La prouesse date du 28 avril dernier, quand la NASA et ses partenaires ont franchi une autre étape majeure dans l’avenir des communications spatiales. Ils atteignent un débit de 200 gigabits par seconde (Gbps) sur une liaison optique espace-sol entre un satellite en orbite et la Terre, le débit de données le plus élevé jamais enregistré par la technologie des communications optiques.

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Le transfert de massives données a été un frein ralentissant certains travaux qui nécessitent ces échanges. Quand il s’agit aussi de communication spatiale, c’est encore plus important de transférer les éléments du travail qui mobilise tant des capacités scientifiques que des technologies de pointe. On savait que le laser est une solution, alors que moult autres applications lui sont vouées en attente.

L’utilisation de la communication optique en espace libre dans le milieu d’au-delà de l’atmosphère tablait sur la TeraByte InfraRed Delivery « TBIRD », ce qui a été pleinement affirmé par la NASA dernièrement. Les données de l’espace n’ont jamais eu un chemin de retour plus rapide vers la Terre que celui-ci. C’est la mise en pratique qui permet donc la vérification de l’efficacité de la méthode.

Avec sa démonstration réussie par TBIRD des relations laser, en tant qu’outil pratique pour transférer des données de l’espace au sol, facilitera ce service des futures missions de la NASA qui peuvent maintenant intégrer cette technologie dans leurs conceptions. Des interfaces sont alors mises en contacts qui auparavant la technologie radio était en vigueur.

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Démontrera un nouveau système de communication laser du MIT Lincoln Laboratory capable d’envoyer de grandes quantités de données aux stations au sol à partir de l’orbite terrestre basse. Ce système pourrait fournir jusqu’à 10 téraoctets de données par jour à une station au sol.

L’exemple du télescope spatial Hubble de la NASA qui génère environ 10 téraoctets de données par an. Alors que la démonstration a connecté la charge utile de communications laser TeraByte InfraRed Delivery (TBIRD) à bord du satellite Pathfinder Technology Demonstrator 3 (PTD-3) de la NASA au sol, transmettant 1,4 To de données de test en un seul passage de station au sol d’une durée inférieure à 5 minutes.

Voilà réellement ce que la NASA a réussi à faire en matière de communication de l’espace astronomique. Un seul téraoctet équivaut à approximativement 500 heures de vidéo haute définition. On peut envoyer plusieurs téraoctets de données de test à la Terre en un seul passage de six minutes sur une station au sol.

Les communications laser sont le chaînon manquant dans la suite déjà effectuée des recherches, essais et autres accès à l’espace sidéral. Elle permettra les découvertes scientifiques du futur, parce qu’elle ouvre la possibilité d’envoyer, et par la suite de recevoir, ce qui a été étudié au sol, où les énormes octets tombent, pour être analysés, afin de servir à des perspectives d’autres conquêtes et travaux.