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Détruire efficacement les cellules cancérigènes avec des virus regroupés.
jeudi 7 mai 2020, par
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La transmission des virus, selon une étude scientifique datant de 2018, a été établie qu’elle s’effectue en grappe de plusieurs variétés qui se déplacent ensemble. D’emblée il faut préciser que la recherche concerne les virus de "gastroentérite" destinés à l’intestin, vus pour la 1ère fois en 1972 par Al Kapikian, dans des déjections humaines. Puis le constat s’est observé pour d’autres nombreuses pathologies virales très répandues, dont la liste ne cesse de s’allonger depuis.
Les attaques virales s’opèrent sous forme d’assaille amalgamant divers sortes et familles de virus qui sont souvent enveloppés d’une membrane commune. Ce qui leur donne une dissémination agissante et inéluctablement infectieuse. Le poliovirus, le Coxsackievirus (de la fièvre aphteuse chez les enfants) et le rhinovirus (un des rhumes) sont également véhiculés collectivement à l’intérieur de poches, où ils se répliquent.
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mercredi 6 mai 2020
Ce qui protège les virus de la riposte immunitaire des êtres où ils s’introduisent, est plus leur couverture qui a diverses propriétés. Elle est lipidique chez l’individu du COVID-19, d’où sa vulnérabilité d’être déchirée, une fois atteinte en quelques seconde de lavage, par le savon. Mais la membrane change de composition et de rusticité selon le contexte où elle se développe et les habitants qu’elle couvre.
La découverte, faite en 2018, mérite d’être rappelée actuellement, car elle explique grandement la compréhension de la façon dont les virus sont transmis. La percée virale est considérée en groupe de plusieurs virus améliore la virulence. Elle n’avait jamais été observé auparavant et antérieurement il semble si évident que les attaques virales se font en des ensembles pour augmenter l’infection.
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Cette recherche a démontré que des « clusters » transportent plusieurs virus regroupés. Il y aura probablement d’autres mécanismes, qui introduisent ces maux, encore à découvrir. Par grappes, ils obtiennent certains des avantages de ce mode collectif de transmission, multipliant la production d’autres virus. Ceux « oncolytiques », virus utilisés pour éliminer les cellules cancérigènes, jouissent plus de force en étant en rassemblés et nombreux, des fois amoncelés sous une seule membrane.
Le paradigme essentiel de la virologie est que chaque particule virale se comporte en unité infectieuse indépendante. Cette démonstration scientifique dit que la capacité d’infection est plus forte quand des grappes de particules entérovirales sont emballées dans des vésicules enrichies en lipides phosphatidylsérine (PS). Elles sont libérées de manière non lytique aux cellules, ce qui leur offrent une plus grande efficacité d’empoisonnement que les particules virales simples libres.
Avec des techniques de microscopie optique, il a été établi qu’une grande partie du rotavirus et du norovirus dans les échantillons de selles d’humains et d’animaux existent à l’intérieur des vésicules. Ces paquets sont empaquetés par une membrane contenant plusieurs particules des 2 virus. Le plus étonnant ces virus masqués par la membrane restent présents malgré qu’il passent à travers le tractus gastro-intestinal de l’hôte. Ce qui est surprenant.
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