A l’ONU après 1 an de guerre, lors de l’AG, il y a 141 condamnations de la Russie pour l’invasion de l’Ukraine. 7 pays ont voté contre et 32 abstentions. Tant le recouvrement de la paix et la liberté des précédents pays occupés et sous agressions extérieures fomentées par le gendarme du Monde que sont les USA, l’unanimité n’est pas entièrement acquise pour la paix. Le continent africain reste majoritairement pro-russe. Et des peuples se demandent encore quand l’ONU pouvait condamner aussi nettement Israël ? Alors ces achoppements au sommet de l’organisation observée par l’humanité cachent bien d’autres pressentis et réalités.
Magazine d’infos alternatives, rapporte l’actu pertinente & lanceur d’alerte sociale.
Articles les plus récents
-
L’inefficacité des sanctions contre la Russie, une évidence de guerre.
26 février, par Hugo Mastréo -
Record de redressement des fuites fiscales en France pour 2022.
25 février, par JacoC’est lors de la fin des comptes que nous saurons si les 14,6 milliards d’euros, actuellement mis en recouvrement par les services fiscaux au titre de l’année 2022, ont été totalement encaissés. Cette réalisation est d’abord un repérage qui peut être augmenté ou réduit. C’est lors de la phase de procédure de rappel aux paiements des taxes qui n’ont pas été, le plus souvent, déclarées. Dans une conjoncture de reprise des activités, pst-pandémie, que cette info est tombée...
-
Israël exclu du 32é sommet de l’UA, la délégation sortie par les vigiles.
22 février, par Gros EmileDe lourds problèmes frappent l’Afrique mais le temps de s’en occuper n’est pas encore venu. Bien des urgences, comme la sérénité du travail de l’UA, doivent être rapidement traitées. Des populations menacées de famine dans la Corne de l’Afrique frappée par la sécheresse, en est aussi cette catastrophe appelant à la solidarité. Le Mali, le Burkina Faso et la Guinée, gouvernés par la junte, ont été suspendus de l’UA. Ils n’ont pas participé au sommet du week-end, 18-19/02/23. Leurs diplomates à Addis-Abeba sont venus demander leur réadmission. Les acquis démocratiques durement acquis sont en train de disparaître en Afrique du nord et ailleurs.
-
Fraiche étude des datas, janvier 2023, de la vie numérique d’Algérie.
21 février, par N.E. TatemL’Algérie digitale n’est pas encore établie, elle est juste abordée. Les gouvernants mettent les bouchées doubles pour développer les technologies liées à l’informatique où ils voient que les startups. Ils ont l’air de parler de choses qu’ils ne maîtrisent pas. Et ce ne sont les seuls dans le Monde à être le volaille intrigué le couteau rencontré en destin imparable. La vulgarisation est plus que nécessaire à leurs publics afin de consolider l’essor de ce domaine dans ces pays nation qui lorgnent à l’émergence et à la démocratie citoyenne.
-
Révolution technologique qui tient au clic en accès à l’intelligence virtuelle.
19 février, par N.E. TatemUne innovation a pour effet essentiel d’être reconnue et devenir cruciale ainsi qu’à une certaine échelle elle sera répandue. Depuis l’adoption des forums sur le Net puis des réseaux qui en sont un prolongement, la technologie a modifié les contacts entre les différentes entités peu importe leur forme et grandeur. Encore des songes à ce stade de début 2023, la blockchain, les crypto-monnaies, l’IA et la "métaverse" ont l’air de se soutenir pour déployer une ou plusieurs autres plateformes végétant à profusion sur Internet.
-
Le Maroc a corrompu parlementaires, journalistes et institutions dans le Monde.
16 février, par Azouz BenhocinePlus complexe l’affaire de l’officine israélienne (Team Jorge) spécialisée en désinformation qui s’adonne à un mercenariat sur les réseaux du Web, qu’une centaine de journalistes, de Forbidden Stories, a révélé en ce mi-février 2023. Ce qui met en exergue nombreux partenaires de l’Etat hébreu, pour les pratiques nauséabondes dans les politiques et les relations internationales, met le royaume maghrébin du cannabis dans de sales draps.
-
La "harga" d’une égérie du Hirak en Algérie, Amira Bouraoui, met aux abois la meute de la décadence.
13 février, par Djamel Damien BoucherefUne affaire diplomatique avec à la fois la Tunisie et la France est bien cette surprenante évasion de la médecin révoltée algérienne qui faisait du bruit. Pire des réducteurs des libertés qu’a connu ce pays où les autocraties sont un héritage militariste, l’actuel pouvoir s’adonne aux persécutions des opposants. Ce qui s’apparente à l’endémique allergie envers la démocratie, une pathologie qui a mainte fois fragilisé une nation livrée à la gabegie et au populisme des incompétents. Cette "harga" (sortie clandestine) d’une femme privée d’un droit constitutionnel par des autorités à la légitimité douteuse, laissera trace dans les annales des relations avec voisins et partenaires...
-
Une IA (Intelligence Artificielle) détecte le cancer du poumon.
9 février, par JacoCette technologie a réussi à prédire avec précision le risque de cancer du poumon dans les ensembles qui lui ont été soumis, ce qui est une réussite comme innovation. La stratégie visée et qu’on pourrait aider à surmonter les obstacles disparates de la détection. Ce qui consiste à améliorer l’efficacité et les avantages du ces dépistages en individualisant l’évaluation d’une manière précoce, avant que les symptômes apparaissent.
-
Aux USA, mobilisation pour le pire espionnage des citoyens du Monde.
6 février, par Rebel KazimirCe n’est guère le propre des Etats-Unis et sans autres pays. Mais quand les observateurs américains et du Monde entier constatent que c’est plus grave, large et illimité, c’est que le résultat de cette surveillance des gestes et communications des personnes déborde pour atteindre les libertés. Ce n’est la prévention du terrorisme mais simplement un espionnage des militants, journalistes et simplement de personnes opposées à celles qui dirigent. Et la déontologie d’une législation publique dépasse l’admissible et les questions de sécurité.
-
Le FMI avise l’Algérie : l’inflation due à la rente dispatchée en monnaie incontrôlable.
3 février, par Djamel Damien BoucherefL’économie algérienne est, en 2023, partagée entre ces 2 facettes inflationnistes. Premièrement, le pessimisme pour l’explosion de l’inflation du fait que la monnaie en circulation est incontrôlable. Et seconde vision, le contraire qui est temporairement un stimulant du fait des ressources qui ont des retombées directes sur les prix intérieurs et sur la dévalorisation du dinar. Ce qui résume la perspective économique est formulé dans le dernier rapport du FMI. Il a intitulé en « conclusions pour les consultations de 2022 au titre de l’article IV de son programme annuel avec l’Algérie ».