Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > écologie, planète, mer, sauvegarde, générations futures, avenir, verts, (...) > L’attendue application de l’OMS pour le test du COVID-19.
A partir des symptômes les derniers contacts physiques seront alertés.
dimanche 10 mai 2020, par
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L’ère des applications utilisées par smartphone a donné à la portabilité des actions, comme la visite de sites, sur le Web une grande mobilité, les sortant des foyers et bureaux. Plusieurs travaux ont été initiés au temps du COVID-19 pour parer à sa propagation. L’OMS dispose déjà de « WHO Info » pour faire parvenir ses informations à ceux qui installent l’appli.
Elle informait par SMS ceux, dépourvus d’Internet, qui lui demandent de leur parvenir les informations qui peuvent les concerner. Son dernier bébé a pour but de vérifier les symptômes de coronavirus. Et travaille sur de multitude autres applications pour aider et servir à surmonter les crises sanitaires, dont la présente du SRAS-CoV-2.
– Les Sahraouis de Tindouf affrontent aussi le COVID-19.
dimanche 10 mai 2020
Ce qui est utile pour les institutions sanitaires et même les pays qui n’en ont pas de moyens pour réaliser un tel contrôle. Alors que la pandémie a des dépistages et des entraves majeures faisant des difficultés aux praticiens et responsables, un article de l’agence Reuters (ICI) en a rapporté l’information qui peut grandement servir à un test primaire.
L’organisation onusienne présume lancer dans les prochains jours, voire même le plus rapidement possible dès la semaine prochaine, une autre pour informer les agents de santé du monde entier, sur les meilleures pratiques afin d’enfiler un équipement de protection, se laver les mains et traiter le virus.
Avec de tels projets, notamment avec l’usage des applications de smartphone, la question des données personnelles ressurgit, car elles devaient être exposées dès qu’on se connecte à une appli. D’après l’agence de presse anglaise, Apple et Google ont déclaré que leur système n’utiliserait aucune donnée à d’autres fins et serait arrêté à la fin de la pandémie.
- Nos articles sur les datas ou données.
Justement, alors que de petites startups proposaient moult systèmes intervenant via le téléphone intelligent, l’OMS a évité de s’engager, ce qui a surpris plus d’un. Le directeur Mariano a déclaré, à cet effet, que des considérations juridiques et de confidentialité ont empêché de se précipiter à lancer des applications. Il est indéniable qu’une fois collectées, les datas sont source de revenus.
Par ailleurs la technologie du téléphone, même avec la présence virtuelle des personnes, elle rapproche et pendant au maximum 5 minutes elle transfert des alertes. Elle conserve des journaux anonymement de ces rencontres, distanciées. Elle permet à une personne dont le test est positif d’envoyer des notifications à ses contacts rencontrés physiquement récemment concernant leur exposition potentielle au virus.
– Des grappes de virus sous une vésicule sont plus virulents.
7 mai 2020
D’autres fonctions peuvent figurer dans les applications, outre le vérificateur de symptômes. Elles traiteront par exemples du guide d’auto-assistance pour les soins de santé mentale ou bien ce qui a trait au traçage de proximité. C’est l’une des occasions pour nombreux geeks et les programmeurs de démontrer leur collaboration bénévole à travail universel. La conception open-source, de cette appli de l’OMS, est sur le service d’hébergement GitHub, donc confectionnée avec la participation du public.
Pour les systèmes de santé fragiles, comme en Amérique latine, en Asie et en Afrique, où le nombre de cas augmente, alors le manque de technologie et d’ingénieurs pour développer de telles réalisations est déficitaire, c’est une aide offerte pour les tests rapides et la formation.
Des pays comme l’Inde, l’Australie et le Royaume-Uni ont déjà publié leurs applications aux caractéristiques ressemblantes. Notamment qui disent aux gens s’ils doivent se faire tester, en fonction de leurs symptômes et d’enregistrer les mouvements des personnes pour permettre un suivi efficace des contacts, pour éviter les contagions.
L’OMS note qu’il est possible de publier, aux pays et institutions, leur propre version, en ajoutant des fonctionnalités adéquates aux populations locales et concernées. L’original de l’application comporte l’essentiel pour interroger les gens sur leurs symptômes et leur indiquera s’ils ont le COVID-19 qui est lune maladie potentiellement mortelle, elle est causée par le coronavirus. D’autres informations, telles que la façon de se faire tester, seront personnalisées en fonction du pays et de l’utilisateur.
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