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Une alimentation de qualité est chère et n’est pas durable.

L’accès à des aliments sains et nutritifs n’est assuré pour tous.

jeudi 30 septembre 2021, par Jaco

Les pénuries auxquelles se préparent le Monde et son humanité après la crise sanitaire du COVID-19, sont multiples. Et il serait même fastidieux de les énumérer. Alors nous tablons par cette narration sur les graines. En effet, encore invisible la tension sur les céréales ne fait que débuter. Les troubles du marché des blés vont compliquer les factures de certains pays qui en consomment immodérément.

La nuance entre la faim et la malnutrition prend maintenant sa signification quand on utilise les chiffres et on confronte ces concepts théoriques aux réalités. Plus de 800 millions personnes, sur les 7 milliards d’habitants de la Terre, souffrent de famine. Ce qui s’élargit quand on globalise la mauvaise pitance qui crée des maladies (obésité entre autres) ou celle insuffisante en quantité.

L’air et l’énergie solaire produisent efficacement des aliments.
23 juin 2021

Dans l’un de nos plus vastes sondages, qui a duré quasiment 5 années du début du 4ème mandat de Bouteflika jusqu’à ce que le président se trouve en touche, nous avons recueilli quelques 38 000 réponses. C’est quand on précise la question sur un sujet qui tient à cœur les lecteurs que les réactions des panels sont plus nombreuses. Celle en rapport avec la nourriture parle à tous les individus.

Grains de vérité - Rapport en anglais -
Étude mondiale de consommation pour un système alimentaire durable

Dans un examen de plus de 30 000 consommateurs sur 31 marchés à travers le monde, il est établi que seulement la moitié des personnes dans le monde (53%) peuvent facilement acheter des aliments sains et durables. Les résultats sont présentés dans un nouveau rapport, Grains de vérité, qui examine les opinions sur leur définition d’une alimentation bonne, saine et durable.

Les personnes interrogées ont été interrogées sur la facilité ou la difficulté à cuisiner des aliments sains, à préparer des repas, éviter le gaspillage alimentaire ou acheter des aliments produits de manière durable.

Globalement les réponses sont dans la normalité des alarmes des jeunes mobilisés pour l’environnement où réside leur avenir. Cette image du réveil des nouvelles générations rassure. Alors que les deux plus grandes préoccupations sont l’utilisation de pesticides et d’engrais chimiques (81 %) et les déchets plastiques à usage unique provenant des emballages alimentaires (78 %).

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6 mai 2021

• Près de la moitié des consommateurs (46 %) estiment que la responsabilité d’apporter des changements positifs pour créer un système alimentaire plus sain et plus durable incombe aux gouvernements nationaux.
• Plus du tiers (37 %) des personnes interrogées estiment que les entreprises du secteur agroalimentaire et des boissons sont les mieux placées pour y parvenir.
• Tandis que 23 pour cent estiment que les gens comme eux sont en mesure d’influencer un changement positif…
• Et une personne sur huit (15 %) considère les jeunes comme de puissants agents du changement.

Nous constatons que les principaux obstacles pour ceux qui ont du mal à acheter des aliments sains et durables sont l’accès difficile (48%) différente de la disponibilité (36%). Avec un quart des personnes déclarant qu’elles ne savent pas ce qu’est une alimentation saine et durable, on se demande que signifie la préservation des sols et de la nature pour la nourriture ?

Une recherche opportune après la crise sanitaire fournit une feuille de route pour les attentes des consommateurs aspirant à un système alimentaire durable. L’équilibre environnemental amène l’alimentation durable. Ce qui s’applique pour les populations du monde entier.

Et il existe des niveaux de préoccupation très élevés pour une gamme de problèmes affectant le système alimentaire, de l’utilisation de pesticides aux plastiques, à l’obésité, aux impacts sur la nature.

L’ONU a une approche des systèmes alimentaires, tirant parti de l’interdépendance des systèmes alimentaires pour relever les défis mondiaux tels que la faim, le changement climatique, la pauvreté et les inégalités. Mais les hésitations comme les hégémonies existent pour entraver les aspirations de la jeunesse...

A l’ONU : Près de 300 engagements de la société civile, des agriculteurs, des jeunes, des peuples autochtones et des États membres soulignent le processus inclusif du Sommet pour accélérer l’action.
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Voir en ligne : Alimentation et faim.

     

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