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Des meurtres souvent politisés et commandités par des entreprises et des décideurs
mercredi 31 juillet 2019, par
Il y a 2 années déjà le prestigieux journal anglais "The Guardian" osa avancer que entreprises et même des responsables publics ont engagé des tueurs à gages pour éliminer des militants écologistes susceptibles de s’opposer à des projets à la fiabilité environnementale douteuse. (LIRE ICI). En réalité ils sont victimes de diverses persécutions et souvent des lois antiterrorisme leurs sont appliquées.
Ces faits divers sont suivis par les journalistes selon les directives de leurs employeurs. La matière de presse alternative, tel de Populi-Scoop, a ses propres positions qui ne sont pas négociables. Quand ces citoyens protègent la nature, plusieurs sortes de menaces les ciblent. Comme les priver de logements ou de travail et même des harcèlements judiciaires surviennent quand les convoitises des sols pour des raisons économiques sont mises en branle.
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dimanche 28 juillet 2019
Les ressources de la Terre pour 2019 sont épuisées le 30 juillet, écourtant encore la période d’exploitation des richesses et réduisant aussi le quota de l’année prochaine pour l’avoir entamé. Cette info rendue publique, elle est suivie du bilan de 164 décès dans le Monde de militants donné par l’ONG Global Witness en 2018.
Une précédente enquête de la même organisation, pour 2017 a révélé qu’avec 207 meurtres, est la plus meurtrière, pour les défenseurs des droits à la terre et les défenseurs environnementaux. L’agrobusiness devient l’industrie associée au plus grand nombre de ce type de meurtres, dont la cause directe est certainement le foncier.
A premier regard le développement d’infrastructures industrielles qui assurent beaucoup moins d’emplois que par le passé, du fait des automatisations des outils de production, les défenseurs des terres sont considérés comme des obstacles au « progrès », aussi bien les investisseurs que les politiques publiques.
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lundi 18 février 2019
Les exemples ne manquent où les défenseurs de la nature sont présentés comme de dangereux militants. Pour les retenus d’eau qui desservent les zones urbaines en eau potable et l’agriculture en principal élément d’irrigation les activistes sont désignés dans des communiqués officiels, relayés par les médias, qui les présentent comme des ennemis du progrès ou de d’illégaux protestataires qui s’en prennent à l’autorité.
Des politiciens, souvent des élus du peuple, s’en prennent en toute impunité aux défenseurs l’environnement, comme le montre l’expérience de la jeune Greta Thinberg, lors de son passage où la droite ne s’est gên, outre de la boycotter, de la traiter de noms d’oiseaux. Ils s’impliquent souvent directement et personnellement dans la justification d’intérêts économiques locaux qui des fois constituent de vraies et visibles catastrophes écologiques.
Engagés dans la défense de l’environnement et des droits à la terre, les citoyens qui sont tués suscitent peu d’ampathie dans l’opinion générale. Si le chiffre de 164 est relativement bas à de l’année précédente, il existerait donc nombreux cas de décès non documentés, comme des morts qui ne sont pas reconnus avoir perdu la vie pour une telle motivation. Sans compter bien sûr les plus vulnérables, qui dans l’incapacité de se défendre abdiquent aux pressions.
Voir en ligne : Notre dossier Environnement & Ecologie
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