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La procédure d’accusation, du Journaliste-Hacker de l’investigation virtuelle à la tête de Wikileaks, va sur la désuétude
dimanche 26 août 2012, par
L’accusation de Julian Assange de viol de deux suédoises reste à établir, malgré que le projet de l’extrader vers le pays qui l’a émise concentre une continuelle menace prétendant à la légalité et à l’extradition. Pourtant à bien observer ses tenants (débuts) et aboutissants (finalités) elle n’est pas crédible pour plusieurs raisons, mais deux ou trois vérités la démentissent en toute vraisemblance. Les avocats du journaliste de Wikileaks promettent une surprise...
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L’accusation de Julian Assange de viol de deux suédoises reste à établir, malgré que le projet de l’extrader vers le pays qui l’a émise concentre une sorte de continuelle menace prétendant à la légalité. Pourtant à bien observer ses tenants (débuts) et aboutissants (finalités) elle n’est pas crédible pour plusieurs raisons, mais deux ou trois vérités la démentissent en toute vraisemblance.
La première est l’anonymat qui entoure ses deux victimes d’agressions sexuelles ainsi que la présentation de ce délit, par le non-usage de préservatifs. Ce qui présage qu’il est question plus d’arrêter un journaliste qui dérange. La seconde est la platitude de la procédure judiciaire, l’invisibilité d’avocats des femmes violées et le peu d’arguments étayant publiquement l’incrimination du journaliste de Wikileaks. La première puissance du Monde et ses relais qui ont des pratiques disqualifiées des relations entre nations, veulent la tête d’un gêneur.
Quand on met au comparatif des faits divers semblables selon plusieurs de leurs éléments connus, l’affaire de, l’ancien directeur du FMI, DSK où ses proies sexuelles s’avèrent être nombreuses, on est fixé et instruit. Et malgré les efforts de taire les délits de l’homme riche et puissant, à chaque fois par la mafia médiatique comme ignobles histoires d’un économiste qui allait présidait la France et asseoir l’impunité, on se fait une idée si simple de l’inexistence du délit imputé au journaliste.
Les victimes de ce dernier ont l’air de n’avoir jamais existé. En effet la notion de viol établit une contrainte de la victime, par la menace ou surprise. Avec la première il s’agit de la force, et la seconde il est question de l’absence de conscience, comme en plein sommeil, de la souillée. Or on n’est guère dans l’un des cas et aucun mode forcé de relation sexuelle ne semble exister.
Depuis août 2010 que l’accusation a été émise, aucune preuve n’est venue l’étayer et consolider son authenticité. Nombreux juristes se demandent, du point de vue du droit suédois qui prévoit, seule une sanction le "sexe par surprise". Quand Interpol a lancé une notice rouge (ou avis de recherche international), il a été incarcéré depuis en Grande-Bretagne, par le fait d’être assigné à une astreinte d’emprisonnement qui l’empêche de quitter le Royaume Uni.
L’institution policière internationale –InterPol- est soumise à une déontologie commune « toute personne recherchée en vue d’arrestation doit être considérée comme innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été démontrée » , et le concerné réfute la charge seulement déclarée contre. Nombreux articles de presse de leurs côtés ont précisé depuis que ses deux partenaires suédoises reconnaissent que les rapports sexuels qu’elles ont eus avec lui étaient "consentis". Et aussi les deux, sans jamais avoir été montrées au public, nuancent l’accusation : qu’il avait continué à faire l’amour avec elle sans préservatif, alors qu’elles lui avaient demandé d’en mettre un. Mais on n’y tient pas aussi compte.
Un avocat de Julian Assange a promis jeudi 23 août 2012, une "grosse surprise" dans l’affaire des viols présumés. Le fondateur de WikiLeaks, réfugié à l’ambassade d’Equateur à Londres afin d’éviter son extradition vers Stockholm. L’ancien juge espagnol Baltasar Garzon, engagé dans la défense du journaliste, s’est entretenu pendant plusieurs heures avec son client dimanche 19 du même mois. Il affirme que la défense a sollicité le déplacement à Londres d’un procureur suédois pour qu’il prenne une déposition de M. Assange. Chose qu’il a répété, lors d’une conférence à Brisbane 24 août, dans l’est de l’Australie, par le journal Sydney Morning Herald. Et rajoutant de son côté, que la défense est en possession d’éléments cruciaux sur ces accusations.
La justice suédoise écorne énormément l’image idyllique du pays scandinave. Dans une dépêche de l’AFP, citant une porte-parole du parquet, Helena Ekstrand, cette dernière a affirmé jeudi que Julian Assange devait venir donner sa version des faits en Suède. Les juges suédois restent fermes leur position, ils refusent de se déplacer à Londres, mais la surprise les fait réfléchir.
Si Assange est extradé en Suède, il risque d’être envoyé aux Etats-Unis où il encourt, selon lui, la peine de mort pour espionnage, après la publication en 2010 par son site internet WikiLeaks de 250.000 télégrammes diplomatiques américains. Refugié dans l’ambassade d’Equateur à Londres depuis deux mois. Quito, capitale de l’Equateur, lui a accordé le 16 août l’asile politique, mais Londres refuse de laisser l’Australien quitter le Royaume-Uni libre.
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