Le conflit du Moyen-Orient qui a repris, 7 octobre 2023, de plus belle autour de son « nœud gordien » de la question palestinienne, suggère l’idée usitée d’un « Monde multipolaire ». Une affaire que les rapports mondiaux n’ont pas résolue. Tant que la consommation de la spoliation, des colonisés de leurs biens, n’est pas pleinement réalisée, cette guerre, sporadique depuis 1947, a prétendument sa solution dans le contexte à plusieurs éminences.

Notre POPULI-SCOOP a deux rubriques essentielles. Elles sont la marque de fabrique. Et font la tendance principale de la ligne éditoriale de notre « cyber-média ». Les sujets de science sont nos contributions pour la vulgarisation du savoir. Et les questions internationales, faits des conflits et des actions d’espérance, servent à nos raisonnements afin d’améliorer les affaires de l’humanité pour la paix et la solidarité.

Les droits démocratiques, en recul dans le Monde, sont annihilés en Algérie.

Le forum de Davos 2017 face aux incertitudes exacerbées du Monde

Aujourd’hui, nous arpentons le sujet de la création d’un « Monde Multipolaire », qui n’est pas moindre thème dans les cercles diplomatiques et dans les objectifs des chancelleries de la majorité des nations. C’est au sein même de l’ONU que ce débat est adulé dans les discussions et porté comme inscrits dans les objectifs des relations entre tous les pays qui, sont de la Terre, y siègent.

Du « Monde Bipolaire », conduit par deux nations prépondérantes : USA et URSS, un tiers-Monde s’était distingué de vouloir sortir d’un paradoxe artificiellement disposé dans les échanges internationaux. Or, au sein même du non-alignement, des pays et des personnages s’arrogeant la stature du leadership se sont retrouvés à chapeauter une chimère, comme celles dont ils se sont détournés.

La réalité frappante des dominations, s’est aussi révélée au sein même de cette troisième voie tiers-mondiste. Car, une fois s’est effondré le pôle socialiste conduit par le marxisme, la nouvelle obédience qui se prétend « ni de gauche, ni de droite » n’avait plus raison d’exister. En dépit que quelques politicards désarmés de belles idées s’y accrochent, vainement puisque les relations ont changé.

BRICS élargi, une cohésion tenant à une loyauté affichée pour la façade.

La famine dans le Monde pour 2020, les guerres aggravent les cas.

Nous prônons d’envisager toutes approches et allégations de multipolarité, à les prendre avec un esprit critique, communément de les considérer avec la précaution des pincettes. C’est pour être en distance avec les préjugés colportés favorables aux uns et défavorables aux autres. De la manière à croire ces idées plus « démocratiques », « pacifiques » ou « justes » et produiraient des relations internationales équilibrées, il n’en demeure que rien n’est prouvé.

Les adeptes d’un « monde multipolaire » sont souvent des pays qui ont la prétention d’apparaitre sur le concert des nations. Généralement ceux le pouvoir de rayonnement qui leur permet cette ambition de devenir prioritairement un de ces pôles que les suivent dans une démarche commune de présenter une alternative à deux hégémonies qui font la conquête de l’espace.

Les fausses analyses disent que les pays qui ont réussi à « jouer sur les deux tableaux », ont reçu des investissements des deux blocs. Et la Chine ? Des pays, comme l’Inde, sont restés largement indépendants des deux blocs, recevant des armes et des technologies soviétiques ainsi que des investissements en capitaux américains presque à parts égales, est le modèle de cette croyance.

Le monde bipolaire a deux puissances dominantes qui sont en concurrence en vue de domination. Ce qui peut conduire à des tensions et à des conflits. Celui unipolaire a une seule puissance qui risque d’exercer une hégémonie. Et provoquer la résistance d’autres protagonistes. Donc la détermination de l’équilibre des forces avec un Monde multipolaire est plus susceptible de maintenir la paix qu’un monde bipolaire ou unipolaire, mais ça reste théorique.