Comme un outil collaboratif, l’IA (Intelligence Artificielle) émergente pour faciliter la création pour les médias, agit avec une agrégation des sources disponibles sur Internet, d’où elle puise sa principale matière et son principe même. C’est un nouveau challenge qui se présente pour améliorer ce qui est utilisé comme la recherche sur google, d’où le modèle auquel il faut s’adapter ou se laisser dépasser.

Un délicat et puissant combat est venu, en adversité aux journalistes et aux éditeurs, de la part de la nouvelle génération de « chatbots ». La recherche utilise désormais l’intelligence artificielle qui est continuellement perfectible, pour générer des contenus alimentés de diverses sources recoupées. Ce que mènent les outils basés comme le modèle « ChatGPT » est une nouvelle révolution.

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GPT signifie "Generative Pre-trained Transformer" (Transformateur préformé génératif). Une technologie qui se décline désormais en une myriade d’applications dédiées à produire une réponse, à ce qu’une requête de recherche a formulé. Alors que nous mettons en presse ce sujet, il n’y a pas encore de paternité sur cette innovation. Aucun brevet n’est sous monopole d’une entité et même à la Silicon Valley on y puise encore des modèles…

Pour ainsi dire, c’est la fin de l’époque post-réseaux sociaux du Web qui s’approche. Les plateformes de ces médias de sociabilisation ne faisaient que cracher des contenus tels des trucs bigarrés, comme une variété de charcuterie pour un sandwich qui ne reste pas frais. C’est le processus de produire du contenu à un coût nul pour le consommateur, puis le distribuer gratuitement sur le Web.

Le débat ne fait que commencer, alors que les livres consacrés à cette technologie foisonnent dans les ventes. Généralement c’est en rapport avec le journalisme que cette IA (Intelligence Artificielle) se présume être l’outil ultime. La fin présumée de ce métier d’informer, ou de vulgariser des savoirs utiles, advient-elle avec ces algorithmes ou machines ? Ou bien c’est son nouvel et formidable arsenal d’enquête ?

Deviner si l’avenir est incertain ou assuré aux entités des médias ainsi qu’au métier du journalisme, devant l’avènement de l’IA, est maintenant une quête sociétale légitime. Les 2 meneurs des spectres, aux qualités de communiquer pour les humains qui ont la fringale de vérité et de distraction, sont comme deux trains sur une seule voie. L’IA est la locomotive les menant tous à un avenir aléatoire mais moderne.

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De nouvelles valeurs arrivent dans un domaine qui ne cesse pas de s’émanciper depuis qu’Internet a chamboulé les bibliothèques et les répertoires. Une technologie plus avancée, ce qui est un acquis plus intéressant pour surmonter les conditions de promptitude et d’élargissement, via la toile, des auditoires. C’est une efficacité inespérée qui arrive. Mais est-ce vraiment une aide de plus ?

Encore une fois, le législateur qui tarde à se réveiller pour réguler, passe par la case de la phobie pour l’avènement d’un truc incontrôlable. L’interdit est tentant quand échappe la compréhension et dès lors l’imprévisible occupe l’horizon de perspective. Il s’agit d’économie et d’autonomie du 4ème pouvoir devant les tenants des autres institutions qui dirigent les sociétés humaines.

L’éthique dans le droit citoyen, d’informer autrui et d’avoir le droit à la connaissance des facultés communes, soulève des questions importantes de « sourcing », de confiance, de rémunération des créateurs de contenus. Voire la reconnaissance de l’existence de cet intérêt au savoir que des futurs moyens de revenus pour ce nouveau type de moteur de recherche.

Oui la source Internet est collective et partagée. Il n’y a aucun problème important depuis qu’OpenAI - une organisation à but non lucratif initialement dédiée au développement éthique de l’intelligence artificielle mais avec une branche à but lucratif qui a l’intention d’utiliser des outils commerciaux comme ChatGPT - a déjà et a utilisé votre contenu, pour créer le corpus dont il tire ses réponses étrangement égales et adéquates à presque toutes les questions.

Les organisations journalistiques seront en mesure non seulement d’accroître l’abondance de leur produit ou service en utilisant les Chatbots. Mais également, elles réduiront autant que possible les coûts liés à l’exploitation des opérations quotidiennes. A moins d’être déclassés et s’épuiser en essayant de rattraper le retard, elles feraient le pas dans leur intérêt pour inéluctablement aller à cette technologie qui répondrait mieux et rapidement aux besoins de leurs auditoires.

Voici la note officielle de rejet de la demande du droit d’auteur de OpenIA.