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mardi 1er octobre 2013
Faire l’apologie du terrorisme, c’est un crime plus abominable, qui n’est pas de moindre cruauté que le crime même commis par ces soi-disant tunisiens, assoiffés du sang des àmes innocentes €¦ Du moins pour la Tunisie qui vit son expérience, des moins simples transitions de la dictature à la démocratie.
Celui qui défend les terroristes tunisiens condamnés à mort (soit en Irak, soit en Syrie) est un apologiste du crime et par conséquent susceptible de mériter pour de bon notre exécration et notre virulente réprobation…
Or, les tunisiens qui sont partis volontairement, probablement recrutés ou engagés par des rabatteurs affiliés à cette sinistre nébuleuse Al –Qaeda, sous l’égide en sourdine d’Ennahda, pour tuer d’innocentes personnes et pour semer la pagaille dans des pays frères, ne sont pas des tunisiens patriotes.
Ils ont perdu toute identité et toute nationalité… Ils sont devenus désormais des apatrides… donc une fois qu’ils ont quitté le pays, pour assassiner, ils ont bafoué leur pays et se font honnir à jamais et désormais excommuniés pour l’éternité…
Faire l’apologie du terrorisme, c’est un crime abominable, qui n’est pas de moindre cruauté que le crime même commis par ces soi-disant tunisiens, assoiffés du sang des mes innocentes… Que ce soit une personne, un journal, ou encore une organisation, défendre un criminel est un acte inadmissible que l’on réprouve avec vigueur…
Le terrorisme où qu’il soit, accompli par une main perfide, ou une organisation de malfaiteurs, est condamné d’office. Le fauteur ne mérite rien de moins que l’échafaud ou être passé par les armes sans pitié….
Dr Mohamed Sellam
Notre GRAND DOSSIER : Tunisie berceau du Printemps Arabe
Voir en ligne : Les articles du Dr Mohamed Sellam sur POPULI-SCOOP
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