Le patriotisme américain face à l’ingérence sioniste.
mercredi 19 octobre 2011
par jaco
Voir en ligne : Notre dossier : Wall Street, sionisme aux USA, crise du capitalisme etc... Nombreux sujets.
Même en faisant tache d’huile à travers le pays yankee, certains républicains vont jusqu’à accuser les protestataires d’OccupyWallStreet d’être anti-américains ! Question d’intérêts de classes, mais aussi de politique inchangée et allant droit vers la faillite.
Mais le plus éloquent et troublant reproche est l’ingérence des lobbys sionistes. Ils portent des attaques, désormais publiquement, accusant les protestataires d’antisémitisme #occupywallstreet IN GOOGLE+. Or des guerres sont payées par le contribuable...
Pour le compte du colonialisme israélien en Palestine, qui, devant les yeux du monde entier, spolie un peuple de quelques 15 millions d’âmes « les palestiniens » de leur terre. Un « fascissonisme » que l’ex président des USA Jimmy Carter qualifia d’apartheid. Peut-on douter du patriotisme d’un président ? Obama, si ! Il va sur des élections qui le fond courir.
Le clivage ne cesse de se creuser entre démocrates et républicains, et même à l’intérieur des deux partis, à propos du mouvement de contestation. Obama dit « écouter » les manifestations qui ne cessent de se propager à travers les villes. Et sont amplement rejointes, notamment les week-ends sur les places de rassemblement où des groupes contestataires comptent passer l’hiver, par des populations ressentant les inégalités.
Dans les structures et officines qui influent l’administration américaine, le groupe républicain Emergency Committee for Israel constitue le principal levier du lobby sioniste, du fait qu’il agit de l’intérieur même du Sénat. Cette chambre, le Sénat, qui a attribution de bloquer les projets présidentiels de haute importance, dont certains lui sont obligatoirement soumis, dirige l’essentiel de la politique générale du pays.
Obama s’est vu rejeter son projet pour l’emploi au prix d’environ 500 milliards qui ambitionnait de créer la relance par la consommation, en offrant des allègements fiscaux aux entreprises créatrices d’emplois. Et a même modifié son discours, dans le seul but de refaire élire en 2012, pour la paix au Proche-Orient. La colonisation, construction de logements pour les colons après l’occupation militaire, ne cesse d’être en expansion !
Les lois immorales qui déshéritent #occupywallstreet IN TWITTER de la légitimité, empruntent la voie d’une accusation ayant trait au racisme « l’antisémitisme ». Cette dernière est revendiquée, sans moindre mesure, pour le compte d’Israël. Etat tierce, ayant une armée « Tsahal » composée majoritairement de binationaux venant d’autres nationalités. Et ce pays étranger qui a des ressortissants, de l’Aipac par exemple, qui redoutent que les rouages de la vie du peuple des Etats-Unis changent et imposent une paix juste et définitive !
Le but affiché du mouvement est de faire réagir le gouvernement, qu’il juge bien trop soumis aux forces financières. Il est également pour une répartition plus juste des richesses. Pour ce faire, le mouvement appelle Barack Obama à « ordonner une commission présidentielle qui aura pour but de mettre fin à l’influence qu’a l’argent sur la représentation du peuple à Washington » (« We demand that Barack Obama ordain a Presidential Commission tasked with ending the influence money has over our representatives in Washington »
L’autisme, l’autoritarisme et le chauvinisme, des boursicotiers et des conservateurs, craignent que la contestation ne fasse le pas, celui de se questionner le coût de la fausse paix qui impose une injustice à l’encontre d’un peuple désarmé « les palestiniens ». Les américains se questionnent donc, à l’évidence, par quelle diplomatie ils sont représentés ? Et quelle politique étrangère mène leur patrie ?
Dans les affaires américaines, il y a une ingérence israélienne, et se rapportant à la vraie nature patriotique du mouvement… Israël reste un pays externe aux yeux des #OccupayWallStreet… des guerres sont payées par le contribuable...