Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > nationale, fait politique, une et première page, médias, actualité, pays, (...) > Les Sahraouis de Tindouf affrontent aussi le COVID-19.
Les ONG dont OXFAM-Algérie tentent, sans moyens, de s’occuper des cas.
jeudi 28 mai 2020, par
Certaines populations sont plus vulnérables au COVID-19 que d’autres, puisqu’elles vivent dans de déplorables conditions. Depuis 1975, l’Algérie héberge une grande partie de la population sahraouie, alors les solutions de l’ONU, pour leur autodétermination avec leur terre, sont lettres mortes. C’est une des régions où le danger est incroyablement élevé et pourrait être dévastateur.
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Neuf cas de cette épidémie ont été signalés, au 8 mai, alors que les centres de santé dans les camps n’ont pas de ventilateurs (pas un seul) et ne sont guère équipés. D’où cet article. Les modiques activités de subsistance ont été arrêtées, alors les moyens des réfugiés à acheter de la nourriture et des articles d’hygiène essentiels sont plus limités que par le passé.
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A l’heure de la pandémie mondialisée, des communautés risquent d’être oubliées du fait de leur isolement. Les réfugiés qui sont nombreux dans le Monde, à être encore en pérégrination ou bien abrités quelques parts, sont souvent aidés et même en toutes circonstances par l’aide humanitaire. Mais les choses s’aggravent avec une expansion transfrontalière du COVID-19.
Alors que les communications, comme le transport, sont à l’arrêt, les détresses sont plus graves pour certains. Quand cette surprenante maladie se propage, la question de savoir que fait-on pour les cas éloignés, vivants dans la précarité et exposés aux aléas d’un exil considéré temporaire mais qui dure déjà longtemps ?
La subsistance des réfugiés Sahraouis à Tindouf, dans l’extrême sud-ouest algérien, dépend totalement de l’aide internationale. Le primordial de la nutrition est soumis à la difficulté du rationnement. Alors qu’en est-il par exemple de l’éducation puisqu’il n’est pas possible de songer aux distractions. Quotidiennement la protection et l’eau, l’assainissement et l’hygiène sont exigés.
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Plusieurs ONG se préoccupent de la situation de cette population évaluée, maintenant publiquement, à 170 000 âmes réparties dans quelques 5 camps. La période du COVID-19 donne une nouvelle alerte sanitaire. D’emblée, il faut préciser que l’Algérie accueille ces migrants, sans être directement concernée par le conflit entre des sujets de la monarchie de l’ouest...
Mobiliser des soutiens pour mettre en œuvre les activités sont des surveillances exprimées pour les populations qui sortent des confinements. Alors que l’objectif principal de la prévention du COVID-19 est encore une défiance pour tous, les personnes jetées dans des déplacements de réfugiés sont exposées sans lendemain.
Les plus urgentes et critiques demandes que les gens normaux scrutent actuellement, en ce mi-mai, et qui continuera lors des trois prochains mois, et parfois au-delà dans des cas exceptionnels, est le retour à la vie normale.
Vu le nombre de personnes, la crise de propagation du virus ne peut être ralentie sans aides. Oxfam et ses partenaires achètent déjà des équipements de protection et des articles d’hygiène pour répondre aux besoins des 33 établissements de santé publique et cliniques des camps. Dans la mesure où l’eau peut être procurée, des installations de lavage seront créées. Mais le travail est plus immense dans plusieurs domaines.
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Voir en ligne : Notre dossier : Sahara Occidental.
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