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L’info au temps du COVID-19 : du local au réseau social.

Le journalisme peine à capter et diffuser la vérité.

mercredi 27 mai 2020, par Gros Emile

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Au début il y avait le graffiti. Une expression murale et urbaine qui est acceptée en art pictural. Telles les vestiges rupestres de l’homme des époques des cavernes. Le mur de facebook, avec plus de 2 milliards d’utilisateurs, est le défouloir de la culture populaire post-moderne. L’année 2020, on recherche le 1er patient qui a subi le COVID-19 et qui s’est peut-être filmé pour annoncer une nouvelle ère.

Il est indéniable qu’existent moult stratégies pour endiguer les épidémies qui se répandent au sein des populations. Celle basée sur la cohésion communautaire qui a été éprouvée à travers les millénaires et « la mise en quarantaine » qui, paraît-il, était la méthode collective de se prémunir de la contagion. C’est encore l’actualité qui bascule par le portail où nous apprenons tant du vrai que du faux.

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Le confinement d’une durée de quarante jours a été, par le passé, adopté, d’après les nouvelles révélations des anthropologues, pour endiguer des pestes, grippes et autres contagions. Ces retraits des champs contaminés ont constitué une méthode de survie aux humains abrités dans des grottes. Lors des grands empires ainsi que pendant les récentes époques de la renaissance arabe et européenne, les "quarantaines" étaient fréquemment suivies pour échapper aux suicides collectifs.

Maintenant, les gouvernements fournissent l’environnement global propice aux ressources au-delà de la capacité des communautés, pour éviter l’hécatombe sanitaire. Et en toute autonomie, le principe de la bonne santé revient aux individus, leurs familles et les groupes ou tribus dont ils relèvent. Ils sont créés par eux et sont soutenus, le cas échéant par des compétences, les connaissances et la technologie de professionnels, afin d’apporter des solutions aux maladies.

Alors que l’humanité semble complètement rater la journée mondiale de la santé qui coïncide avec le 30 mars de chaque année, rester chez soi est leitmotiv. L’expansion de la pandémie s’illustre d’une vague inégalée de « fake news » qui habituellement sont produits par les médias corporatistes et traditionnels, que par les nouveaux canaux alternatifs visant à diffuser ce qui n’est pas intéressants, ou bien intentionnellement raté, pour les lourds médias.

Alor Facebook donne un coup de main à la presse locale au temps du COVID-19, lire ICI. Alors que les sujets sur les régions, les localités et les villages ont tendance à reculer. Se serrer les coudes pour avoir des informations sur les localités, devient une nécessité citoyenne. Car avec Internet, la difficulté de savoir des choses de petites gens n’est pas acquis.

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Au temps du coronavirus, dans sa version 2019, les journalistes sont plus attirés par ce fait d’actualité internationale. Ils le regardent pour être à jour et le surveiller dans leur propre environnement et terrain. Ce sujet est décortiqué par les rédacteurs, comme lors des dissections qui observent le virus sous les puissants microscopes électroniques.

Dans les base de données qui lutte contre la désinformation sont inondées des demandes de vérifications d’actualité douteuses. Dans le Monde arabe et avec la langue dédiée, l’explosion des « fake news » est incontrôlable, selon plusieurs plateformes. (Consulter ICI)Alors même que des médias rapportent des erreurs sur les divulgations officielles et publiques.

Comme le cas du nouveau président algérien qui augure être la 1ère nation au Monde pour le personnel médical et les précautions contre la pandémie. L’organisation de la santé (OMS) a déclaré qu’un accès rapide à l’information renforcerait la lutte contre la maladie. Alors qu’elle cite les États du Moyen-Orient qui n’offrent pas suffisamment d’informations sur le virus.

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