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Maléfique intervention des monarchies réactionnaires dans le Printemps Arabe
dimanche 3 novembre 2013, par
L’interventionnisme des monarchies arabes, lors des révoltes du « Printemps Arabe » pour influencer les évènements, est complètement insouciant des situations de malheur qu’il crée pour des peuples habituellement désarmés, revendiquant paisiblement les libertés. Et comme l’islamisme dans le Monde dépend de ces régimes du Golf arabique, il pèse aussi le poids des richesses de ces premiers promoteurs. Il est arrivé détourné les révoltes de 2011.
En effet la première loge, des pourvoyeurs de fonds au terrorisme, revient au cercle des idéologues de « l’Internationale Islamiste », la nébuleuse pseudo-idéologique que financent ces couronnes arabes. « L’Internationale » se compose, outre de ces palais manipulateurs, des cheikhs basés à Al-Azhar, des sectes comme celle des « Frères Egyptiens » et des noyaux de militants galvanisés par la chimère de la « charia ».Cet assemblage procure de gigantesques ressources, du fait que d’illimités réseaux associatifs sont mobilisés pour fonder des régimes basé sur la théocratie.
Ce qui est aussi ahurissant, c’est la présence pléthorique de criminels aguerris, par des décennies de « djihad » en Afghanistan, dans les conflits de pays les plus vulnérables et aux institutions fragiles, avec des boucheries d’horreur. Alors que les pays occidentaux, que les islamistes désignent en ennemis potentiels sont désormais difficilement accessibles aux criminels qui font le bras armé de l’islamisme dit modéré.
Ce n’est pas parce que le Qatar, l’Arabie Saoudite ou bien Abu Dhabi sont riches et inégalitaires qu’ils sont honnis par les révolutionnaires arabes. C’est parce qu’ils entretiennent une affliction aussi abusive que malséante au destin collectif, de nombreuses nations, mis au devant sous « l’arabité ».
Et c’est dans le terrorisme que ces monarchies, aspirant à l’expansion du modèle de la charia islamique, mettent les bouchées doubles et manœuvrent pour avoir un leadership qui les valorise devant les autres nations du Monde. Ils disposent pour cela d’agences dites de sécurité, basées sans exceptions dans les palais mêmes et dirigées par des princes, chargées du business de l’armement. Nous avons cité IGG, dans notre précédent sujet.
Les populations arabes, vivant sous le double joug du népotisme clientéliste et de l’autocratie, ne demandent qu’à se débarrasser de leurs dirigeants. En se réveillant contre des dictateurs, paradoxalement elles ne détrônent pas les rois. Les familles dynastiques du Moyen-Orient sont intouchables. Ces royaumes affichent leurs interventions, aidant la volonté d’accès à la démocratie, mais tiennent en finalité à installer leurs pions, les islamistes, en substitution aux despotes déchus.
Les dictateurs arabes, balayés par les séditions qui ont éclaté au printemps de 2011, ne cachaient pas de mettre des projets de républiques convertibles en monarchies. Ils ont été d’abord été contestés par leurs citoyens. Ceux soumis aux royautés restent éloignés des centres des pouvoirs et souffrent des inégalités dans l’usage et la répartition des richesses, pourtant la « femme saoudienne » ne peut conduire de voiture.
Les rois ont largement préférence pour l’islamisme. Qui lui, stoïquement est esclavagiste dans une coupe du Monde au Qatar. La charia islamique accommode bien des dictatures tant en Iran, qu’en Turquie, qu’en Arabie Saoudite, elle a des agences et la plus connue est « Al-Qaeda ».
Lire 1ère Partie :
Abu Dhabi, fief des placiers du terrorisme islamiste - 1ère Partie -
Des agences dites de sécurité derrière les actes criminels dans le Monde arabe
Voir en ligne : Lire 1ère Partie : Abu Dhabi, fief des placiers du terrorisme islamiste
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