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En Europe des startups aidées pour des satellites de production.
mercredi 6 octobre 2021, par
En industrie une révolution est en marche. Les nouvelles entreprises que sont les startups animées du savoir et des sciences basées sur l’électronique, portent cet élan d’une innovation de fabriquer des produits à forte valeur ajoutée. Ils sont difficiles à concevoir et nécessitent de lourds investissements pour être usinés. Alors entre en action la haute technologie pour répondre à des besoins de pointe qui ne sont pas à la portée de ceux qui en veulent.
On savait que quelques rares et coûteux produits sont réalisés sur l’ISS, généralement il s’agit de petits éléments résultants d’expérimentation. Mais dont l’utilité spécialisée est probante voire avantageuse. Ces petits ouvrages, comme de rares médicaments, bénéficient de l’absence d’apesanteur pour être fabriqués d’une manière performante hors atmosphère.
L’Agence spatiale européenne (ESA) soutient un projet d’usine stationnée dans l’espace céleste. L’initiative revient aux entrepreneurs qui prévoient de faire de la dernière frontière du milieu respirable un centre de fabrication. Déjà des organes humains ou bien des alliages de haute performance ainsi que de la fibre optique sont déjà élaborés hors contexte terrestre.
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Le lancement la 1ère usine spatiale est prévu pour en 2022. Elle pourrait faire la fabrication hors du monde de certaines choses qui peuvent être faite sur Terre, mais d’une méthode coûteuse du fait de l’exigence de s’en passer de la gravité. Entre autres marchandises, les cœurs imprimés en 3D. Ce qui peut provoquer la formation de minuscules cristaux perturbant la transmission des signaux.
Même si le problème du retour du produit fini sur Terre reste difficile et même, lui-aussi, onéreux d’un point de vue logistique, pour lui épargner les incidences de l’environnement du transfert et de la manipulation, on peut compter sur la spécialisation des moyens. Bien sûr qu’il faut se limiter à un moyen de fabrication qui soit une machine, ce qui est maintenant désigné par usine.
Les commentateurs et les analystes des faits ont imposé leur curiosité, ce qui a traduit que l’usine en question n’a pas vraiment les dimensions d’une unité comme on cannait habituellement dans une zone industrielle. Pour certains observateurs, il s’agit juste d’une valise chargée de matière transformable et qui se déploie pour façonner des produits selon une programmation.
C’est le 27 septembre que cette révélation a été faite. L’ESA a annoncé qu’elle attribuait à Space-Forge un contrat de deux ans d’une valeur de 2,3 millions de dollars pour développer, lancer et récupérer une usine spatiale de la taille d’une valise appelée « ForgeStar » d’ici 2022. Cette entreprise anglaise s’est faite la renommée de ramener ses satellites et de les réutiliser.
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Le plan est que ForgeStar soit déployé en orbite terrestre basse, comme n’importe quel petit satellite avec une charge utile pesant jusqu’à six livres. Il peut alors y rester entre 10 jours et 6 mois, quel que soit le temps qu’il faut pour fabriquer un produit ou réaliser une expérimentation. Tel est la travail éclair de l’installation qui n’a l’ambition d’être une usine.
Maintenant nous sommes avec la promesse d’une mission de retour peut alors être initiée, avec une légère désorbite et un atterrissage sur Terre. Une fois le ForgeStar récupéré et sa charge utile retirée, l’usine spatiale peut être remise à neuf et renvoyée dans l’espace encore une fois, souvent de refaire la même chose. Cette réutilisation consiste surtout à réduire les coûts.
La liste des produits à fabriquer en dehors de l’atmosphère terrestre est encore modeste. Si Space Forge peut faire ses preuves avec le ForgeStar soutenu par l’ESA, il espère décupler la capacité de charge utile de son usine spatiale et lancer un service de « microgravité à la demande » avec des déploiements réguliers.
Alors que le 1er film qui est actuellement tourné dans l’espace est russe et ses scènes s’effectuent en bobine dans l’IIS, l’industrie lorgne vers la création d’usines dans l’espace. Ce qui encourage cette révolution c’est qu’existent déjà des productions célestes. Même modestes, elles sont réalisées dans le station internationale, alors que l’accélération est préconisée avec les startups.
Voir en ligne : Espace & Satellites
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