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Une IA a aidé à déceler que les empreintes digitales ne sont pas uniques.

Un étudiant de premier cycle est à l’origine de cette piste judiciaire.

vendredi 2 février 2024, par Rebel Kazimir

Dépendre des données pour l’IA est « sine qua non », c’est sa capacité à les traiter qui est sa mission. Les auteurs ont exposé les justificatifs qui indiquent que l’IA se comporte de manière similaire en fonction du genre et de la race, lorsque des échantillons lui sont disponibles. Ils notent que des validations plus approfondies doivent être effectuées en utilisant des ensembles de données plus larges, si cette technique doit être utilisée en pratique.

Partant de l’idée de deux crimes où figurent deux empreintes de deux doigts à chaque fois différents, il est impossible de trouver que c’est le même auteur, du fait que chaque main à ses propres rayures épidermiques, une nouvelle lecture de cette règle quasi indiscutable. Un jeune universitaire du premier cycle, ayant travaillé dans ses recherches à l’aide de l’IA (Intelligence Artificielle) a émis la thèse que les empreintes digitales ne sont pas spécifiques à chaque fois.

L’introduction de l’IA s’accélère : le Monde au virage négocié par la High Tech.

La belle définition de la science, avec toutes les complexités qu’elle renferme, qui dit : c’est un « ensemble d’erreurs corrigées » semble se confirmer, avec cette information. Une IA (Intelligence Artificielle) a décelé, sans le moindre doute, que les empreintes digitales ne sont pas entièrement personnelles. Leurs lignes courbées ne sont pas entièrement inimitables, c’est incroyable !

Les ingénieurs de Columbia ont développé une nouvelle IA qui remet en question une croyance de longue date, en matière de sciences judiciaires : les empreintes digitales, de différents doigts de la même personne, sont uniques. Il s’avère qu’elles sont similaires, mais nous avons comparé les empreintes digitales de la mauvaise manière, disent les lanceurs de cette thèse !

Comme un infaillible outil pour autodidacte, l’IA a un pouvoir de son savoir, par l’accumulation d’autres connaissances partagées sur le Web notamment. Les scientifiques et observateurs avisés présument qu’il faut s’attendre à une prolifération des découvertes de tous genres, toutes réalisées par des jeunes et amateurs comme des personnes accoutumées à l’usage de l’IA. C’est une publication (libre d’accès) de « Science Advances » qui l’expose.

Il est bien admis auprès de la communauté de la science judiciaire, en faisant usage dans ses missions, que les empreintes digitales de différents doigts de la même personne, ce qui est les « empreintes digitales intra-personnelles », sont uniques et donc incompatibles à d’autres cas. L’AI a le potentiel d’améliorer considérablement la précision judiciaire, en démontrant que des lignes sont des fois similaires chez le même individu et plus largement chez d’autres.

Qu’un étudiant de premier cycle, sans aucune formation en médecine légale, puisse utiliser l’IA pour remettre en question avec succès une croyance largement consacrée dans le Monde entier, c’est innovant, même s’il faut prendre ça avec précaution. Des non-experts, et leurs contraires, "la communauté des experts", y compris le monde universitaire, doit se préparer à l’introduction de réalisations qui surviennent d’une manière impromptue et depuis des sources contingentes.

Une hybridation IA et IRM fait un langage décrivant les pensées.

L’étudiant à Columbia Engineering, a désapprouvé la présomption largement répandue et incontestée de la spécificité des empreintes digitales. Il a procédé sans grande connaissance préalable en médecine légale, mais a utilisé son moyen usité depuis bien des décennies comme modèles infaillible. Pourtant, il prouva le contraire.

Il a trouvé une base de données publique du gouvernement américain, contenant quelque 60 000 empreintes digitales, ce qui est une base de données assez larges. Ce chiffre est moyennement important, car les populations sont bien plus. Il les a introduites, par paires, dans un système basé sur l’intelligence artificielle, connu sous le nom de réseau contrastif profond.

Certaines appartenaient à la même personne, mais avec des doigts différents. Et parfois, elles appartenaient à des personnes différentes. Le système d’IA, que l’équipe a conçu en modifiant un cadre de pointe, est devenu plus efficace au fil des essais. Il déterminait des empreintes digitales apparemment uniques appartenaient à la même personne et quand elles n’appartenaient pas à la même personne. Ce qui est déjà établi.

Pour ce que, comme nous le notons dans l’article, le résultat du travail a été obtenu à partir de 60 000 empreintes digitales. Il faut donc comprendre d’emblée, plus de performance et des conclusions plus approfondies et affinées une fois que cet outil aura été entraîné sur des millions de cas. En croisant et recoupant plus de datas, de bien de similitudes seront plausible aux doigts humains.

La carte, des lignes saillantes, met en évidence les zones qui contribuent à la similarité entre les deux empreintes digitales de la même personne. Crédit : Gabe Guo,/Columbia Engineering, là où ce travail réalisé.

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Voir en ligne : IA (Intelligence Artificielle) & technologie

   
   

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