Le Hamas vient de publier un édifiant rapport sur l’assaut qui s’est soldé par plus de 1200 morts côté israélien, donnant sa propre version des faits. Nous vous donnons exclusivement une copie réalisée par une traduction automatique, donc peut contenir des coquilles de l’outil de conversion au français.

Notre dernier article sur le même sujet de la com de guerre : Guerre à Gaza dans les médias alternatifs et « Fake News » corporatistes pour Israël.

Le groupe palestinien reconnait, sans même les amadouer, certaines fautes. Au cours de l’opération, "certaines erreurs" ont pu survenir dans sa mise en œuvre en raison de l’effondrement rapide du système sécuritaire et militaire israélien, conduisant au chaos le long des zones frontalières avec Gaza, note le rapport de seize pages.

Le document (original) qui a pour titre « Notre récit… Opération Al-Aqsa Flood » a pour dessein de contredire les affirmations d’Israël, affirme que l’Opération. C’est une sentence nécessaire venue en réaction naturelle contre les plans d’Israël qui vise à éliminer la cause palestinienne, à s’emparer des terres, à judaïser les Palestiniens, à s’emparer des terres et établir un contrôle total sur la mosquée Al-Aqsa et des lieux saints.

Le rapport appelle les États-Unis et les pays européens à soutenir le processus judiciaire pour enquêter sur tous les crimes commis en Palestine s’ils croient vraiment en la justice. Chose inimaginable, ces nations sont sous dettes de la Shoah. Malgré leur opposition à ce qu’Israël soit poursuivi devant la Cour internationale de Justice, la vérité devait primer sur les affabulations.

La précision majeure qui était déjà en l’air des analystes rigoureux et qui n’ont aucun parti pris, est celle-ci : «  Les combattants palestiniens n’ont ciblé que les soldats de l’occupation et ceux qui portaient des armes contre notre peuple…  » Depuis, des journalistes à la solde de l’État hébreu, s’adonnaient aux « fake news » d’une pseudo-barbarie commise le 7 octobre.

Israël devant la CIJ, premier pas pour la fin de l’impunité.

«  Des clips vidéo pris ce jour-là – le 7 octobre – ainsi que les témoignages des Israéliens eux-mêmes, qui ont été rendus publics plus tard, ont montré que les combattants des Brigades Al-Qassam n’ont pas pris pour cible les civils et que de nombreux Israéliens ont été tués par l’armée et la police israéliennes à cause de l’attaque et sur leur confusion  », dit le document.

Concernant les allégations selon lesquelles les Brigades Al-Qassam, la branche armée du Hamas, auraient pris pour cible des civils le 7 octobre, le rapport indique : «  Les allégations selon lesquelles les Brigades Al-Qassam le 7 octobre ciblaient des civils israéliens ne sont rien d’autre que des allégations de l’occupation israélienne. Ce sont totalement des mensonges et inventions. La source de ces allégations est le récit officiel israélien. Et aucune source indépendante n’a prouvé aucune d’entre elles.  »

Dans le stéréotype de l’islamisme, pour répondre aux accusations de ciblage de civils israéliens lors de l’opération « Al-Aqsa Flood », le rapport souligne qu’éviter de prendre pour cible des civils, en particulier des femmes, des enfants et des personnes âgées, était une obligation morale et religieuse pour les membres du Hamas.

L’opération du 7 octobre a besoin d’être bien analysée. Pour notre ligne, elle représente une action hautement stratégique. Elle réveillait les médias internationaux sur l’enclave sous le pire blocus. Et se libérer de l’occupation israélienne, restaurer les droits nationaux, atteindre l’indépendance, façonner le destin palestinien et à établir un État palestinien avec Jérusalem pour capitale, méritait une lutte de ce genre qui restera dans les mémoires.

Les allégations israéliennes, sur le déroulement de l’attaque du 7 octobre 2023, n’ont pas été documentées, en dépit que des journalistes prétendaient avoir vu des horreurs, des films présentés par l’État sioniste. Le groupe de résistance palestinienne Hamas a publié dimanche un rapport connu depuis 22 janvier 2024, pour souligner les motivations de son attaque transfrontalière. Pour l’occasion, le Hamas insiste sur son lien avec la cause palestinienne.