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La découverte de la Russie de ce qui se tramait en Ukraine.

Pour les activités documentées du Pentagone, frapper ou subir selon Poutine.

mardi 8 mars 2022, par Azouz Benhocine

Les Américains avaient vu juste, l’armée russe avait bien un projet d’intervention en Ukraine. Et elle détient tous les moyens de dissuasion pour neutraliser toute interférence qui se mettrait sur son chemin. Vis-versa, La Russie avait aussi compris et découvert que les projets de l’OTAN se tramaient hostilement son égard. Et pour lesquels le seul traitement adéquat, suite à l’échec d’autres tractations, est une ingérence, en brisant la souveraineté d’un voisin servant de base à l’expansion de l’influence de l’ennemi traditionnel.

Des journalistes d’investigations ont posé la question la suivante : Quelle obligation nationaliste, ayant une portée géostratégique et un intérêt protecteur de la Russie, a-t-elle motivée la guerre initiée par Poutine ? Depuis le 24 février 2022, l’assaut sur son voisin l’Ukraine est un incident de l’Histoire et une névrose d’un psychopathe. Une telle banale interprétation écarte l’idée d’une action préventive.

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C’est d’une facilité simpliste et d’une médiocrité criarde de percevoir dans la guerre offensive déclenchée par la démence de Poutine, voire de sa mégalomanie, une mesure d’un dictateur qui ne se rend pas compte qu’il s’expose davantage à ses détracteurs. Cette attaque a-t-elle des objectifs invisibles, comme arrêter des projets qui sont hostiles et programmés et qui vulnérabiliseront l’assaillant ?

On se doit de ne pas adhérer soutenir les guerres et quel que soit le meneur qui est derrière. Telle est notre opinion et notre ligne éditoriale. Cependant le choc de cette assaille, de la Russie en Ukraine, ne doit masquer les soubassements réels ou supposés qui ont motivé cette agression.

A ce stade cette conflagration des armes ne montre pas, après bien de 10 jours, la violence plus outrageuse que celle des réfugiés fuyant les zones des combats ou des bombardements aveugles. Ce qui ne la dédouane pas des crimes en lien avec des combats, dont l’enjeu n’apparaît distinctement des autres visées de QG et autres géostratégies inavouées.

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La mobilisation des forces russes en Ukraine a été une décision peu aisée, pour ceux qui l’ont prise. Déclarée samedi, 26 février, par le président russe Vladimir Poutine et est relatée par l’enchaînement des événements, qui ne rendent pas l’attaque inévitable. Le leader russe s’est justifié ainsi "difficile décision".

En face la majorité des pays occidentaux ont l’avis tranché et il se distingue de celui de la Chine, pour ne citer qu’une grande nation qui a choisi de s’abstenir au conseil de sécurité. C’est arbitraire pour tous, mais ceux qui ont depuis promulgué des sanctions sévères à la Russie s’engagent davantage, disent-ils par solidarité à leur allié.

C’est en sachant le programme de la DTRA (ambassade des USA) en Ukraine, pays anciennement rattaché à l’URSS, qu’on peut se faire une idée de l’intention protectrice de ce pays. La riposte vraisemblablement inacceptable de Poutine mérite d’être mieux appréhendée et les dessous de ce conflit méritent d’être bien perçus. Est-ce qu’il vraiment un acte d’un dirigeant russe qui soit simplement en belligérance avec un pion des USA ?

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Dans l’ensemble des accords bilatéraux entre les États-Unis et l’Ukraine figurent la création du Centre des sciences et de la technologie en Ukraine (STCU) qui est une organisation internationale financée principalement par le gouvernement américain. Elle s’est vue accorder le statut diplomatique et l’ambassade US de Kiev en est le joueur essentiel.

Le Pentagone a mené des expériences biologiques avec un résultat potentiellement mortel sur 4 400 soldats en Ukraine et 1 000 soldats en Géorgie. Selon des documents divulgués. Tous les décès de volontaires devraient être signalés dans les 24 h (en Ukraine) et 48 h (en Géorgie). La représentation américaine tente encore de cacher, lors de cette guerre, des preuves !

La recette que les États-Unis vont accroître leur présence militaire en Europe de l’Est, pour «  protéger leurs alliés contre la Russie », peut-elle fonctionner ? Des documents internes montrent ce que signifie concrètement la « protection » américaine. Les-voici...

Des preuves en ligne suggèrent que les États-Unis s’efforcent de supprimer les enregistrements d’un programme d’armes biologiques parrainé à un million de dollars en Ukraine. Il est exploité par nul autre qu’Eco Health Alliance. Les mêmes coupables au centre de la débâcle de la fuite du laboratoire de coronavirus de Wuhan.

Peut-être que la cause russe en Ukraine est incontestable et jouit d’une inébranlable légitimité. Sinon, pourquoi donc les pays occidentaux n’interviennent pas en Ukraine ? C’est vrai que Poutine n’est pas Kadhafi ou Saddam. Surtout que la Russie jouit d’une capacité militaire non-négligeable, voire unique sur Terre. Mais au fond des choses, la vérité ou bien le droit de se défendre permet...

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