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D’ordre sécuritaire, la conséquence de cette faille très attendue
mardi 7 juillet 2015, par
Info matinale de ce mardi 08 juillet, un vol intriguant, aussi assez inquiétant pour être ignoré, de 190 détonateurs, de grenades et des pains de plastic a eu lieu dans la nuit du dimanche à lundi dans un site militaire de Miramas dans les Bouches-du-Rhône, en France. Actuellement le plan "vigipirate" est en place, ce qui met en exergue des préoccupations selon la circonstance sécuritaire...
Le lieu devait être gardé puisque relevant de l’armé. Cette dernière qui effectuait encore son inventaire dans la fin de journée du lundi, pour dresser son bilan. Mais aucune confirmation de l’institution, ni de la gendarmerie dont relève la localité. Seule l’enquête du tribunal étaye à l’opinion ce fait.
À l’heure des grands maux de violence qui surgissent dans les milieux du banditisme et du terrorisme, la surprise va comme une traîné de poudre dans les circuits de l’actualité hexagonale.
C’est le genre d’information qui sème le vent de panique. Selon la radio publique France-Info, pas moins de huit b timents ont été visités par les voleurs, malgré que le lieu est censé être inaccessible et ses infrastructures verrouillés.
La pince "Monseigneur" a repris du service, le vol est apprécié par nombreux commentaires comme un travail de professionnels. Ce dépôt de l’armée de Terre, où est stocké du matériel pour les opérations extérieures notamment en Afrique, ainsi que des munitions, est situé à Miramas (Voir carte), quotidiennement visité par des centaines de militaires et de civils, du fait de son activité.
La plateforme logistique militaire occupe un terrain d’environ 250 hectares et est entourée de deux rangées de grillage, mais visiblement dépourvue de caméras de surveillance. Les enquêteurs sont à pieds d’œuvre et l’affaire intéresse les hauts lieux.
Voir en ligne : Notre dossier : FRANCE
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