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Exposée à la pénurie de vaccins anti-COVID, l’Europe reprend le "suédo-britannique".
vendredi 19 mars 2021, par
Freiner la vaccination avec le produit d’AstraZeneka aurait été une catastrophe en Europe où il est plébiscité. L’avis de l’EMA était particulièrement attendu au moment où l’Union européenne ressentait une pénurie de ce même produit, dont 34 millions de doses ont été adressées aux Etats-Unis. Elaboré par la firme britannique, il était le bébé chéri du continent, mais finalement il a traversé une crise aux effets désastreux...
Finalement la liste des pays qui se détournent du vaccin d’Oxford AstraZeneca s’est allongée et puis sa reprise comme si rien ne lui manquait. Alors l’OMS insistait pour continuer de l’inoculer dans les programmes anti-COVID-19, son acceptabilité devient aléatoire. Entre sa faible efficacité face à la maladie pour laquelle il a été rapidement élaboré et ses effets secondaires indésirables, ce produit continue d’alimenter les échanges et d’être le sujet de la dynamique des connaissances médicales suscité ces derniers mois…
Plusieurs privilégiés dans le Monde se vaccinent avant les citoyens.
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Mais la réelle prise en compte de son retrait est venu de l’Europe, alors bien avant de plusieurs semaines, dès le 7 février, l’Afrique du Sud avait décidé de son retrait. Cette controverse accentue le problème des opinions contre le vaccin et peut alimenter inéluctablement les désinformations qui sont inlassablement alimentées pour cette crise sanitaire qui a métamorphosé la face du Monde et impacté les vies...
Aussi simplement que cela puisse indiquer, la nouvelle crise autour de ce médicament réalisé pour contrer COVID-19 par un groupe pharmaceutique suédo-britannique, son action thérapeutique ou préventive reste à étudier. Il est établi que dans la prévention des infections asymptomatiques, on obtient un nombre vraiment faible. Une efficacité de 16%, cette intervalle de confiance se rapprochant de la ligne de base zéro, laisse pantois.
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Pour les travaux de recherche scientifique, les asymptomatiques sont plus aléatoires que les cas vraiment reconnus porteurs du virus dans l’une de ses versions connues du SRAS-Cov-2. Entre supposés atteints et vraiment malades mais avec moins d’apparence des signes de la maladie ce groupe « aurait été asymptomatique » quand aussi il ne montre pas du tout d’infection. Une classification de contingence et incertaine…
Une liste de pays, dont l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne, la Suède et la Lettonie ont décidé de suspendre l’administration du vaccin AstraZeneca / Oxford en raison de rapports faisant état de caillots sanguins dangereux chez certains receveurs de la dose préliminaire. Cependant les données ne sont pas encore complètement établies pour aussi les embolies pulmonaires signalées aussi.
Des scientifiques ont averti dès décembre dernier des possibilités inéluctables d’effets indésirables, à l’instar de tous les médicaments. Des scientifiques osent déjà déclarer ce vaccin moins efficace et doit susciter une surveillance. L’OMS a réagi en usant de la balance risques/bénéfices et dit pencher en faveur du vaccin d’AstraZeneca pour le recommander et poursuivre les vaccinations.
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