Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > nationale, fait politique, une et première page, médias, actualité, pays, (...) > Reste-t-il encore le Hirak en Algérie ?
Les slogans disent les desseins visibles cachés
lundi 13 juillet 2020, par
Rachid Nekkaz et le général Ali Ghediri croupissent dans geôles du régime qui a placé le bureaucrate Tebboune, issu de l’ENA l’école gangrenée de la corruption scientifique, alors les militants du Hirak en Algérie sont devant un cas de conscience. Ils ne peuvent guère se démettre de leur responsabilité, en réagissant selon une conformité établie des catégories rentières qui gouvernent.
Ecouter l’article.
Le pouvoir a libéré les militants avec lesquels il recèle la confusion idéologique. Que ce soit Tabbou, Belarbi ou bien Bouregaâ ou même Mme Bouraoui, il y a l’application d’une clémence aux moins inspirants, ou bien une offre aux plus agrippés au populisme et au travail versatile qui est réfractaire à l’intransigeance des libertés démocratiques.
– "Khaberdji" de l’Etat algérien, il donne interview à France-24
4 juillet 2020
L’expérience des oppositions assidues et originales qui ont influencé l’Histoire en Algérie, montre que chaque concession faite aux réactionnaires qui dirigent ou des parages du pouvoir, sert à vider les projets historiques. Cette #RDN (Révolution Démocratique Nationale) a bourgeonné dans la sincérité, mais se sont accolés les reliquats qui enfreignent à la synergie collective...
Qui oublie la souffrance de ces citoyens, Ghediri et Nekkaz qui sont modèles et se sont engagés sur le terrain des luttes ? Cette ingratitude ressemble grandement aux attaques, avec des essais littéraires confus et inappropriés qui ne méritent ni d’être ouverts ou lus. De tes reniements sont ancrés à la spéculation de la clientèle de la chaîne-TV des islamo-terroristes du FIS, El-Maghribiya.
Croiser une haine gratuite contre un citoyen indiqué du communisme parce, que dérangeant les férus des plan d’exclusion, montre que ce mouvement populaire recèle donc la réalité algérienne crue, pour bien la qualifier, elle est bête et méchante. Celle qui refuse la critique corrective.
N’a-t-on encore pas connus, de ces aventuriers et opportunistes, que de malsaines compromission et des trahisons. Mais des œuvres entières, qui ont la doctrine théorique tracé par Frantz Fanon pour la libération. Comme nombreuse celles qui ont suivi l’action politique et les révoltes historiques ?
On en arrive à la question : reste-il encore un Hirak en Algérie ? Ce mouvement largement suivi, est-il seulement fait des manifestations dans les rues des agglomérations urbaines ou encore des statuts dans les réseaux sociaux du Web ? A-t-il uniquement cette caractéristique de protestation dans les rues ? Mais certainement pas que ça !
– Achat de la raffinerie d’Augusta : l’Algérie des gangs de bureaucrates.
4 juillet 2020
Les hostilités lui qui sont faites aux protestations citoyennes se cachent derrière un patriotisme de calculs mensongers. Et où l’islamiste et les fripouilles du nationalisme trouvent leur gargarisme. Une foultitude de manipulateurs, comme les obscurantistes et leurs relais et dans les médias publics.
Les parties cachées des pseudos militants qui adhèrent aux slogans hystériques, d’ouvrir la porte au terrorisme revanchard, scandent avec « madaniya machi askariya » (civile pas militaire). Ils contredisent celui de « El-djeich et Chaâb Khawa-Khawa » (armée et peuple ensemble) hérité de jadis « Djech-Chaâb contre la réaction ». Oui les slogans donnent lecture de la vie réelle du Hirak !
Voire celui créé même par les militaires en 1990/91, pris directement de la marche des démocrates de 1990, qui dit « Hora Dimocratiya » (Algérie libre et démocratique) reste aussi prenant. Telles des idées des éradicateurs qui ne sont pas l’exception à vouloir débarrasser ce joli pays d’Afrique du nord et berbère par excellence de l’intégrisme islamiste qui sème la tyrannie en Iran et en Turquie pour citer les plus softs régimes.
Les hostilités à l’égard des contestations du régime décadent sont simplistes. Elles tablent sur les manœuvres trop visibles, pour être crédibles. Sans preuves aucunes, la manipulation des ONG financées par la CIA, dont même RSF (Reporters Sans Frontières) n’y échappe pas, est dans le Hirak disent-ils.
Et pourtant cela ne doit empêcher que le peuple revendique ses droits. De demander sa citoyenneté. Et comme les élections servent à trancher en démocratie, le Hirak en Algérie est censé exister à travers le vote !
Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invités à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.
Vous voulez utiliser un stockage en ligne, du cloud de Microsoft, cliquer ICI.
Voir en ligne : Notre dossier HIRAK
Recommander cette page |
|