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L’éducation avancée prémunit de la démence liée à l’âge.

Prévention de l’AVC d’âge moyen et de la cognition de vieillesse.

jeudi 24 février 2022, par Gros Emile

Le lien entre le risque cardiovasculaire (AVC) d’âge moyen avec l’indice élevé de masse corporelle, outre d’autres pathologies comme l’hypertension artérielle et l’hypercholestérolémie, y compris l’inactivité physique sont fortement associés à une cognition plus faible chez les personnes âgées. Et ce qui amoindrit l’accroissement du risque de cette démence du vieillissement, c’est davantage l’éducation. Tel est le résultat d’une recherche publiée le 02 février 2022.

Longtemps l’éducation qui est transmise aux individus par la fréquentation de l’école a été appréciée et recherchée des communautés humaines. L’un de ses meilleurs effets, constatés par des scientifiques, est la prévention des démences qui surviennent à tous les âges et avec le vieillissement notamment. C’était comme une menace pour les personnes, de s’attendre à la perte de la bonne cognition neuronale

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Notre époque est marquée par le nombre de personnes souffrant de démence. Elle est en augmentation comme une incidence, non pas seulement du bon mode social, mais de l’allongement de l’espérance de vie. Communément la démence sénile survient fréquemment à l’âge avancé des personnes, telle une détérioration du système cérébral, relatant une certaine usure par manque d’exercices et surtout, maintenant avec ce travail scientifique, de savoir.

Une étude menée à l’University d’Helsinki et de l’Université de Turku a observé a examiné si les antécédents scolaires affectent certains cas précis. On avait idée le risque cardiovasculaire en milieu de l’âge (la cinquantaine), était trop souvent lié à une cognition plus faible dès le commence de la fin de vie. La 1ère place à l’irrigation du cerveau en est problème. Et la 2ème tient de la mémoire et ses capacités de traitement de l’information.

La conception de cette recherche s’est basée sur l’étude de jumeaux, pour faciliter le comparatif. Elle a permis d’examiner les effets de la génétique et de l’environnement partagé et des conditions d’existence qui lui sont associées. Par environnement partagé, on entend tous les facteurs environnementaux qui rendent les enfants d’une même famille similaires, comme le milieu socio-économique et le cadre de vie, comme les habitudes alimentaires et l’exercice physique.

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Plus de 4000 jumeaux finlandais ont participé à l’étude dont les résultats sont publiés dans « Age and Aging ». Ces derniers suggèrent que l’association entre l’éducation et la cognition, en fin de vie, est indépendante de la génétique et de l’environnement partagé. Mais l’association entre les facteurs de risque cardiovasculaire en milieu de vie et la cognition en fin de vie s’expliquent plutôt par des effets environnementaux et génétiques partagés.

Une nuance apparait entre entre fin de vie et en âge assez avancé. Le cas de jumeaux suivis en observations, a montré un niveau d’éducation plus élevé était associé à une meilleure cognition à la fin de la vie chez les jumeaux présentant une charge de risque cardiovasculaire similaire. Au contraire, chez les 2 personnes similaires à plusieurs points de vue et ayant un niveau d’éducation similaire, les facteurs de risque cardiovasculaire n’étaient pas associés à la cognition à un stade avancé de la vie.

«  Cette étude a montré que les facteurs de risque cardiovasculaire, tels que l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie, l’indice de masse corporelle élevé et l’inactivité physique, étaient associés à une moins bonne cognition à la fin de la vie. En association chez les personnes à un faible niveau d’éducation, elle était plus forte chez ayant celles ayant un niveau d’éducation plus élevé...  », explique la chercheuse postdoctorale Paula Iso-Markku de l’Université d’Helsinki, auteure principale de cette étude.

Succinctement voici la conclusion de ce sujet. Les personnes ayant un niveau d’instruction supérieur peuvent mieux tolérer les effets de la détérioration du cerveau avec l’âge. A l’opposé donc, chez celles ayant un niveau d’instruction inférieur, les facteurs de risque cardiovasculaire de la quarantaine sont le mauvais effet sur la cognition des personnes âgées particulièrement.

Image de l’Université d’Hélinski.

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