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Pegasus n’est pas un projet, mais acte criminel de piratage.

Logiciel d’espionnage des citoyens serviables à la justice : journalistes et militants.

mardi 20 juillet 2021, par Jaco

Dans cette affaire, il y a déjà des cadavres. Oui pour avoir bien eu recours à la double terreur d’espionner des individus, certains ont déjà payé de leurs vies parce qu’ils avaient des positions et des expressions qui inspirent à la vérité. Au moment de la rédaction de ce sujet, des informations sont rapportées sur les éventuelles victimes de la surveillance par Pegasus, un outil fabriqué par une entreprise basée auprès l’Etat hébreu !

Comment peut-on appeler l’opération de contrôle des communications des citoyens et des journalistes en « projet » ? Ce dernier équivaut à un travail saint, une proposition ou un inachevé Pegasus du piratage des activités de personnes n’est pas aussi une entreprise qui aussi inspira un travail ou une organisation harmonieuse et publiquement assumée...

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… Mais c’est une action déterminée de barbouzes, comme toutes auxquelles nous ont habitués les officines obscures et très souvent meurtrières. On peut cet acte de piratage hostile, d’intrusion imparfaite ainsi que de trouble avéré farouchement malveillant envers les libertés. Mais que l’on ne soit pas d’emblée assurés, parce qu’on l’a découvert ! Car d’autres existent en fonctionnent encore à notre insu.

L’humanité avait découvert cette pratique de scruter des citoyens qui sont acteurs des luttes essentielles contre la corruption et l’incompétence despotique, lors des révélations de l’espion de la CIA Edward Snowden. La question du terrorisme est le leitmotiv pour que les citoyens soient exposés à des abus, les militants des droits et les journalistes sont en premiers

C’est le sésame des 2 nations colonialistes, Israël et le Maroc qui ont divers projets communs pour causer des complicités à leur démentielle illégalité. La surveillance des médias, pour échapper aux violations des droits humains et spolier des populations dans l’impunité. Et tous les moyens sont bons, pour imposer les impostures et les crimes.

Beaucoup des conséquences sont partagées entre les détenteurs qui utilisent ce logiciel de brigandage et ses créateurs, car c’est une même ligne de pensée. Ce n’est guère pour une protection des justiciables contre le terrorisme, tellement qu’on nous galvaude la mise en vente de la haine pathétique. Mais subissent les persécutions, les meilleurs des militants et des lanceurs d’alertes.

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Aucun des gouvernements dont les citoyens sont surveillés, avec le logiciel prétendument conçu pour lutter contre le terrorisme car même les combattants des libertés sont souvent qualifiés ainsi, n’a fait la lumière sur ce malsain traçage au quotidien de la communication privée. Il est même inutile d’en parler sans promulguer des sanctions et de prononcer des isolements diplomatiques.

Une enquête indépendante doit être dressée par des juges et des investigateurs.
Mais aussi il faut bien le préciser, dans les pays régis par l’état de droit, la possibilité qu’un programme d’espionnage massif et illégal peut être utilisé pour cibler des personnalités de tous horizons. Y compris des opposants politiques et des journalistes, quand elles sont des menaces à l’entité étatique et les juges pilotent cette observation.

Le logiciel présenté sous le nom « pegasus » qui fait l’objet de révélations est lié à de nombreux abus et ce depuis cinq ans. Les nations qui l’utilisent sont maintenant questionnées des mesures mises en place, pour réguler l’utilisation. Plus spécifiquement, la vérification de l’engagement de NSO qui le produit sous prétexte de créer « un monde meilleur et plus sûr » doit répondre des dérives.

Outre l’écoute directe, comme par les applications Whatsapp ou Telegramme, souvent considérées inviolables, Pegasus capte aussi les datas stockées ou utilisées. Tels les contacts, photos, mots de passe deviennent visibles par l’espion. Ce logiciel est une attaque malveillante et délinquante. Elle est d’une ampleur inégalée où collaborent des entités qui éliminent physiquement les citoyens qui dérangent.

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Voir en ligne : Hack, espionnage et piratage

     

Pas de licence spécifique (droits par défaut)

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