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Typologie coloniale des climats méditerranéens peut être l’origine des incendies de forêts.

Des opinions disent qu’en Algérie et en Californie les paysages subissent l’idée européenne dévastatrice.

mardi 8 août 2023, par Djamel Damien Boucheref

Pour de nouvelles prospections alliées à des recherches scientifiques ouvertes et non-encore achevées aux États-Unis, les intenses incendies de forêts sont dus à la métamorphose, des écosystèmes, que le colonialisme a introduite. Il a substitué aux variétés locales ancestrales des végétaux, notamment arboricoles, qu’il a apporté, en éliminant, pour ses besoins, tels de bois afin de construire les flottes marines, des espèces, et y compris animalières, qui étaient, pendant des millénaires, endémiques.

Le modèle colonialiste des exploitations des forêts a effondré les pratiques que les autochtones. En dépit des difficultés de survie de ces derniers, eux aussi y étaient, de lointains déplacés, venus et ont créé leur environnement en le façonnant pour qu’il se fertilise et se reproduise. Ces populations sédentarisées se sont évertuées à garder certains aspects moins destructeurs, du fait des manquements en technique, trop abusive, pour les pratiques des cultures vivrières.

Source inspirante de cet article.

Les leçons des incendies de forêts dans certaines régions du Monde font l’objet de recherche, à l’instar du réchauffement climatique qui devait être cyclique, au regard de l’espoir pour que revienne après le du règne de l’ère glaciaire. Les saccages des grandes combustions de la couverture végétale de la planète, quand flambe le climat dans plusieurs régions, que faut-il instruire nos instincts encore de nos expériences ?

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Ou bien c’est carrément et bien l’amenuisement de l’époque de l’espèce humaine. Elle tire à sa fin, car mettre à l’épreuve la Terre, en puisant moult richesses sans en assurer leur renouvellement et préserver leurs régénératives sources, ne peut continuer. Les transformations de la civilisation actuelle, dépassant maintenant la phase coloniale qui a été répandue en Amérique et en Afrique, ont créé une végétation axée sur les gains.

Nous avons publié un article sur les leçons des incendies, notamment en Algérie. La richesse végétale qui, lors de la saison estivale, rend la broussaille inflammable est une richesse ponctuelle. Ces maquis apprêtés, car fourrés, deviennent prêts à déclencher et même répandre les feux. Ce qui relève davantage de l’aménagement du territoire et de l’entretien des espaces, à la verdure est saisonnière et qui doit être suivie de maintenance, n’est pas étudié et encore moins pratiqué.

Il est temps, pourtant, de reconnaître que les paysages algériens, comme ceux de la Californie, sont des paysages coloniaux. Et ne sont pas les seuls qui aient été transformés pour s’adapter à une idée européenne de la Méditerranée. Les conséquences de cette incompréhension, des écosystèmes naturels tels qu’ils sont préservés par les peuples autochtones, provoquent des dommages qui sont infligés à ces régions. Maintenant l’évidence, dans les incendies de forêt en Afrique du Nord, il y a une origine inappropriée.

Les études comparatives des terrains des grands incendies de forêt ont tous reconnus cette caractéristique des passages de la colonisation de différentes formes, mais aussi essentiellement européenne. La Californie, atteinte des feux, a souffert d’une approche scientifique qui négligeait son écologie et la façon dont les gens vivaient ici dans les paysages.

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Les incendies, les catastrophes et la mort continueront probablement jusqu’à ce que nous tenions compte de cet héritage colonial. L’Algérie est un endroit semi-aride dominé par le désert avec lequel les politiques de développement et les pratiques d’urbanisation ont exposé les habitants, ainsi que les paysages modifiés, à un grand risque d’incendie.

La plupart des écologistes et des scientifiques semblent préoccupés par les incendies de forêt dans ces régions où récidivent ces catastrophes. Leurs constats se rejoignent, concernent les travaux à enjoindre aux plantes broussailleuses où se déclenchent les embrasements. Ces herbes prédominent dans les zones côtières et montagneuses et ont tendance d’être les plus menacées, tant par le feu que par l’empiètement urbain.

Reconnaître que les paysages algériens, comme ceux de la Californie, sont des transformés par les besoins coloniaux n’est pas établi. Les sols inadaptés à des besoins coloniaux, souvent peu enclins à préserver les écosystèmes naturels tels qu’ils ont été occupés et partagés par les peuples autochtones, ont produit une broussaille curieusement prête au feu. En conséquences, les dommages infligés dans ces régions sont maintenant les incendies. Et en Afrique du Nord s’applique ce constat en sautant aux yeux des observateurs.

L’effet premier d’un feu de forêt est la perte des arbres qui ont eu des décennies, voire des siècles, pour atteindre la sommité pouvant chatouiller les cieux. D’autres catastrophes dévastatrices, comme les broutages animaliers, ont été régulées et amoindries avec les équilibres de prédateurs qui sont assouvis par des proies nuisibles aux végétations.

Certaines transformations des paysages ont subi l’apport néfaste du colonialisme qui a sévi des siècles durant dans des régions du Monde où se sont adaptés des modèles de microclimats et des espèces ayant développé leurs propres défenses protectrices des calamités particulièrement incendiaires.

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Voir en ligne : Incendies, feux, forêts

     

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