Les nouvelles technologies impactent la planète avec l’énergie qu’elles utilisent et provoquent la chaleur. Elles doivent la réduire pour que le fonctionnement soit efficient. Donc il y a un double besoin : celui d’être alimenté en électricité permettant l‘activité qui, une fois en marche, provoque un besoin de froid avant que ne fondent les matériaux qui en sont les construisent.

Sans complaisance, remballez vos données des communautés de socialisation virtuelle

Le stockage des données, maintenant plus utiles pour être exploitées dans bien des domaines, constitue une tâche primordiale de ce secteur des datas. Il ne faut pas croire que c’est un dépôt inerte ou dormant, au contraire, il est constamment sollicité pour en approvisionner, de ses réserves, les requêtes qui lui sont adressées de la part des utilisateurs. Sa mise en marche est souvent à l’improviste, peut être aussi programmée.

Les lourdes mémoires qui contiennent des milliards de datas réagissent promptement. En répondant, elles font tourner des machines selon les programmes qui les orientent et les animent. Pour qu’elles puissent acheminer les réponses aux demandes, le refroidissement est une obligatoire pour préserver les composantes. Venant d’une consommation énergétique à laquelle l’eau, comme dans les moteurs, apporte une solution du froid qui est plus que répandue à toutes les technologies.

Alors cette nouvelle méthode de rafraichissement, des gigantesques disques durs, consiste à les plonger dans l’eau, voire en mer. En 2022, la Chine, toute dernière, a lancé la construction son premier centre de données sous-marin. Il est situé au large de l’île d’Hainan, en Chine, et est capable de traiter jusqu’à 100 pétaoctets de données. Voilà qu’arrive un autre plus gigantesque...

En 2018, Microsoft a lancé le projet Natick, un projet de recherche visant à développer un centre de données sous-marin. Le premier prototype de centre de données Natick a été immergé au large de la côte de Washington, aux États-Unis. Le prototype a fonctionné pendant deux ans sans incident, démontrant la faisabilité du stockage sous-marin des données.

L’atout des datas a des règles d’une matière évolutive.

En 2020, la société norvégienne Aquabyte a lancé un centre de données sous-marin commercial. Ce centre de données est situé au large de la côte de la Norvège et utilise des conteneurs maritimes réutilisés pour stocker les données. Le retour d’expérience n’est pas encore possible, du fait que ces équipements de conservation et d’empaquetage est encore jeune.

On ignore encore beaucoup de choses sur l’impact de la construction sur l’eau de mer corrosive et sur les écosystèmes sous-marins. Les modules sont construits pour durer 25 ans et la vérification de Highlander dans la mise en place de ces centres se limite assez aux tests réalisés en janvier 2021 dans le port de Zhuhai, dans le Guangdong.

Une fois opérationnelle, le nouveau Datacenter chinois, avec sa puissance et ses contenances, et placé dans les fonds marins, il épargnera 68 000 mètres carrés des sols, pouvant servir à d’autres activités. Il nécessiterait quelque 105 000 tonnes d’eau douce, servant à son refroidissement.

Là où il sera déposé, il économiserait 122 millions de kilowattheures d’électricité, la charge qui devait être consacrée au même besoin de fraîcheur, si l’installation était située à terre. Il sera mis en place d’ici à 2025. Les dernières retouches, ainsi la désignation du site où il sera s’établir seront d’ici-là trouvé.

Le centre de datas de Microsoft : Natick.