Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > écologie, planète, mer, sauvegarde, générations futures, avenir, verts, (...) > Le trou de la couche d’ozone, constaté en 1970 et soigné dès 1985, se retrécit.
Les gaz chlorés présents dans les bombes aérosols et les réfrigérateurs et 100 substances incriminées
lundi 23 septembre 2019, par
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L’ONU organise l’un de ses plus importants sommets ce lundi 23 septembre, qui traite des problèmes de la planète et de l’avenir de l’humanité. La lutte pour amoindrit le déréglement climatique prend de l’ampleur avec la mobilisation d’une jeunesse plus consciente des problèmes écologiques. C’est le contexte où il na faut pas négliger la couche d’ozone, afin de garder la vigilance envers la menace posée par l’utilisation illégale de gaz qui l’appauvrissent, d’autant que les 1èrs résultats commencent à être perçus.
La protection de la couche d’ozone est essentiellement basée sur la surveillance des émanations qui la détruisent. La Chine est maintenant considérée le pays le plus rassurant en la matière. Alors qu’il y a quelques années, pendant que l’essor industriel battait son plein, les alertes ont réussi à créer une autre manière de répondre au risque qui coïncidait du trou concrètement décelé dans les hautes atmosphères.
– Du Sommet Action Climat de l’ONU à grève mondiale des jeunes pour leur destin.
20 septembre 2019
Les nouvelles données sont prometteuses. Que de bonne nouvelle quand progressivement la fragilisation dans la couche d’ozone, celle située au-dessus de l’Antarctique, se résorbe. Pour cette année, les scientifiques sont d’ailleurs enthousiastes à ce que le trou atteindra, en cette fin de 2019, son record de petite taille et ce depuis 3 décennies. Les raisons d’un tel optimisme qu’il ne faut considérer irréversible, sont simples. Il s’agit de l’interdiction des gaz, les chlorofluorocarbones (CFC), utilisés par les humains.
La couche d’ozone ne s’est pas encore réparée, mais seulement son troue s’élargit avec lenteur que par le passé. Les gaz qui détruisent la couche d’ozone ont l’effet de serre qui asphyxie les déplacements des airs, ce qui augmente le réchauffement. Réduire et éliminer les émissions destructrices de la couche d’ozone est donc bénéfique aussi pour le climat, déclarent les experts, alors l’ONU tient aujourd’hui son sommet sous l’impulsion des jeunes générations.
Au point que certaines observations à déclarer que son aggravation est freinée. Après l’affreuse catastrophe constatée en 1970 sur l’enveloppe stratosphérique supérieure, haute d’environ 15 km du sol et enveloppant l’air respiré sur Terre, moult efforts mobilisés depuis 1985, avec le "Protocole de Montréal" qui est un accord multilatéral associant 196 États, apporte des solutions. Après des décennies donc, quelques espoirs redessinent un autre avenir.
– Réchauffement climatique : scientifiques contre politiciens lobbyistes
mercredi 21 juin 2017
Alors que les jeunes se révoltent pour le climat et leur destin, c’est justement la plus importante protection, contre tous les changements subis au sol, qui se raccommode. Pourtant sa dérive était désespérée et en dépit d’une correction à l’instant partielle et qui pourrait être entière, d’ici 2060 selon de nouvelles déclarations scientifiques faites récemment, la réparation pourrait être réalisée.
Selon le média indépendant d’Australie SBS qui fait de la communication alternative, la couche d’ozone est le point d’être guérie. Il a fondé son reportage sur selon une modélisation des données réalisée par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE). Nous avons, en effet, remarqué ses publications de fin d’année 2018, mais tant que des annonces de scientifiques ne sont pas venues recouper les informations, nous avons retardé notre sujet.
La réduction de l’utilisation des puissants gaz à effet de serre dans les réfrigérateurs, les climatiseurs et les produits connexes, en a donné de tels résultats. Les rafistolages se sont réalisés à un rythme ralenti à raison de 1 à 3% par décennie, au point qu’il n’était pas possible d’en dresser un bilan pour chaque année. La dynamique de rétablissement semble lutter contre les émissions des gaz par les différentes activités et consommations humaine particulièrement.
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