Accueil > Editoriaux / Opinion > Editorial, opinion, point de vue, déclaration, paix, pertinente, monde, (...) > Une étude constate que des oiseaux évitent les palles des éoliennes.
Des observations disent que des espèces aviaires vivent avec les moulins à vent.
dimanche 5 mars 2023, par
Le comportement des oiseaux marins en plein vol à l’intérieur d’un parc éolien offshore bénéficie de cette 1ère compréhension. Leur évitement de collision avec équipements qui sont imposants est établi selon la collecte de données aussi détaillées que possible, ce qui a permis l’estimation du taux du manque d’incidences et autorisé la modélisation des risques. Les travaux ont été menés pendant la période de reproduction et poursuivi en post-reproduction, aux moments où les densités sont les plus élevées dans la région d’Aberdeen (Ecosse).
Dans une étude qui a coûté plus de 3 millions de dollars et a duré aussi plus de années d’observations assidues, dont leur majorité a été enregistrée, il est démontré que des espèces d’oiseaux marins d’une région d’Ecosse prennent distance, dans leurs envols, des éoliennes installées en vue de produire l’électrique verte. Youpi ! Les discours négatifs sont démentis, y compris les articles qui parlaient de massacres.
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La pollution au plastique, quant à elle, continue alors que des alertes la dénoncent. Donc si les oiseaux s’arrangent à ne pas avoir d’incidence mortelle ou navrante de la présence des équipements en éoliennes pour les nouvelles énergies, ils subissent plus gravement l’existence des "microplastiques" qu’ils ingurgitent fatalement. Une autre recherche lance son alerte à ce sujet, sur lequel nous reviendrons prochainement. Car elle rapporte des taux élevés de mortalité.
Les écologistes qui prônent une politique qui a l’originalité de se pencher sur le futur et s’associe aux luttes pour les égalités, soutiennent la présence des éoliennes. Dans leur démarche, ils ont du pain sur leurs planches avec le réchauffement climatique. Et aussi l’extinction des espèces est le sujet qui dit que l’accaparement de la planète par les humains au détriment des autres êtres avec qui le partage de la vie sur Terre faisait un équilibre vital, nous incite à défendre les animaux.
En matière de nouvelle énergie, les éoliennes subissent une certaine hostilité sur leur effet dans les paysages en se faisant rarement accepter dans les territoires ruraux et urbains. Les dérangements qu’elles engendrent sur la faune notamment les oiseaux est vérifiée par cette prospection scientifique. La compagnie d’électricité suédoise Vattenfall a publié une étude, voir notre document, sur les interactions entre les oiseaux marins et les équipements offshore qui produisent l’électricité du vent.
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Son résultat est marquant. L’adaptation des volailles marins à leur environnement jonché des appareillages géants, où les pales tournent sous l’effet des énergies transférés par la mobilité des airs, est utile pour un pays dont la population. Alors qu’elle est éprise par la protection de la nature et a enfante Gretta Tunberg.
A dessein elles sont dressées pour capter ce mouvement venteux et en faire la lumière, les éoliennes sont adoptées par ces animaux avec qui elles partagent le ciel. Et leur rapport aux volatiles s’est vérifié sans effet néfastes. Pourtant bien des politiciens ont donné des discours erronés, comme l’a fait Donald Trump chose que les scientifiques ont démystifié, après ses paroles.
C’est la première fois qu’un type d’espèce d’oiseau est étudié aussi étroitement et en détail dans un parc éolien offshore. Cela se passe en Europe et nous apprend que l’intelligence de ces animaux se déplaçant via le ciel n’est pas négligeable. Ces oiseaux sont vraiment doués pour éviter les éoliennes. Maintenant, nous avons besoin d’études sur plus de variétés et d’espèces présentes dans ces lieux dédiés aux nouvelles technologies.
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Les enquêtes sur le comportement des oiseaux font partie d’un effort global visant à éviter la construction de parcs éoliens dans les couloirs de vol. Maintenant des catégories sont déterminées à vivre avec ces hauts équipent qui se trouvent sur leur itinéraire et ne gênerait guère leur envol.
Des preuves de dix mille vidéos étayent les conclusions de l’étude qui explique que les oiseaux volant autour du parc éolien offshore d’Aberdeen, ne sont pas impactés. Les explications sont détaillées des observations sont importantes pour l’avenir de ces technologies qui sont sujets d’attaques de politiciens et même des voisinages qui ne veulent pas les voir.
Vattenfall dit que les goélands argentés et les mouettes tridactyles ont montré un évitement horizontal plus loin des pales du rotor, 90-110 mètres (295-361 pieds) et 140-160 mètres (459-525 pieds), respectivement, tandis que les fous de Bassan et les goélands marins n’a présenté un comportement d’évitement qu’à 40 et 50 mètres (131 et 164 pieds) des extrémités des pales du rotor.
Comme c’est recherche basée sur les observations, les moyens de surveillance utilisés ont permis de faire correspondre des enregistrements vidéo d’oiseaux marins en mouvements vers un échantillon de leurs pistes radar. Au total, 1 753 pistes couplées ont été enregistrées pendant 2020 et 1 370 pistes en 2021. Ce qui était au-delà des attentes et a constitué la base d’une solide d’évaluation des comportements de vol des espèces cibles dans différentes parties du parc éolien.
Voir en ligne : Réchauffement climatique, environnement, écologie
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