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Microsoft recrutent de fins limiers et des barbouzes pour parer aux piratages.

Les logiciels libres (GRATUICIELS) ont certainement plus d’avenir.

mercredi 17 novembre 2010, par N.E. Tatem

Alors que la concurrence entre les logiciels gratuits et ceux payants fait rage, pour ne pas dire c’est la guerre ouverte, Microsoft donne un nouveau coup-de-visse pour endiguer le piratage. La mondialisation a hissé Bill Gates comme 1ère fortune du monde, en brisant devant son entreprise toutes les frontières.

Depuis que, la mondialisation proposée pendant les années 80 et instaurée pour les capitaux et la marchandise sans la liberté de circulation des populations vérifiée dès la décennie 90, est apparue : la question des piratages est au devant des casse-têtes de Microsoft. Elle est devenue au centre de la protection des droits des auteurs et des créations intellectuelles.

L’apparition des CD et DVD a poussé grandement au piratage. D’ailleurs à la sortie de ces nouveaux supports, le coût d’une chaîne de production industrielle, à graver ces disques, de taille moyenne dépassait de loin les 10 millions d’Euros. Actuellement, pour l’acquisition d’un équipement d’occasion pour une usine de même taille peut valoir une centaine de milliers de dollars (70 000 euros).

Pour télécharger un maximum de logiciels gratuits, de tous genres.

Windows, le système d’exploitation informatique, qui par la force des choses, constitue la pièce maîtresse à répondre à toutes exécutions que les utilisateurs des machines, ne peuvent guère s’en passer. L’expansion du monde informatique a aussi connu une ampleur inégalée. Dotant jusqu’à 90% des ordinateurs de la Terre, l’ensemble des programmes de Microsoft sont les premiers logiciels, à être dupliqués sans respect des droits de son créateur et détenteur des droits…

Pour parer à cette explosion, les décideurs de Microsoft ont multiplié les contacts avec les responsables des pays, et même les plus hautes autorités, pour se plaindre des piratages. L’enjeu est de taille, malgré que certains critiques desNTIC (Nouvelles Technologies) aient cru qu’il y avait une certaine indifférence des responsables. Certains Etats, d’Asie, d’Afrique, d’Amérique du Sud et d’Asie, ne se sont jamais donnés la peine de contrôler les reproductions clandestines. D’autres ont directement opté pourLES GRATUICIELS.

Avec la découverte au sud de la Chine, au début de l’année 2009, d’une usine dont l’ensemble des capitaux a été évalué à plus de 2 milliards de dollars, capable de mettre sur le marché les meilleures copies des logiciels de Microsoft. Elle disposait aussi d’un service après-vente.

Microsoft a préféré, depuis environ 2008, de recruter des enquêteurs de haut vol, des anciens agents de services secrets ou carrément de véritables barbouzes. Quand les trafiquants arrivent à créer de véritables codes cryptés et conformes, impossible de les distinguer des originaux, la t che n’est pas si simple.

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