptitude dans la compétitivité. Ou bien elles veulent en faire le moyen de transformer, ces datas acquises, a en de nouvelles recettes.
Au cours de la dernière décennie, notamment les denrières exercices, le domaine de la science des données a connu une croissance exponentielle. À la fois dans l’étendue des applications qu’elle englobe dans l’économie que dans la profondeur de la compréhension des scientifiques des données, cette richesse est en plein naissance.
Dans la gestion en général, comme l’administration des populations, les connaisseurs en herbe des datas devraient répondre par les concepts de base d’abord. Puis en faire une expertise à la hauteur des attachements de l’humanité à de nouvelles conquêtes dans l’analyse...
Voir en ligne : Notre dossier : Datas, données et Data-Science.
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