Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > L’Egypte interdit les "Frères Musulmans", un engagement international !
L’immensité insoupçonnable de la secte islamiste pilotée depuis "Al-Azhar"
mardi 24 septembre 2013, par
La profession de foi la plus répandue en Islam, est celle que prendrait un musulman en déclarant son appartenance aux « frères musulmans ». C’est pour cela que cette secte n’est pas exclusivement égyptienne, pays dont un tribunal vient, encore une fois, de l’interdire. Se proclamer « frère musulman » fait référence, avant toute autre interprétation, à la conversion/évolution d’un commun des musulmans en un « islamiste ».
D’abord la page algérienne des jeunes, comme partout, qui se revendiquent des frères musulmans.
Bien des décennies avant d’autres organisations (armées ou politiciennes), les « Frères musulmans » existaient et menaient un inlassable prosélytisme afin de créer une alliance implicite aux adeptes de la révélation rapportée par Mohamed. Et ce pour faire de l‘ensemble des musulmans des politiciens.
L’islam politique, doit sa naissance aux "frères" et devient une idéologie intrusive qui noyaute les institutions, par l’intermédiaire des disciples au commencement religieux. C’est dans les campus que la virulence des islamistes est la plus forte, et jamais elle n’échappe aux « Frères ».
Avant de devenir plus tard, comme avec la présidence de Morsi en Egypte, une organisation politique, les « Frères musulmans » comptaient sur des recrutements pyramidaux et le cloisonnement de la clandestinité. Et ce qui leur a permis de trouver le plus de recrues, n’est pas la méthode d’organisation, mais le fait religieux lui-même.
Avec 5 prières quotidiennes et une autre hebdomadaire décrétée obligatoire dans le second rite de l’islam (prière), l’ardeur des « daïyas » (les propagandistes) avait à sa portée toutes les foules. Tous les islamistes s’adonnant au prosélytisme font usage de la doctrine et des écrits égyptiens, que distribuent gratuitement dans les mosquées du Monde les fortunes des monarchies réactionnaires arabes.
Nombreux Etats se sont trouvés, comme le Pakistan, sous coup d’état d’islamiste, selon les directives des « Frères Musulmans » qui ont forum international « l’Internationale Islamiste », qui leur permet de coordonner l’action islamiste qu’ils ont fondée depuis les années 30. La succursale s’est mondialisée et couvre plus profusément les pays musulmans, Puisque ce qui est le « Monde Arabe » c’est la chasse gardée des « Frères ».
<doc1144|right> Et en effet, c’est par l’Egypte, qui dispose d’Al-Azhar pour les plus délirantes « Fetwas » que reconnaissent tacitement les musulmans, que se ventile le rayonnement des « frères ». Ils atteignent plusieurs individus et sont partout. Cet exemple est édifiant, il montre qu’aucun pays musulman n’est épargé et jusqu’où ils arrivent...
Ce qui vient de révéler le Lieutenant-Général (à la retraite) William "Jerry" Boykin, aux Etats-Unis explique énormément le déploiement qu’ont les frères musulmans sur la Terre. Être « frère musulman » est le missionnaire islamiste qui a pour conséquence, qui en doute encore ?, l’islamo-terrorisme.
Dans une récente interview à la radio Daily World Net, dont nous vous donnons le lien pour l’écouter, a confirmé que des personnes ayant des postes de responsabilité dans la sécurité sont liées aux « Frères musulmans ». Elles occupent des postes importants dans tous les grands organismes fédéraux dont le Pentagone et le Département de la Défense.
Cela fait peur et peut paraître invraisemblable ou bien un « hoax » (information bidon du Web), mais cet officier a un palmarès des plus glorieux dans les services secrets. Avec un tel parcours le Général Boykin a toutes les facultés pour étayer ses conclusions.
– Il fut l’un des membres fondateurs de la « Force Delta » de l’armée américaine qui a mené des opérations de combat.
– Il a également été agent opérationnel de la CIA où il a participé à des opérations clandestines à travers le monde.
– Il a servi, ces quatre dernières années, dans l’armée en tant que sous-secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement.
Voir en ligne : Notre dossier : L’Egypte dans le Printemps Arabe.
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