L’épilogue de la première république, fondée en Algérie par la génération des guerriers de la libération, s’effectue avec une contestation en rupture avec l’islamisme, dont la cruauté a laissé un traumatisme collectif. Le sentiment religieux chute politiquement. Mais aussi à la prière du vendredi, quand manifeste le peuple, on croise dans les mosquées les vendeurs de pastèques, les truands repentis et les sectaires englués dans la médiocrité de l’école et des autres secteurs. Ni médecin, ni ingénieur ou (...)
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24é vendredi de manifestation en Algérie, non-retour pour la rupture avec l’ancien système
2 août 2019, par N.E. Tatem -
En Algérie, la société civilisée a des préalables que l’armée ne veut concéder...
22 juillet 2019, par N.E. TatemD’une part, le « Forum civil pour le changement » a divulgué une liste de 13 personnalités, ayant pour dessein de trouver, en toute urgence, un successeur à Bouteflika. De l’autre, les signataires du « pacte pour l’alternative démocratique » souhaitent une étape de transition, afin de faire table rase du félon régime, emporté par l’assurance populaire donnée à l’armée pour chasser le despote qui le commandait €¦
Les tentatives de représenter les manifestants qui sortent chaque vendredi, en rupture avec la (...) -
La répression en Algérie avec des accusations fallacieuses aux relents fascistes.
18 juillet 2019, par N.E. TatemLa dissolution du parti FLN dont le sigle usurpe un symbole de la mémoire collective n’est pas la seule idée des Algériens avides de redresser leur pays et qui sont résolument décidés de lui changer les meubles. Juger Bouteflika ou bien restituer les biens immeubles ayant été du patrimoine de l’Etat qui ont été chapardés, se rajoutent à plein d’autres actions. Comme demander des comptes aux responsables de la décadence qui a été la gouvernance maintenant contestée...
Deux projets de société se bousculent (...) -
L’interminable menace en Algérie a besoin d’une transparence aux journalistes.
15 juillet 2019, par N.E. TatemLes réseaux du terrorisme en Algérie sont dormants. La menace de violence est étroitement scrutée dans la situation des manifestations incessantes qui secouent le pays depuis le 22 février. Si les terroristes ont frapper, ça aurait été un complot du pouvoir pour briser la mobilisation du peuple. Ce n’est pas le cas ! C’est aussi, pour nombreux crédules, une trame du régime qui refuse dé céder et qui compte propulser son président !
Mais en remontant à la "décennie noire" ou bien à la geste dit du (...) -
Parachèvement de l’indépendance en Algérie : le peuple se libère de la légitmité historique
14 juillet 2019, par Hamitouche AmarLe 5 juillet, date mémorable marquant l’indépendance nationale en Algérie. 57 ans après, le peuple recherche toujours sa liberté !
Le 5 juillet consacrant l’indépendance de l’Algérie, s’est passé telle une simple commémoration d’événement historique. La révolution blanche, menée depuis bientôt six mois, avait pour but le parachèvement de ce processus d’indépendance par la libération de l’algérien. Elle s’en est trouvée, hélas, contrecarrée par l’intransigeance d’un chef militaire.
Novembre 54 n’a donc eu pour (...) -
Discours paternaliste de l’armée algérienne pour une génération à la patience éprouvée !
11 juillet 2019, par N.E. TatemManifestement le slogan « Etat civil et non militaire », scandé lors, du 20è vendredi, des manifestations algériennes, contredit totalement le « Khawa-Khawa » (fraternité) entre militaires et civils. D’où l’idée de traîtrise invoquée, lors du discours prononcé mercredi 10 juillet à Alger, par Gaïd Salah, le chef des armées. Cependant la compréhension des vétérans n’est pas celle des générations qui ont des éthiques loin des lignes froissées par la mauvaise gouvernance !
Avec les manifestations des avocats (...) -
Ould-Abbas quitta son immunité pour amadouer la justice d’une Algérie en révolution.
8 juillet 2019, par N.E. TatemIl a voulu, comme pour prédire un évitement de sa culpabilité, renoncer à son immunité parlementaire. Le faux médecin Ould-Abbas qui est des usurpateurs du sigle "FLN", a tenté une audacieuse, mais néanmoins vaine, virginité. Mais entre-temps, Salah Goudjil, le président de la chambre haute a levé cette protection constitutionnelle, des élus du peuple, en cas d’implication avérée dans des affaires de corruption traitées par la justice.
Lui-même, cacique du faux-FLN, président de l’assemblée et de (...) -
Le vote du président avec les "2B" est un asservissement aux vieilles castes politiques !
7 juillet 2019, par N.E. TatemIls prennent en main leur avenir. Car pleinement décidés d’opérer d’une manière définitive la rupture avec les médiocrités agréées par l’ancien règne. Le forum national du dialogue le 6 juillet, à l’école supérieure d’Hôtellerie et de restauration à Ain Benian, sous la présidence de Abdelaziz Rehabi, est un flop angélique. Il reflète bien, les manÅ“uvres d’une classe politique plus maléfique que conséquente ou auto-critique avec ses errements. Ce qui affiche le retour des mêmes connivences avec les dirigeants (...)
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Une communication qui dit la poursuite de la doctrine de l’armée algérienne...
4 juillet 2019, par N.E. TatemUn enregistrement, apparu sur Internet à la veille de la décisive manifestation du 5 juillet 2019, relate des paroles édifiantes du puissant officier à la tête de l’armée algérienne. Sans langue de bois, il apporte davantage d’eau au moulin déjà emballé par moult sympathisants mobilisés pour le changement plus que radical. Il avance publiquement les tractations qui ont débouché sur la démission de Bouteflika, le 2 avril 2019. Et bien d’autres succulentes révélations et positions et pas de plus officielles (...)
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Cafouillage ou clarification en Algérie ? Faits sans équivalents dans la formation de la nation !
3 juillet 2019, par N.E. TatemA la veille de la fin de la phase constitutionnelle de 90 jours, après la démission de Bouteflika du 2 avril, l’échiquier politique algérien se recompose. Les manÅ“uvres habituellement sophistiquées reviennent encore tirer les ficelles des manipulations. Les arrestations montrent qui protège la société civile active et qui garde ses privilèges en tentant d’inventer la renaissance du système.
Ce n’est pas uniquement la symbolique date du 5 juillet qui mettra en exergue le soulèvement du 22 février. Avec (...)
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