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Fake News : qui les comprend ? Et qui ne voient pas les fausses informations ? Notre sondage.

Les appréhensions négatives envers les médias n’identifient pas correctement l’actualité véridique

vendredi 28 décembre 2018, par N.E. Tatem

Avec la complexité du paysage médiatique, distinguer une publicité d’une information exige réflexion avant de percevoir la différence. Alors que connaître une opinion par rapport à un exposé d’un (ou plusieurs) fait(s) d’actualité relève carrément d’un jugement de professionnel. Là nous pouvons le dire, la désinformation la plus indigeste est favorisée. Gràce aux moyens de l’époque qui submergent les citoyens, lesquels sont matraqués jusqu’à ne plus être bien clarifiés sur l’ivraie. On peut donc considérer le public, les journalistes, les sources d’information et les médias tous déconnectés, leur intime conviction, de confiance de l’un en l’autre, abusée...

La chasse ouverte aux « Fake News », tel un programme de moralisation de la presse et de la profession de journaliste, est récente. Même si cela ne convient pas à certaines caisses de résonance, c’est bien l’actuel locataire de la Maison Blanche, le plus honnis de tous dont ces exécrables prédécesseurs présidents des USA. Trump a rendu célèbre, au niveau du commun des administrés, la formule de la honte pour la profession d’informer.

Il y a plusieurs enquêtes et études qui tentent d’expliquer le phénomène de la « fausse information ». Nous sommes tombés sur celle conjointement réalisée par « News Co / Lab de l’Arizona State », en collaboration avec le « Center for Media Engagement de l’Université du Texas ». Dirigeant du projet, le 1er est une école de journalisme et de communication, ayant ouvert une observation sur le sujet en 2017. Et le second est un centre universitaire de recherche et de conseil…

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Notre choix est arbitraire. Mais il est aussi motivé par la recherche d’une rigueur sur le pointilleux thème de l’odieuse « Fake News ». C’est un sondage utilisé par trois organes de presse qui ciblent leur lectorat propre. Il s’agit de : The Fresno Bee, The Kansas City Star et The Telegraph. Ils ont chacun une ligne éditoriale et des publics, selon d’ailleurs leurs régions, qui les placent avec leurs identités et spécificités.

Les personnes qui ont répondu a cette enquête aux Etats-Unis, se différencient selon plusieurs critères. Des idéologies, des positionnements territoriaux, des tranches d’ ge, des affinités culturelles, des appartenances communautaires et des approches de lecteurs fidélisés aux traditions de lignes éditoriales qui identifient clairement chaque groupe.

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Bien sûr l’élaboration d’un questionnaire est déjà un travail qui interpelle la science prospective et fastidieuse. Le choix de participer à l’enquête par un Quiz, un sondage ou simplement une interrogation sans interactivité, était laissé au soin du répondant. Pour affiner les résultats de la prospection qui a donné de concluantes découvertes, certainement différentes sortes de préjugés étaient établis à l’égard de l’information.

Ce qui est important de signaler, la participation de pas moins de 150 titres de presse, plateformes de médias et autres blogueurs ou agences de communication :
 • Chez les diplômés universitaires les fausses nouvelles ont du succès : 57% reconnaissent le « Fake News », alors qu’ils 68% de non-diplômés à réaliser de même.
 • Les personnes ayant une attitude négative à l’égard de l’information sont moins susceptibles de repérer de fausses informations : difficile de distinguer entre nouvelles, opinions, analyses et même publicité quand on n’y croit pas.

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 • Différences majeures dans ce que républicains et démocrates (valables aux USA mais c’est le cas des idéologies) pensent des nouvelles : dès qu’il est question de l’information droite et gauche se différencient.
 • Les « localiers », journalistes spécialistes des infos régionales, sont mieux appréciés que leurs sources qui est le public : peu apprécier les sources et les auditoires que le diffuseur de l’info.
 • Les journalistes locaux (localiers) voient expliquent le fonctionnement des informations, leur mission les guide : leur travail est avec la dynamique de la mission de leur média. Donc ils expliquent bien aux membres de leur communauté à laquelle ils s’adressent.

Il est compris de ce rapport qui examine les attitudes et les capacités du public, des sources d’information et des journalistes le cas des récepteurs américains de l’information. Des appréciations se dégagent de chaque membre de ces 3 ensembles des USA. Nous avons créé ce questionnaire et attendons vos réponses...

Accéder directement au sondage par ce LIEN

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