Accueil > High-tech / Sciences > TECHNOLOGIE, INTERNET, PERFORMANCES INCLASSABLES > #GhostSec ou #OpISIS, les outils Internet du Daesh
Le front de la guerre numérique enflammé...
mardi 19 janvier 2016, par
La traque sur Internet, des différentes criminalités, est une attraction de laquelle ne peuvent pas s’en passer les hackers, les agents des services de sécurité et les journalistes. Les terroristes d’#Isis sont visés et dénoncés. Des suspensions massives de comptes, faisant le travail idéologique et le rapatriement des recrues, pleuvent encore pour les prêcheurs du "Djihad". Mais ces islamistes armés ont désormais leurs circuits parallèles. Ce qui permet de mieux les observer ou bien ils bénéficient d’être incontrôlable ? Une évaluation de la guerre numérique est en place €¦
La communication d’#ISIS dans une guerre... par Populi-Scoop
Ghost Security, apparu après l’attentat de Charlie Hebdo en janvier 2015 en France, est un collectif considéré une émanation du fameux « Anonymous ». Il se place comme un combattant contre le terrorisme. Et maintenant il est l’un des acteurs du Web, des plus écoutés, qui révèlent le « djihad numérique » détecté sur la toile du virtuel.
– EI, (Etat Islamique) sur Twitter, a menacé le 1er dirigeant de ce réseau
– Twitter, déjà la 5ème année : une légende dans l’époque de la communication moderne.
Son acronyme traduit littéralement « Esprit Securité », elle est une organisation de lutte contre le terrorisme, notamment d’Isis. Elle combat l’extrémisme en ligne, alors que l’essentiel de la « radicalisation » des jeunes islamistes s’effectue par ce canal qui n’a rien d’innocent. Le front numérique d’aujourd’hui consiste à utiliser Internet, à la fois comme une arme et un champ de batailles. Parmi les réseaux sociaux, outre Facebook, c’est dans Twitter que se développe la communication des criminels.
Les opérations de cyber-activisme consistent en la collecte de données, aussi bien par les terroristes que par ses scrutateurs. Ces derniers font de des préventions de la menace, en prétendant faire des analyses poussées. Les services de sécurité s’adonnent à exploiter les informations dans des offensives. Et ce qui guide la surveillance citoyenne, c’est de fournir une conscience aux populations de la situation, pour augmenter leur vigilance et la rendre incessante. Le terrain d’Internet focalise tous les labeurs d’une guerre en ligne.
La communication : pierre angulaire des opérations d’#ISIS, sa victoire : elle recrute massivement.
L’utilisation de la communication de pointe par les islamistes, aux visages cachés, a investi désormais tous les moyens. Une application pour Androïd permet à l’ensemble de ses membres du Daesh de se connecter.
Un autre service similaire au « WhatsApp » est utilisé pour communiquer dans un circuit impénétrable, réservé uniquement aux inscrits approuvés. Alors que twitter sert pour la propagande et les enrôlements. Le projet de Califat Islamique, duquel ISIS compte attaquer le reste du Monde, ne lésine pas sur les outils devenu assez communs.
– Augmentation des arrestations aux Etats-Unis pour appartenance au Daesh
Dans la plainte d’une américaine nommée « Tamara Shields », dont le mari était instructeur de police à Amman, en Jordanie, où il a été tué par un policier jordanien qui a fait allégeance à ISIS, elle assure que Twitter renferme 70 000 comptes [Twitter] étaient au service des terroristes. Pendant l’année et après l’attentat qui a visé le journal satirique parisien, 10 000 comptes ouvertement djihadistes ont été fermés d’après le réseau symbolisé par l’oiseau bleu.
Selon les diverses sources les échanges des terroristes sont fréquentes en Irak, en Syrie et Libye. Mais aucun pays sur Terre n’est pas épargné de connexions Internet où la menace terroriste n’est pas présente.
Voir en ligne : Notre dossier : « Daesh ISIS EIIL Daech Isil »
Recommander cette page |
|