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L’islamophobie, rejet instinctif d’une cruauté politique et transfrontalière.

L’exigence de différenciation, entre musulman & islamiste, est la représentation communautaire.

dimanche 24 septembre 2023, par Hugo Mastréo

La dernière polémique pour laquelle l’extrême-droite française s’est trouvée, en plein rentrée scolaire 2023/24, mise à nue concerne la robe féminine appelée "Laâbaya". Ce vêtement qui est une sorte de gandoura, chez les hommes elle est attribuée à l’islam, est plus un accoutrement traditionnel assez répandu en Afrique et au Moyen-Orient. La controverse en France n’a eu qu’une dizaine de cas, à travers l’ensemble des établissements scolaires. Seuls deux refoulements ont été constatés au retour aux écoles.

La rigueur sur les concepts aide beaucoup à leur bon usage. L’incompréhension de « l’islamophobie » n’est pas récente. Cependant, il est plus répandu à notre époque que lors des croisades ou des autres contacts des civilisations vécues dans le bassin méditerranéen et dans la région communément connue par Mésopotamie. C’est autour de l’islam que cette discrimination avérée se manifeste.

Inappropriée ingérence d’un chef islamiste algérien dans les affaires de Tunisie.

Le droit de critiquer l’islam comme religion, de blasphémer dans ce sens ou vis-à-vis de ce culte, relève du droit à l’expression. Paradoxalement envers le judaïsme plus que pour le christianisme, c’est inadmissible et même qualifié d’antisémitisme. Ce n’est pas pour ce cas que le vocable « islamophobie » est sujet à débat. Et sa controverse, ressentie par les musulmans, consiste à la politisation de non-assimilation avec leur but de propager leur confession.

La théorie du suffixe « …phobie », venant généralement après un autre terme, provoque méfiance, car lorsque le mot est accolé à un autre substantif, il donne une signification de rejet selon un qualifiant de l’humain qui est cité. C’est une manière de stigmatiser la personne qui en est accusée et de s’en prendre à son état mental plutôt que de s’engager dans ses opinions.

C’est en Occident que les islamistes se font aider par les croyants, avec l’utilisation à outrance de l’islamophobie, afin de faire reculer la laïcité dans les institutions, avec la prière répétée cinq fois par jour et par d’autres pratiques de nourriture. Aussi pour rendre aussi la tenue vestimentaire, s’appliquant davantage aux femmes, en règles générales dans les espaces communs.

Notre populi-Scoop a eu un rédacteur qui s’est dit, depuis bien des années, une intransigeance pour différencier « islamophobie » et « musulmanophobie ». L’islam comme menace pour l’Occident est une idée qui alimente des fois la peur et la méfiance envers les musulmans. Elle ignore le fait que le terrorisme et l’extrémisme sont des problèmes qui affectent toutes les sociétés, indépendamment de la religion.

Les musulmans sont peut-être un peu jaloux de leur identité et ne s’intègrent pas aux cultures qui les accueillent. Ils ressentent l’aliénation alors qu’on prétend qu’ils ne s’incorporent pas dans la société où ils se sont déplacés. De nombreux sont pleinement engagés dans leur communauté, travaillent, étudient et participent activement à la vie sociale et civique de leur pays. Mais cherchent ailleurs à être meilleurs dans ce qui leur étranger…

Tunisie, les islamistes non encore compatibles avec la démocratie.

Des dirigeants musulmans non représentatifs qui sont les plus désireux de faire taire les critiques envers leur croyance cherchent par ailleurs à accentuer les blâmes des autres religions. Cet état est tellement fréquent que les chiffres démontrent que la pratique est plus vaste en islam que chez d’autres divinités. Les prières sont plus suivies que pour les chrétiens à raison de 20 musulmans contre 1 catholique.

La confusion entre race et religion inquiète, quand la définition officiellement reconnue de l’islamophobie préoccupe moult autorités et même nations. Car il ne s’agit pas de se référer à un dictionnaire pour contourner les controverses. Le sujet de cette discrimination advient de l’affichage d’une croyance, où même une scarification frontale (appelée ZABIDA et plus souvent exagérée) différencie le musulman hyper-pratiquant des autres.

Les preuves d’une diligence raisonnable, ou d’un examen minutieux, ne suffisent pas pour l’approche de l’interprétation de l’islamophobie, comme une forme de racisme. En plus, les inquiétudes qui concernent la liberté d’expression étant largement rejetées, alors que les haines s’y plaisent à concorder, le même rejet connu envers les migrants.

"Tous les musulmans sont des terroristes" est le cliché colporté par les plus ignorants des réalités. Il s’agit d’une généralisation extrêmement dangereuse et fausse. L’immense majorité des croyants, à la révélation ramenée par le prophète Mohamed, rejettent le terrorisme et condamnent les actes de violence commis au nom de l’islam. Ils en sont aussi les plus nombreuses victimes de cette cruauté générée souvent dans leur territoire et milieu qui devient artificiel et champ de la théologie du djihad.

Les femmes musulmanes sont opprimées, c’est aussi une idée reçue qui repose sur des stéréotypes et des dogmes préconçus. Le port du voile ou d’autres pratiques religieuses ne sont pas toujours synonymes d’oppression. Beaucoup de femmes musulmanes choisissent librement de pratiquer leur foi et doivent être respectées dans leurs choix.

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Voir en ligne : Islam, islamiste et terrorisme

   
   

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